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Quand l’ivermectine démontre l’escroquerie des études randomisées

La vérité est si obscure en ces temps et le mensonge si établi, qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître. Blaise Pascal

L’ivermectine aura vu deux phases concernant les études et publications pendant cette crise covid. Deux phases, la première relevant de la médecine d’hier, qui a progressé pendant des millénaires grâce à l’observation, et la seconde, médecine de « demain », ignorant l’observation au profit de la randomisation qui permet de cacher, de manipuler. Les exemples sont nombreux. Je ne suis pas le seul à le dire. 

Déjà en 2016, Richard Horton, directeur de la rédaction d’une des plus prestigieuses revues médicales, The Lancetaffirmait qu’« une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse ». … « Dans leur désir de raconter une histoire passionnante, les chercheurs sculptent trop souvent les données pour qu’elles coïncident avec leur théorie préférée du monde ». Il était bien placé pour savoir de quoi il parlait. 

Quant au Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, considéré également comme l’une des autres revues médicales les plus prestigieuses du monde, elle déclarait « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

Dans Libération, on apprend qu’un chercheur en sciences sociales, Brian Nosek, décidait de vérifier la fiabilité de certaines études. Son Projet Reproductibilité a fait travailler plus de 270 chercheurs et il a publié ses résultats en août 2015, dans la revue Science. Une véritable bombe qui a explosé dans la sphère scientifique mondiale : son armée de chercheurs n’est parvenue à reproduire qu’un tiers des études, 64 % des résultats n’ayant jamais pu être reproduits.

Les choses se sont manifestement aggravées depuis sous la pression de l’industrie pharmaceutique, même s’il doit encore exister quelques publications sincères. On ne peut qu’être d’accord avec ces constats supposant que la moitié des études concernant l’ivermectine sont fausses. En effet entre les premières études positives, et les secondes négatives, une des deux catégories donne forcément des résultats erronés. Il ne peut y avoir deux vérités opposées, faisant passer de produit miracle à produit sans effet, voire dangereux.

Les premières publications ? On a vu des soignants honnêtes, sincères, sérieux et non des chercheurs en mal de notoriété, utiliser par hasard ou par curiosité l’ivermectine, pour traiter des vrais malades, souvent à risques. Ainsi le Dr Charlotte Bernigaud a traité contre la gale une EHPAD à Fontainebleau, avec 69 pensionnaires de 90 ans de moyenne dont 98,6 % ayant au moins une comorbidité, avec 0 décès contre 150 décès chez les 3 062 résidents des ehpads du département aux mêmes dates. Ainsi le Dr Pierre Loué, ayant largement utilisé par le passé l’ivermectine dans des campagne OMS contre l’onchocercose, et tombant sur l’article de Caly et Druce en pleine épidémie dans son ehpad, va traiter ses patients. Sans traitement autre connu ou conseillé, il traite ses 10 patients avec quasiment 100 % de réussite (son seul décès était traité trop tard au 18e jour), contre 5 décès chez les 15 autres patients touchés non traités. Ainsi ces services d’urgences de Punta Cana et Bournigal (République Dominicaine) qui, en panne d’hydroxychloroquine, se mettent à l’ivermectine et publient ce que cela a donné sur leurs 3 099 premiers patients : 1 seul décès en traitement précoce, soit 0,04 %. Ainsi ce Dr Hector Carvallo (Argentine) en juin 2020, qui s’essaye à la prophylaxie sur 1 200 soignants au contact des patients covids dans 4 hôpitaux, avec 0 contaminé chez les traités et 58 % contaminés chez ceux qui n’avaient pas voulu. Ainsi ce rapport d’Unitaid/OMS demandé au Dr Andrew Hill après une quarantaine de publications sur le sujet, rapport qui montre une diminution par 5 de la mortalité, résultats qui n’ont pu être enlevés de la page 19 du document OMS sur les traitements du covid, car c’est un fait.

La seconde vague ? Des études « randomisées », toutes télécommandées, non sincères, non honnêtes. Ce ne sont plus des rapports bénévoles de soignants qui traitent le tout-venant, mais des chercheurs biostatisticiens, rémunérés pour sortir les résultats demandés à l’avance.

Exemple, une étude assez récente I-TECH (The Ivermectin Treatment Efficacy in COVID-19 High-Risk Patients), que je n’avais pas vu passer, publiée fin 2022. Étude au top, randomisée, contrôlée, sous le N° NCT04920942. Conclusion de l’étude :

Cet « excellent » résultat est donc à reprendre car très satisfaisant, par les journalistes, les autorités sanitaires, les politiques, les médecins de plateaux, et aucun ne lira l’étude.

Il n’y a que des idiots incompétents comme moi qui liront cette étude, pour découvrir la réalité, pourtant écrite noir sur blanc dans l’étude, mais le faire savoir est complotiste, dire la vérité étant complotiste. Que trouve-t-on de si complotiste dans cette étude ? Que la mortalité dans le groupe traité est 3 fois plus faible que dans le groupe placebo ! Et pourquoi on ne le dit pas ? Là aussi c’est écrit : parce que la mortalité ne fait pas partie des critères de l’étude ! ! !

Dans cette étude portant sur 490 patients : « Pour tous les critères de jugement secondaires prédéfinis, il n’y avait pas de différences significatives entre les groupes. Une ventilation mécanique est survenue chez 4 patients (1,7 %) dans le groupe ivermectine contre 10 (4,0 %) dans le groupe témoin et une admission en unité de soins intensifs chez 6 (2,5 %) contre 8 (3,2 %). Le taux de mortalité hospitalière à 28 jours était similaire pour les groupes ivermectine et témoin (3 [1,2 %] contre 10 [4,0 %)] ». Oui vous avez bien lu : 3 = 10.

Résultats cliniques et non statistiques : ventilation 2,5 fois moins, passage en soins intensifs moins 30%, et 3 FOIS MOINS DE DÉCÈS ! ! !

Tout ceci car ils ne retiennent que le « critère de jugement principal ». Au passage je relève que ce critère (plus de nécessité d’oxygène), était statistiquement non significatif (21,6% contre 17,6%), en tout cas moins que celui des critères secondaires ignorés  !

Devant l’énormité de ne pas tenir compte de la diminution par trois de la mortalité, ils s’en expliquent d’avance : PAS ASSEZ DE MORTS ! Je cite : « Avant le début de l’essai, le taux de létalité dû au COVID-19 en Malaisie était d’environ 1 %, un taux trop faible pour que la mortalité soit le principal critère d’évaluation de notre étude ». Et cerise sur le gâteau :

 « Parmi les 13 décès, la pneumonie grave due au COVID-19 était la principale cause directe (9 décès [69,2 %]). Quatre patients du groupe témoin sont décédés d’une septicémie nosocomiale. Aucun des décès n’a été attribué au traitement à l’ivermectine ». Peut être que l’ Azithromycine aurait pu éviter 4 décès de septicémie…

Autre étude à peu près identique : IVERCOR-COVID19 (NCT04529525). 500 patients (moyenne 42 ans, 92 % < 65 ans), 250 sous ivermectine (IVR), 250 avec soins standard (dont certains ont pu prendre de l’ivermectine 7 jours avant !). Critère principal, l’hospitalisation : 14 dans le groupe IVR, 21 dans le groupe placebo, soit 50 % de plus. Résultat « statistiquement non significatif », donc l’IVR n’a aucun effet. Dans leur discussion et de leur propre aveu : « la dose d’ivermectine adaptée au poids des patients était faible, ce qui d’une part pourrait corroborer que ces doses ne sont pas efficaces, mais pourrait alternativement fournir l’opportunité d’étudier l’efficacité de doses plus élevées d’ivermectine ». Ce qu’ils n’ont pas fait. Et plus loin : « L’étude n’a pas été conçue pour évaluer ce point principalement, la mortalité totale dans l’essai était de 1,40 %. La méta-analyse susmentionnée qui a inclus 629 patients avait pour objectif principal d’évaluer la mortalité, qui a été significativement réduite de 47 % ». En clair, ils n’ont pas étudié la mortalité, car ils avaient cette étude montrant que celle-ci était divisée par deux.

Dernière en date, publiée il y a 3 jours, PRINCIPLE de l’Université d’Oxford. Mêmes résultats, mêmes manipulations, mêmes conclusions : « Les résultats de notre essai ajoutent à la certitude des conclusions sur ces résultats et soutiennent la position selon laquelle l’ivermectine ne devrait pas être utilisée pour traiter l’infection par le SRAS-Cov-2 dans la communauté des pays à revenu élevé avec une population largement vaccinée ». La réalité ? Mortalité divisée par 3 dans le groupe IVR : 1,4% contre 4,4% dans le groupe témoin. Il a fallu presque 2 ans à leurs biostatisticiens pour bien cacher la vérité qu’ils ne peuvent admettre dans des explications alambiquées. Tous les autres résultats sont statistiquement minorés alors que l’on a une amélioration de 15 à 25 % dans tous les critères : réduction des douleurs, de la fièvre, de la toux et des autres symptômes. Ces résultats sont d’ailleurs reconnus discrètement, je cite ; «  Il existait des preuves statistiques du bénéfice de l’ivermectine pour la proportion de participants déclarant eux-mêmes une guérison précoce et soutenue, une récupération soutenue, une atténuation durable des symptômes et une réduction initiale de la gravité des symptômes « . Et si ces résultats sont moyens, c’est parce qu’ils ont complètement massacré le protocole IVR : 3 jours seulement alors que l’on préconise le double, pas d’antibiothérapie, et obligation faite aux cobayes d’être à jeun depuis minimum 2 heures avant la prise, afin d’en diviser par deux l’absorption. En ce qui concerne la synergie IVR/Azithromycine ou macrolides, je rappelle la trithérapie pour le VIH : chaque médicament pris seul est inefficace, mais l’association marche.

Voilà comment les étude « randomisées » permettent de manipuler, alors qu’on nous explique que ce sont les seules études valables, les seules qui détiennent la vérité, et que les autres, observationnelles, c’est de la merde (il y en a marre d’être poli avec ces criminels malhonnêtes, qui manipulent l’opinion). Cette position est insultante à l’égard de ceux qui traitent et communiquent leurs résultats sans faire de chichis.

Si la première salve d’études concernant l’ivermectine contre le covid-19 était observationnelle, avec des résultats difficiles à mettre en doute, venant d’auteurs sans prétentions, qui ne font que relater une expérience, publiées dans le seul but que d’autres puissent en bénéficier, la seconde vague, défavorable, voit des études quasiment toutes à l’image de celles décrites ci-dessus. Toute la panoplie des petits trucs aura été déployée. Certaines traitant surtout des jeunes, se gardant bien de traiter des anciens à risques, là où on voit mieux le résultat, comme pour les publications de Charlotte Bernigaud ou de Pierre Loué, avec 90 à 100 % de résultats positifs. Une cohorte jeune dilue fortement les résultats car, quand à 40 ans la maladie guérit seule, la cohorte ivermectine ne peut faire mieux et la différence est alors « statistiquement non significative ». Il y a ceux qui volontairement sous-dosent, ou encore donnent en toute connaissance de cause à jeun, sachant que la concentration sanguine est de moitié inférieure à une prise avec un bon repas. Il y a ceux qui n’arrêtent pas l’étude quand ils s’aperçoivent qu’ils ont donné par erreur de l’ivermectine au groupe témoin (étude Lopez-Médina).

Il y a ceux qui manipulent les conclusions, comme ci-dessus, souvent pour répondre aux objectifs de leurs sponsors, comme le fameux rapport Hill, conclusions contraires aux affirmations de l’auteur les semaines précédentes, tout comme TOGETHER, avec Edward Mills qui lors de la présentation a tenu des propos sidérants avouant que l’ivermectine avait des résultats supérieurs à ce que montrait l’étude !

Les sommes en jeu sont parfois considérables, hors de portée des médecins honnêtes. Ainsi l’étude TOGETHER, qui a testé plusieurs produits potentiels et affirmé que l’ivermectine n’avait aucun effet, est financée par une société qui a vu s’afficher comme par hasard de nouveaux sponsors, juste au moment de la sortie de la première étude. Ces sponsors, non des moindres, sont UNITAID et FTX. Pour UNITAID je ne connais pas les sommes, mais pour FTX, c’est un apport de 53,25 millions de dollars, excusez du peu ! FTX ? Rappelez-vous, cette société de cryptomonnaie qui a fait faillite. Les cryptomonnaies sont un bon moyen pour ne pas connaître l’origine réelle des fonds. UNITAID ? Rappelez-vous cette autre coïncidence avec son chèque de 40 millions d’euros pour l’Université de Liverpool et Andrew Owen qui a sans doute contrôlé Andrew Hill dans son rapport initialement favorable à l’ivermectine pour le rendre défavorable. C’est de son ordinateur qu’a été sorti le rapport Andrew Hill sur l’ivermectine pour l’OMS et l’EMA, financé par UNITAID. Quand le Parquet National Financier a voulu interroger Andrew Owen sur le sujet, UNITAID a fait valoir une » immunité diplomatique » empêchant son audition en tant que témoin. Quelque chose à cacher ?

Dans la dernière version d’ACTIV-6, 109 patients asymptomatiques ont été inclus, et quand on connaît le peu de fiabilité des tests PCR, comment juger des résultats par rapport aux patients placebo ? Dans TOGETHER, on a même recruté en promettant un bon d’achat Amazon de 100 $ pour toute nouvelle recrue ! Combien ont appelé leurs copains pour un petit revenu facile, d’autant plus qu’ils pouvaient apprendre la leçon, l’interrogatoire se faisant par téléphone. Bizarre, dans le groupe placebo ils ont tous guéri ! Sérieux pour le top des études ? Dans cette étude ayant reçu un prix, une seule visite à 3 mois, alors que les critères définissant les résultats sont évalués à 7, 14 et 28 jours, les dossiers médicaux étant faits via une plateforme internet par les patients eux-mêmes, de même que la description des symptômes et des résultats. Sérieux pour une étude RCT ?  Dans les études observationnelles, c’est au moins fait par des médecins ! 

Je ne connais qu’une étude favorable ayant été rétractée, à très juste titre : celle d’Elgazzar en Égypte. Ce qui est « amusant », c’est que toutes les critiques à l’égard de cette publication se retrouvent, en pire, dans l’étude Pfizer en faveur de Corminaty.

Quant aux méta analyses défavorables, elles font du “cherry picking”, ne sélectionnant que les études qui les arrangent, ignorant les autres. Normalement, il faudrait prendre l’ensemble des publications, les bonnes comme les mauvaises, pour se faire une juste idée de la présomption d’efficacité ou non, comme le fait C19ivm. Ce « cherry picking”, c’est aussi ce qu’a fait l’ANSM pour refuser la RTU, ne retenant que les pires (décrites ici :2 x 12 patients, moyenne 26 ans, groupes témoins avec ivermectine ou hydroxychloroquine et azithromycine, etc.).

Comme on peut le voir, toutes ces études « randomisées », « contrôlées », censées apporter toutes les garanties en matière de rigueur et de certitude, n’apportent qu’une garantie : celle d’être manipulées. Ceux qui les défendent en méprisant ceux qui traitent, observent, racontent ce qu’ils ont vu au lieu de fabriquer une vérité à coup de millions d’euros, sont des criminels malhonnêtes, car dans toutes ces études, en ce qui concerne l’ivermectine, je ne vois qu’un point commun, qu’elles soient honnêtes ou malhonnêtes, manipulées ou non, contrôlées ou non, observationnelles ou non : une division par 3 de la mortalité que certains cherchent à cacher avec beaucoup de « rigueur scientifique ».

Complément 5 mars 2024 :

Reçu les commentaires de Pierre Kory à propos de l’étude PRINCIPLE qui vient de sortir. Excellent tableau comparatif avec l’étude Molnupiravir, pilotée par la même personne, montrant l’éthique de ces médecins pilotant ces études randomisées : deux poids deux mesures, selon qu’il faut sortir un résultat positif ou négatif, pour le même laboratoire (Molnupiravir et Ivermectine viennent de chez Merck).

Gérard Maudrux

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80 commentaires

  1. Monsieur Maudrux je souscris à vos dires (j’avais lu avant le papier de Kory) avec un petit reproche: incidemment vous reprenez l’argument souvent répété « Les tests PCR ne sont pas fiables ». Ayant, contrairement à beaucoup qui n’hésitent pas à donner leur avis, une longue expérience de ces tests je vous confirme que les tests PCR se caractérisent « par construction » par leur très grandes sensibilité et spécificité. Que des labo inexpérimentés aient pu mal interpréter une amplification tardive est possible mais surement marginal et ne remet pas en cause les qualités du test. D’ailleurs quand début 2020 Raoult faisait 3000 PCR par jour (alors qu’à Lyon le labo de viro arrivait à en faire 600) je pense qu’il avait confiance dans les résultats…

    • «  »leur très grandes sensibilité et spécificité » »

      ah oui comme vous dites ! avec un taux colossal de faux covids du au cycle de+ de 30.. faux covids alimentant les statistiques d’une « pandémie exponentielle » . »ouah! j’ai le covid! .. »ah bon? T’es malade? »… « ah non j’ai rien. »

      • C’est bien ce que je dis. Vous ne savez pas de quoi vous parlez mais vous avez un avis. La PCR fait le diagnostic de l’infection avec ou sans symptômes ou des symptômes très légers ce qui dans les infections virales est d’une grande banalité.

        • oui et a donc été interprété dans les stats comme malade covid alors que la positivité n’a rien a voir avec la maladie. un nombre incalculable de personnes ont été en présence du virus sans faire la maladie n’ayant eu aucun symptome et ne l’auraient pas su si ils n’avaient pas fait de test . ces mêmes personnes avec un test pcr à 20 cycles auraient été déclarés négatifs et n’auraient donc pas figuré dans le tableau apocalyptique que l’on nous a présenté. Une arnaque. Le seul autotest que j’ai fait était suite à des symptômes.Sans conséquences malgré mon âge (70 ans)

    • Le PCR est fait pour vérifier que le diagnostic viral porte est exact, pas pour decouvrir ou poser un diagnostic, ni décréter malade qqun qui ayant croisé un virus lutte sans problème apparent et s’en debarasse ainsi . De combien de virus sommes nous porteurs à l’instant t? Qu’est qu’un malade?

      https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2022/10/msc220112/msc220112.html#:~:text=Sur%20les%2010%20434%20esp%C3%A8ces,l'homme%20%5B41%5D.
      Un petit extrait:
      « Les virus les plus étudiés sont ceux à l’origine d’une infection aiguë, symptomatique, qui provoquent une maladie grave ou le décès de l’hôte, ou qui sont éliminés par le système immunitaire (Figure 1). Dans de nombreux autres cas, les virus sont symbiotiques3 ; ils coexistent avec l’hôte, soit temporairement, soit tout au long de la vie. Les relations entre virus et hôte sont donc très diversifiées, allant du parasitisme agressif au mutualisme symbiotique. ».
      Soyez raisonnable, ne défendez pas l’indefendable

      • exact. les mêmes qui ne sont pas pressé de rechercher la cause des myocardites et autres symptomes..ou pire en inventant des causes farfelues reprises par les médias..mais surtout pas le vaccin..le déni continue..

      • Si on suit votre raisonnement il ne faut faire un diagnostic VIH ou VHC par exemple que si le patient a des symptômes ? De toute façon actuellement il y a surement beaucoup plus de personnes faisant un Covid pauci-symptomatique non diagnostiqués comme tel que de patients non malades avec une PCR positive. Ou est le problème?

        • Bien sûr que c’est ce qui se passe en fait. Rappelez vous que les visites médicales pré mariages ont été supprimées il y a plus d’un quart de siècle je crois, au moment justement où le Sisa explosait et qu’il ne fallait pas « discriminer ». Absurde, on est d’accord. Mais fait on un test VIH toutes les semaines à ceux qui ont un rapport s3xuel de moins de 8 jours? Heureusement que non,. On ne peut vivre dans la peur constante de la ( des..) maladie.
          Cette histoire de test ne servait à rien pour les asymptomatiques: pas de toux de rhume etc. pas de fièvre…donc en fait pas d’excretion ou si peu. Aucune précaution particulière à prendre poyr les autres dans ce cas. Et comme le seul traitement (!!) Était le doliprane, sur qqun sans fièvre etc..c’est simplement absurde.
          Et encore une fois un test PCR est fait après un diagnostic médical établi sur des symptômes, c’est à dire sur qqun de malade.
          Non, on l’a fait ( et le nombre de ct est là pour le prouver) pour affoler la population, faire croire que le vaccin de tous était la solution…à un pb qui de toute disparaissait avec les variants successifs. vaccins.qui n’ont guère protégé que ceux assez vieux pour être immuno déprimés et en assez bonne santé pour ne pas risquer infarctus cancer rapide etc..donc finalement pas grand monde.
          De surcroît les faux positifs comme kes faux négatifs ont été nombreux, ce n’est pas nie en général, et donc même cette information ( + ou -) n’en était pas une .

          Pour terminer par une blague, combien de test PCR ( sur autre chose que le sars cov 2 et le VIH car vous semblez sérieux sur ce plan) avez-vous fait dans votre vie en étant en parfaite santé apparente?

        • je ne savais pas que le VIH ou l’hépatite C s’attrapait en prenant un café debout dans un bar..Vous en avez fait souvent des diagnostiques pour ces maladies ? Je ne connais pas votre vie privée, mais moi non jamais.Notre docteur homosexuel n’est pas mort du sida ou de Vhc mais bel et bien du vaccin avec un cancer foudroyant.Ayant eu un covid costaud , mon épouse (qu’il ne voulait plus soignée car non vaccinée) lui avait dit en boutade qui n’en étais pas une : « pourquoi vous ne prenez pas de l’ivermectine ? » il avait ouvert la porte de son cabinet en montrant la sortie et en rigolant.
          Avec un microscope a balayage électronique enfoncé dans le tarin on doit remonter aussi loin dans l’historique des virus et microbes rencontrés que les grottes de Lascaux.Sans pour cela qu’il y ait des conséquences et heureusement.Cela s’appelle l’immunité naturelle ou acquise.

    • Le problème de la PCR, c’est la transparence, nous n’avons jamais pu connaitre les seuils de positivité, dont dépend l’interprétation. Je suis véto, je demande des PCR régulièrement, et le labo me donne le niveau de positivité, et j’interprète en fonction d’autres facteurs, la CLINIQUE notamment… ce qui doit être désormais un gros mot en médecine humaine. IL y a 35 ans, dans les labos de l’INRA de Jouy en Josas, il n’était pas recommandé de dépasser 15 cycles d’amplification pour les PCR. Je veux bien que la technique se soit améliorée depuis, mais il a été dit que l’on pouvait monter à 50 cycles pour le COVID, et là je pense qu’on peut vraiment trouver n’importe quoi.

      • Il n’y a pas que le CT….faut regarder aussi l’allure de la courbe. Effectivement les CT à 15 d’il y a 35 ans c’est assez obsolète.
        J’ai eu l’occasion de valider une charge virale VHC très très faible (limite de la sensibilité de la méthode) chez un patient ayant une cirrhose VHC sur un prélèvement quelques jours après sa transplantation hépatique. Je n’avais pas d’argument pour dire que c’était un faux positif mais bien sur j’ai mis un commentaire pour que ce résultat surprenant soit absolument vérifié sur un autre prélèvement. Celui ci a été fait et a confirmé ainsi que le suivi que le virus VHC avait redémarré chez le patient (et non pas une recontamination). Comme quoi, oui la PCR est très sensible et très spécifique.

  2. Encore merci à vous Dr Maudrux pour votre engagement sans faille contre cette tromperie gigantesque , merci pour m’avoir fait connaitre l’ extrème efficacité de l’Ivermectine dans la maladie Covid.
    Tout était là pour traiter cette maladie sans nécessité d’aucun vaccin.Traiter les gens malades aurait de plus bloqué la contamination puisque les tests PCR se négativaient entre 2 et 5 jours après la prise d’IVM……ça aurait été une autre histoire

  3. Il n’y a plus de limites à la fraude et au n’importe quoi.

    Un trafiquant de passeports Covid19 allemand de 62 ans est devenu un héros de la vaccination. Il est en pleine forme après 217 vaccinations Covid comme l’atteste une formidable étude parue dans The Lancet: https://doi.org/10.1016/S1473-3099(24)00134-8

    Alleluia, c’est un miracle ! Et la presse en parle partout ! Un vrai matraquage ! Alors les IGG4 démontrés par d’autres études, c’était une fake news !

    Il y a même une feuille Excel avec les dates de vaccination: le type s’est fait vacciner deux fois tous les jours (une fois dans chaque bras) de janvier à mars 2022 ! Et personne n’a rien remarqué ! Aucune rougeur, aucun symptôme, aucune trace de vaccinations précédentes dans les fichiers quand on a émis un nouveau passeport Covid19 ? Et à quel quel nom si c’est pour les revendre ?

    On fait donc confiance à un escroc car c’est une belle histoire… à moins qu’il n’ait tout simplement organisé un trafic impliquant de multiples personnes qui se faisaient vacciner contre rémunération pour obtenir des faux pass.

    Plus c’est gros plus ça passe, c’est plus des oeuf que la population gobe mais tout le poulailler !

    Mais vu qu’une expérience doit être reproductible, je propose que l’on demande à ceux qui ont publié cette fake news de se soumettre à 2 vaccinations par jours durant 3 mois…

    Je suis assez certain du résultat car il y eu des tests de toxicologie lors des phases de mise au point: à 10 fois la dose, vous n’avez aucune chance.

    • pour ma part, je n’ai été injecté que 5 ou 6 fois avec ce produit que leurs fabricants appellent des vaccins
      chacune des injection m’a déclenché une atteinte myocardite avec fort heureusement une régression spontanée dans les 4 à 6 mois
      je frémis à l’idée de devoir à l’avenir subir à nouveau ce prétendu vaccin

  4. Merci Épée d’Or pour cette belle et sainte colère ! Visiblement Il leur faut gagner du temps …mais pour quoi faire? Tendresse infinie et Bisouskes.

  5. C’est très bien, mais comme le grand Didier Raoult nous a expliqué dès le début du cinéma et duplicité l’escroquerie de l’expérimentation en double aveugle, ce n’est un cas particulier. Comme dirait Vincent Pavan, une fois qu’un théorème établit une règle, inutile de la tester de façon répétée. L’autre lemme de la théorie est que les labos pharmaceutiques n’inventent presque jamais rien d’utile, sauf pour leurs actionnaires. Mais il faut aussi la complicité des autorités pour éliminer la concurrence des molécules traditionnelles, qui fonctionnent très bien, elles.

  6. Ma sensation personelle : « ils » ont ete les plus forts dans cette guerre de communication deloyale. C’est revoltant, mais c’est malheureusement ainsi. Maintenant, le covid ne fait presque plus de degats, et comme il n’y a aucune raison pour que l’ivermectine fonctionne sur un autre virus emergent (me corriger le cas echeant) , je me pose la question : a quoi bon continuer a essayer de prouver que l’ivermectine AURAIT pu fonctionner ? ….

    • Ils avaient tous les moyens, nous très peu. C’était un peu David contre Goliath, mais n’oublions pas que c’est finalement David qui a gagné, et après avoir blessé Goliath, il lui a pris son arme pour le décapiter. C’est ce que nous ferons, il ne faut rien lâcher et rabacher car l’action de l’ivermectine n’est pas spécifique au corona, elle agit d’abord sur le transport des virus dans la cellule, et a ensuite plusieurs effets généraux comme l’effet immunomodulateur. Elle peut encore servir, et en la réhabilitant, certains regarderont ses effets anti cancéreux pour chevaux.

      • Alors en effet si l’ivermectine peut avoir un effet sur d’autres virus ca a du sens de ne pas lacher le morceau.

        • Même si l’IV ne devait pas servir contre autre chose, il ne faut pas lâcher le morceau.
          Sa réhabilitation, la mise en évidence des malversations des malhonnêteté d’hier et d’aujourd’hui, sont les garanties contre celles de demain.

          • Ne rien lâcher ne serait-ce que pour démontrer que ceux qui ont été condamnés pour avoir soigné « autrement » (IVM, HCQ etc..) l’ont été injustement et doivent être réhabilités et indemnisés.

    • Eh bien, pour des éventuels procès que des familles de victimes pourraient faire pour défaut et interdiction de soins d’efficacité prouvée. Ou que des malades , du covid long par ex, pourraient faire eux mêmes

    • malheureusement, si !
      le covid fait encore des dégâts au travers des vaccins !
      et pas seulement à cause du coût énorme facturé à la Sécurité Sociale et à tous ceux qui la financent
      mais à cause des séquelles causées directement aux crédules qui continuent de se faire vacciner, en particulier, comme moi, en termes de séquelles myocardiques systématiques après chacune des injections
      Séquelles au demeurant bien connues par le personnel médical mais restant cachées dans le cadre d’un sacro-saint secret médical assimilable en l’occurrence à de la complicité

  7. Tableau remarquable par la précision et le nombre des points notés ( durée et méthode du traitement, âges qui permettent ou non de montrer une efficacité associés à la taille grande ou petite de l’échantillon délais de publication etc..
    Et bien sûr le profit escompté du labo!

    A envoyer à tous les journaux.. et voir qui ose publier?

    • Envoyer tout le commentaire du Dr Maudrux aux journalistes ne servira à rien car ceux-ci sont trop paresseux et  » bêtes » pour le lire, le comprendre et lâches pour en rendre compte.
      En revanche publier sur les courriers des lecteurs, sur X etc les points essentiels fautifs de cette  » étude » est peut être plus efficace?
      J’ avoue que c’est assez désespérant mais nous sommes nombreux à suivre le Dr Maudrux, et si chacun s’ y met…mais je suis probablement trop naïf mais je tente l’ expérience quand je peux.

  8. Merci pour cette synthèse de la toute puissance de Bigpharma, Mr Maudrux.

    Moi j’ai essayé de lutter …prescription Stromectol, Azithromycine : 3 convocation au conseil de l’ordre départemental puis régional et jeudi au national…1 an et 6 mois fermes! (Associé à d’autres prescriptions très peu coûteuse hors AMM)
    Aucune plainte de patient, pas « d’erreur médicale » je serai un excellent médecin dixit le co pour preuve , il envoie un membre pour me défendre.

    Zone sous médicalisée et notre cabinet fermerait avec départ à la retraite de mon ami et confrère. 3000 patients de plus sans médecin.
    Le CO peut il ignorer ce type de synthèse ?

    • J’ai du mal à comprendre sur quoi les CO se basent. Vous n’avez pas été non confraternel – d’accord Veran est toubib, mais c’est comme ministre qu’il a pondu ces interdictions, tt comme Buzin- et n’avez pas prescrit de médicament interdit toutes maladies confondues et le hors AMM est banal et autorisé.
      Alors quels textes a utilisés le CO ( pour vous comme pour bcp d’autres) ?

      • Prescriptions très peu coûteuses, ! c’est là le problème, de nos jours, on soigne avec « la science  » dixit la doxa !!! pour eux c’est une certitude, donc tout le reste est balayé, y compris la logique et les lois

  9. Merci Dr Maudrux pour ce travail édifiant. Les fraudeurs sont vraiment très mauvais. Mais leurs appuis sont excellents. Les finances privées des labos ont des tentacules invasives partout, dans tous les milieux. Donc la lutte continue contre les maffieux.

    • Je n’ai jamais compris pourquoi tous ces nombreux médecins qui ont soigné honnêtement et courageusement leur patients au début de la pandémie en appliquant des traitements précoces, et qui ont ensuite été injustement poursuivis par le CO, n’ont jamais essayé de se regrouper pour se défendre et pour sortir leur propre vaste étude observationnelle qui cumulerait leurs résultats sur les milliers de malades du Covid passés entre leur main. Les comparaisons avec les moyennes nationales pourraient être affligeantes pour les décideurs de la politique d’interdiction des soins autres que Doliprane et d’abandon des malades à domicile. Je ne vois pas ce qui pourrait leur interdit de dresser un bilan commun et de le médiatiser pour obtenir une réhabilitation de leur action.

  10. Merci pour ces données. Le commerce a tué la science.

    La lecture de l’étude PRINCIPLE laisse un profond malaise. On a l’impression que tout est mis en oeuvre, surtout dans la forme, pour « noyer le poisson ».
    « Ivermectin for COVID-19 is unlikely to provide clinically meaningful improvement in recovery, hospital admissions, or longer-term outcomes » ne reflète pas le 15-20 % d’amélioration dans la guérison décrit plus bas dans l’étude.

    Elle est publiée avec deux ans de retard en février 2024 dans un contexte qui n’a plus d’importance.

    Une analyse détaillée révèle beaucoup d’incohérences: « median symptom duration 5 days » mais « symptoms must have started within the previous 14 days and be ongoing. » Donc une majorité de « guéris » n’ont pas pu être enrôlés et quid du timing de l’administration du traitement.

    Le principal défaut: un scope trop large (trop de « bras ») et une durée trop longue durant laquelle de nombreux paramètres ont évolué. Tout est mélangé.

    Un même échantillon est utilisé pour les formes graves, les décès et l’évolution des formes légères jusqu’à un an après. Le nombre n’est pas suffisant et les résultats ont un indice de confiance peu élevés.

    Ajoutez la multiplicité des variants, les exclusions pour réinfections et/ou vaccinations. Je sais pas comment ils ont fait.

    Le protocole a d’ailleurs dû être adapté au fil du temps et on finit par comparer des bananes avec des pommes de terre.

    Que l’ivermective n’ait pas été efficace contre la mortalité sous Omicron de décembre 21 à juin 22, je suis pas étonné. Pas besoin de traitement contre une maladie devenue bénigne. Il faudrait une étude ciblée sur les seniors sur cette période pour conclure.

    Par contre, l’efficacité de l’ivermectine n’a pas été étudiée en 2020 et même une petite amélioration avec un produit « safe, cheap, well tolerated and widely used », c’était bon à prendre.

    Concernant votre point sur la mortalité, l’étude l’explique par une comparaison temporelle erronée: on compare la mortalité sans traitement de 2020 avec celle sous ivermectine en 2021. Alors, on bricole en utilisant les chiffres d’un autre bras.

    A force de mentir, on se prend les pieds dans le tapis: comment expliquer alors une mortalité 3 fois moindre en juin 21 avec la même maladie sans traitement ni vaccin ?

    Ainsi, si ce n’est pas l’ivermectine, d’autres facteurs (variants moins dangereux, immunité de groupe acquise, décès dans les vagues précédentes) auraient divisé les risques chez les non-vaccinés en 2021 ?

    Cela mériterait une analyse plus approfondie mais impossible car les références indiquées dans l’étude ne sont pas disponibles sur le site.

    Bref, étude à poubeliser.

    • Il semble que le groupe placebo (commun aux autres études) ait été constitué avant, ce n’est donc pas le même variant que pour l’étude. Rien que cela, pour une étude randomisée, c’est un biais inacceptable devant rejeter l’étude, car comme vous le dites on compare des bananes avec des pommes de terre.

      • Oui, et ils jouent ensuite avec le logiciel pour ajuster les covariables en fonction du temps et ramener l’OR des décès autour de 1. Comme vous les dites si bien, on n’est plus dans une étude randomisée mais une projection mathématique.

        C’est pitoyable !

  11. Bravo encore une fois Mr Maudrux pour la synthèse de ce désastre criminel
    Quand les médecins vont t’ils allez en masse devant les portes de leur conseil du désordre pour demander des comptes !!!!
    Pourquoi restez vous inactifs depuis le début de cette supercherie ?
    Il s’agit du devenir de notre humanité et je ne vois aucun mouvement de votre part, à part quelques courageux, mais peu les rejoignent, alors que c’est sur vous que tout repose désormais, sans votre assentiment à ces criminels tout peut cesser, il faut assainir ce terrain putride de la médecine de collusion qui désormais vire à de la médecine criminelle génocidaire
    Resterez vous silencieux jusqu’à quand ???

  12. Tout cela est si obscène, si abject, si évident, si révoltant !

    Nous sommes comme dans un nasse, entourés de tous les côtés par des murailles, qui se tiennent et s’appuient les unes les autres: politique, médiatique, labos pharmaceutiques, finance, le tout cimenté dans un mélange saturé de veulerie, de petitesse.

    Comment faire vaciller l’édifice ?

    Un évènement type comme le fameux « j’accuse » en première page de l’Aurore en son temps, et mis au goût du jour serait un formidable déclencheur pour une révélation de la vérité. Qui sera le Zola, et quel média le sortira ?

    L’édifice finira t-il par se craqueler de lui-même ? Certaines briques ou pierres le constituant s’éveilleront elles et sortiront elles de leur complicité et silence criminel ?
    Je le crois.

    Cependant Il faut reconnaître que l’édifice est cadenassé à triple tour à l’échelle de l’occident … où seule la fuite en avant des dirigeants permet d’éviter la vérité d’éclater sur ce double crime consciemment réalisé sur des millions d’êtres; non seulement on ne les a pas soignés, mais en plus on les a empoisonnés !

    Une course contre la montre est lancée, la prise de conscience interviendra t-elle avant l’espèce d’apocalypse qu’on nous prépare jour après jour ?
    La tension entretenue monte, monte sur un plan international. Notre président fou s’en fait jour après jour le propagateur dément.

    A notre échelle, l’œuvre et la résistance formidable de G. Maudrux est un modèle.
    Et c’est un résumé et une arme parfaite que l’image de fin de chronique accompagnée juste du lien sur le pdf, ainsi que le lien sur la chronique de G. Maudrux; à partager, distribuer, en faire des flyers etc …

  13. Merci pour cette brillante analyse qui étaye mes convictions profondes. Une remarque, moi ce qui me perturbe toujours avec toutes ces études, et c’est un des points majeurs qui me confortait dans le soutien de D Raoult, c’est comment peut on éthiquement envisager de tester des produits (médicaments ou vaccins) sur des populations en double aveugle avec en gros une partie de votre « échantillon » de malades (il s’agit quand même d’humains) que vous condamnez à être moins bien ou pas soigné. A la limite hors maladie, pourquoi pas dans certaines configurations… mais là je ne peux l’admettre, conduire des gens soignables à la mort quelle inhumanité !

    • Cette randomisation a été complètement détournée des services qu’elle pouvait éventuellement rendre, en précisant certains points sur ce qui peut être subjectif ou objectif. Une guérison, un décès, cela n’a rien à voir avec des symptômes subjectifs. Un mort, ce n’est pas un trouble du subconscient. Quand on parle de guérison ou de décès, c’est ethiquement inacceptable de tirer au sort des patients destinés à mourir et d’autres à être éventuellement guéris. Aucun médecin ne devrait l’accepter. Je suis chirurgien, c’est comme si pour évaluer les résultats d’une technique, on faisait semblant d’opérer des patients tirés au sort. C’est ce que des imbéciles dangereux veulent nous imposer.

      • C’est une triste réalité qui existe depuis combien d’années ?
        La levée de stéthoscope date de quand ?
        Interrogeant. Encore un succès du formidable pouvoir bigpharmesque ?

  14. Merci Dr Maudrux pour cette démonstration claire et sourcée de l’efficacité de l’Ivermectine. Les médecins de terrain qui soignent se sont bien aperçus de l’efficacité indéniable des trois molécules phares dites « anciennes » que sont l’HCQ, l’azithromycine et l’Ivermectine. Je pense que nous pourrions ajouter aussi la doxycycline – les trois mousquetaires de la covid 19. Il est bien certain que ces études qui mises sur une randonnée avec deux aveugles contre une belle place constituent la plus grande arnaque de la recherche médicale et qu’il serait temps que cela s’arrête. Le plus malheureux c’est que des étudiants qui sortent de l’ œuf et des médecins qui n’ont pas de conflits d’intérêts croient à toutes ces balivernes et pratiquent en fonction de celles-ci. Comment se fait-il que leur jugement soit à ce point émoussé ? Les études de médecine seraient-elles effectuées sous hypnose ? Permettez-moi de parodier Apollinaire: La médecine est morte, j’en suis tremblant.

  15. Merci de vos résultats et différentes et études cela a été la même chose avec l hydroxychloroquine donnée trop tard ou à des doses lethales!! Quand on veut tuer son chien on dit qu il a la rage !!
    Dans la pratique il es évident que l ivermictine fait baisser la charge virale quand c est utilisé à la bonne dose !!
    Certains devront se rappeler une épidémie de grippe en 1989 ou les gens prenait du tamiflu ! Et cela marchait personne n a crié au scandale !!
    Le vaccin était un enjeu financier et le reste !!
    Arrêtons d être les cobayes d une société mercantile
    Encore merci pour votre travail j espère que vous finirez par être entendu d un plus large public !!

  16. Ne maîtrisant bien ni les études statistiques ni l’anglais, auriez-vous l’amabilité de commenter cette page 19.
    Merci pour votre travail et vos publications que je suis depuis le début.

    • Leur « Guideline » est un rapport sur les résultats des études des différents traitements utilisés pour le covid. Il y a quelques pages sur l’ivermectine et page 19 c’est le résumé de leurs études (7 études, 1 419 patients), sous forme de tableau.
      Dans ce tableau, on peut voir que la mortalité est divisée par 5 par rapport au groupe placebo : 14 décès sur 1000 chez les traités, 70 décès sur 1000 chez les non traités. Les autres critères étudiés : besoin de ventilation mécanique 2 fois moins sous traitement, hospitalisations 2,5 fois moins, EI graves 3 fois moins.
      Pour justifier d’ignorer ces résultats, colonne de droite ils font des commentaires :  » risques de biais et imprécisions ». Ils ont pourtant sélectionné 7 études qui leur paraissaient les plus fiables sur sur une cinquantaine à l’époque.
      5 fois moins de morts, commentaires en face : « les effets de l’ivermectine sur la mortalité sont incertains » ! Où peuvent être les biais quand on compte les morts ? Faux morts ?
      En tous cas les chiffres sont là, ils n’en ont pas d’autres.

  17. Je ne me rappelais plus cette histoire avec Andrew Owen:
    « Rappelez-vous cette autre coïncidence avec son chèque de 40 millions d’euros pour l’Université d’Oxford et Andrew Owen qui a sans doute contrôlé Andrew Hill dans son rapport initialement favorable à l’ivermectine pour le rendre défavorable. C’est de son ordinateur qu’a été sorti le rapport Andrew Hill sur l’ivermectine pour l’OMS et l’EMA, financé par UNITAID. Quand le Parquet National Financier a voulu interroger Andrew Owen sur le sujet, UNITAID a fait valoir une » immunité diplomatique » empêchant son audition en tant que témoin. Quelque chose à cacher ?  »

    Ça fait du bien d’avoir la mémoire rafraîchie de temps en temps .

    Oui, les articles dits scientifiques pondus pour complaire aux financeurs, les essais trafiqués grossièrement, il faudrait carrément un congrès pour les exposer au grand jour. ..Et pourquoi pas?

  18. Oui. Je désespère de voir sortir cela un jour dans Le Monde ou ailleurs.
    Un clou chasse l’autre, et avec la ou les guerres qu’on nous prépare, la plèbe aura bien d’autres soucis.
    Et les responsables de ces mensonges qui ont couté probablement tant de vies seront à l’abri.
    Dans un monde meilleur (même si je suis content pour les femmes) ce qui devrait être inscrit dans le marbre constitutionnel c’est la garantie de protection des citoyens contre le mensonge des dirigeants.
    Le mensonge au public serait qualifié de délit, voire de crime, et nul ne serait à l’abri de poursuites.
    Les journalistes scientifiques ne vous lisent-ils pas?
    I have a dream…

    • Faudra revoir rapidement ses bases. Le Monde ? Lequel? Celui de mes 20 ans dans la ligne de son fondateur Hubert Beuve-Méry, celui-là où une analyse objective de l’information était donné, renforcé pour qui le voulait par le Monde Diplomatique qui était un recueil de réflexions finement ciselées. Mais ce Monde là est mort, exsangue des vautours qui le dirigèrent ensemble un temps et qui ont remplacé ce papier -journal en papier-cul : Alain Minc, Edwy Plenel et Jean-Marie Colombani. A l’heure d’attaque en règle contre la liberté d’expression mais plus encore, la liberté de débattre, rendons un certain courage à CNews et Europe1 qui (sans être parfaits) essayent encore un peu de délivrer un sens critique pour que chacun puissent forger son idée. Longtemps considéré comme le 4ème pouvoir, la presse a, dans sa large majorité, rejoins les rangs d’un capitalisme mondialiste dévoyé aux seuls intérêts personnels. Un article comme celui du Dr. Maudrux aurait pu, en son temps, paraitre dans le Monde Diplo, mais l’arrogance, l’égocentrisme et l’éloignement des « intellectuels » parisiens a fait dégâts …Quand on pense au J’accuse de Zola en Une, c’est à pleurer tant nous avons reculé…et l’IA accentue la chose avec une fulgurance crasse aux dégâts futurs incommensurable.

      • Les bras m’en tombent je suis d’accord avec vous sur le Monde mais rendre hommage à CNews et Europe 1 pour la qualité de leurs informations et leur sens critique !! Quand à rejoindre les rangs du capitalisme mondialisé que vous faut il avec Bolloré et sa vision de la presse. Nous ne sommes pas sur la même planète.

        • Le plus reposant est toujours d’avoir les bras ballants…plaisanterie mise à part, Marlon réel, Live comme on dit : ce soir sur Europe 1, la nouvelle intervention guerrière d’EM à Prague et l’attaque ce matin à Cachan de plus de 300 personnes. RTL la rouge au même moment : les quais de Paris accessible sur invitation pendant les JO et les comiques de services…no comment…dormez français…dormez..

      • Le Monde reste un journal dit de référence assez lu me semble t il, y compris à l’étranger. Presse « main steam » si vous préférez.

    • Ne soyez pas content pour les femmes, cette inscription de l’IVG dans la Constitution la rend sacrée, c’est une ignominie :
      IVG sacrée veut dire que le sacrifice (sacré) d’enfants est religion d’Etat !
      Nous sommes dirigés par des imbéciles malfaisants et le symbolique perverti devient rapidement concrètement criminel.

      • On ne verra jamais une manifestation de fœtus avortés derrière la banderole « Mon corps m’appartient »
        A partir du jour (?) où le fœtus est considérable comme habité par une « conscience » il y a meurtre oui ou non ?
        Ira-t-on un jour à inscrire le droit à la connerie dans la constitution ?

  19. Oui il y a quelques doux mots comme randomisé, ou alors « double aveugle », contrôlé, cluster, balance bénéfice ? risque ?, vax-saint et j’en passe, on pourrait créer un dictionnaire des mots covidiots.. Personnellement plus j’avance dans les recherches et moins j’aime la direction que je prends à savoir, quelque chose qui ressemble à de la « bio nano technologie inoculée, ? vous savez BioNTech…. oui bravo Pifzeur !!…

  20. C’est bien de faire ce genre de travail car on a dès le début détruit tout ce qui n’était pas randomisé, le point de départ étant, pour la France, l’opération anti-Raoult/HCQ…. »randomisé » encore un mot magique, sans lui, point de salut
    On a vu alors des gens comme Berruyer qui avait son site  » les crises » très critique sur des sujets d’information sensibles, comme l’Ukraine se déchaîner contre Raoult pour défaut de randomisation, étalant sa connaissance en statistique, puisqu’il fait de l’actuariat; ainsi beaucoup de scientifiques, hors du champ médical, notamment ceux qui pratiquent des modélisations à gogo, se sont joints à la cohorte des anti-Raoult pour la même raison
    Du randomisé en pleine tourmente sanitaire, donc situation d’urgence, laquelle a été ensuite invoquée pour précipiter la solution vaccinale n’ayant pas respecté les bonnes pratiques d’usage….on marche sur la tête, toujours de la géométrie variable avec les grands principes….
    j’imagine qu’une étude randomisée doit coûter beaucoup plus cher qu’une étude observationnelle, d’où l’avantage des gros labos pour se le permettre..
    Le mal est profond car cela est à mettre dans le développement du scientisme tous azimuts; faute d’acquérir une vraie culture scientifique, on se contente de peinturlurer la science avec de l’esbouffre
    Dans l’excellent livre sur l’histoire vaccinale  » des tortues jusqu’en bas » de Lorgeril assez remonté contre les vaccins et ayant produit plusieurs ouvrages en la matière, se fend d’une préface pour étaler sa foi dans le tout randomisé, et en même temps fait une critique du livre de Chaillot (ce qui n’est pas choquant en soi) en montrant qu’il n’a pas compris ou n’a pas vraiment lu ce que l’auteur avait montré en terme de mortalité….
    si le courant scientiste se développe notre société est fichue, rien ne pourra arrêter le développement de ces technologies mortifères en cours qu’on les qualifie d’intelligente ou autre vocable pompeux.
    Il est particulièrement frappant que nombres d’études portent un titre qui dans le corps du texte ne se retrouve même pas mais encore faut-il lire le travail, or qui le fait? Des gens comme le DR Maudrux ,par exemple, ou d’autres complotistes du même genre…

  21.  »rapport Andrew Hill sur l’ivermectine pour l’OMS et l’EMA, financé par UNITAID. Quand le Parquet National Financier a voulu interroger Andrew Owen sur le sujet, UNITAID a fait valoir une » immunité diplomatique » empêchant son audition en tant que témoin. »

    EXACT, il existe une multitude d’associations, pour ne pas dire la quasi totalité des associations connues, ayant « pignon sur rue » pour dire simple, ou la main dans notre porte monnaie pour être plus exact, qui sont protégées par la loi, avec le statut diplomatique… très pratique pour passer les valises de billets et toutes les correspondances compromettantes !!! c’était un lien que j’ai pu voir une fois sur covid faits et chiffres…

  22. Il ne faut pas oublier d’ajouter ajouter que le traitement contre la gale n’est pas fait à forte dose, pour un résultat exceptionnel sur la mortalité de personnes on ne peut plus âgées, et quasiment toutes avec comorbidités !!!

  23. Quand pour un malade mental l’utilisation de bombes nucléaires, ne l’inquiète absolument pas, il est évident que le nombre de morts inutiles du Covid ou du vaccin n’a vraiment aucune importance pour lui.
    Par contre, il n’est bien sûr pas à plusieurs mensonges près pour évacuer sa responsabilité, trop évidente, dans la mort inutile de dizaines de milliers de ses citoyens.
    Pour les labos et les gens arrosés par eux, le cas est seulement bêtement vénal, rien de nouveau en fait.

    Merci quand même de vous battre inlassablement pour montrer la fausseté des manipulations concernant l’Ivermectine.
    Vous montrez en fait que les gens payés pour manipuler le font assez grossièrement et sans la moindre conviction, mais il est important de le montrer
    Seuls les journalistes « font leur boulot » par routine ou stricte observance professionnelle et sans esprit critique

    • on devrait ajouter leur peu de jugeote, incapables qu’ils sont de se rendre compte qu’ils risquent tôt ou tard de finir leurs jours d’un arrêt brutal grâce aux piquouses reçues, sinon au fond d’un geôle, ou au bout d’une corde, ce qui serait bien mérité pour certains.

      • J’ose imaginer qu’ils ont eu droit, comme d’autres, tels sécateurs et dépités (Lassalle excepté), aux fameux flacons placebos utilisés pour injecter le personnel de Pfffz, se mettant de facto hors de portée des EIG et les rendant complices de cette abomination et assurant ainsi leur silence éternel.

    • Il n’est pas besoin d’être un malade mental pour ne pas avoir la vertu, le courage nécessaire à un homme d’Etat.
      Un homme d’Etat, imaginez de Gaulle, doit être capable d’endurer la souffrance de ce qu’il fait subir aux autres à bon escient.
      Et quand vous êtes capable de souffrir vous avez du jugement, du discernement.
      Macron n’est qu’un homme très ordinaire, médiocre, incapable de souffrir ce qu’il fait endurer.
      Alors tout est possible, les pires folies, la banalité du mal, celui qui a le profil d’un vendeur de voitures se retrouve chef d’Etat.

      • De Gaulle « homme d’état » ?
        Jamais oublier qu’après s’être attribué tous les mérites de la résistance il est arrivé au pouvoir par un coup d’état dont il était l’âme

        Anecdote historique
        « Mon général, une partie du nuage nucléaire engendré par cet essai dans le Pacifique va passer au dessus d’îles habitées »

        « De Gaulle ne s’est pas déplacé jusqu’ici pour rien; tirez »

        Ne jamais oublier les victimes militaires du premier essai nucléaire en Algérie à Reggane n. Où déjà ?

        •  » Jamais oublier qu’après s’être attribué tous les mérites de la résistance il est arrivé au pouvoir par un coup d’état dont il était l’âme »
          De Gaulle écrivait aux Français Libres qui résistaient à Bir Hakeim en juin 1941 « La France vous regarde et vous êtes son orgueil ». Il est arrivé au pouvoir en France en aout 1944 parce qu’il était l’homme qui avait fédéré la Résistance. Il a démissionné en janvier 1946. Si c’est ça que vous appelez un « coup d’état » et « s’attribuer tous les mérites », il faut que j’apprenne cette nouvelle langue
          Ensuite en 1958, il est revenu au pouvoir dans une époque troublée par la guerre mais dans les règles démocratiques. Et il a mis fin à cette guerre et a été élu démocratiquement, puis il est parti démocratiquement
          Quant à ce que votre « anecdote historique », je me demande dans quel bistro (mot d’origine russe) on propage ces ragots