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Vaccins Covid : Cleveland Clinic et évaluation de l’efficacité des rappels

Cleveland Clinic est un très gros groupe hospitalier centenaire, de réputation internationale, avec des ramifications aux USA mais aussi au Canada, à Londres ou à Abu Dhabi.  Elle compte 65 000 soignants, qui nous intéressent ici, sur plus de 200 sites.

HISTORIQUE

L’histoire de cette institution remonte en 1921, avec la création d’un cabinet multidisciplinaire le 26 février à Cleveland dans l’Ohio, devenu petite clinique externe, puis hôpital en 1924. Cent ans plus tard c’est le premier système de santé international intégré au monde à but non lucratif, fournissant soins, recherche et enseignement. Toujours à la pointe, elle se dispute avec Toronto la première utilisation de l’insuline en 1922, ils ont inventé le premier dosimètre pour mesurer les doses de rayonnement administrées aux patients en radiothérapie. À la pointe sur le plan cardiaque, ils sont à l’origine des premières explorations radioscopiques des artères coronaires en 1958. Classée n°1 en chirurgie cardiaque sans discontinuer depuis près de 30 ans. Première greffe de larynx au monde en 1998, elle réalise chaque année près de 1000 greffes diverses, cœur, poumons, foie, reins,.. Premier accouchement après greffe d’utérus (2019). L’enseignement y est important, la clinique possédant ses propres campus et centres de recherche. Ici les premières années, et toujours au top, 100 ans plus tard dans la dernière décennie. Le privé peut être plus performant que le public.

En 1929, elle doit faire face à la pire catastrophe hospitalière de l’histoire des États-Unis, avec l’incendie du stock de radiographie, tuant 123 personnes (patients, soignants et visiteurs), avec les gaz toxiques de nitrocellulose. Tel un capitaine, dernier à quitter le navire dans un bateau en perdition, un des fondateurs de la clinique y laissera la vie en tentant de sauver nombre de patients. Cela n’a pas entaché sa réputation, la clinique a fait le plein dès le premier jour de sa réouverture.

Ce petit historique pour situer les auteurs d’une des dernières publications. Ce qui sort de cet établissement ne peut être que sérieux, de qualité, honnête.

L’ÉTUDE

Le but de cette étude était d’ « évaluer si le vaccin bivalent contre le COVID-19 protège contre le COVID-19 « . Pour cela, la Cleveland Clinic a donc évalué l’efficacité du dernier vaccin bivalent en suivant tous ses soignants, relevant les contaminations en fonction du statut vaccinal.

Notons au passage, qu’il y a 13 % de non-vacciné, ce qui permet de constater que dans ces établissements extrêmement rigoureux, il n’y a pas eu d’exclusion des soignants non-vaccinés, pensant que d’autres mesures étaient plus efficaces pour protéger les patients, et que cela n’avait aucune incidence sur les transmissions. Ce qui ne les empêche pas d’être favorables aux vaccins, comme on peut le lire dans l’étude. L’étude précise que le vaccin était « mis à la disposition des employés » le 12 septembre 2022, début de l’étude.

Notons également que la Cleveland Clinic fait remarquer que la composition du vaccin était parfaitement adaptée aux variants en cours pendant l’étude, à savoir BA.4/BA.5 de la variante Omicron. Les lignées BQ.1, BQ.1.1 et BF.7 sont apparues en fin d’étude, en décembre 2022, l’étude prenant fin le 12 décembre.

Parmi l’effectif des 51 011 employés entrés dans l’étude :

– 41 % (20 689) avaient eu un précédent épisode documenté de COVID-19, la moitié avec omicron (21%). 91% avaient été en contact avec la spike, soit par covid, soit par vaccination.

– 87 % étaient vaccinés et avaient reçu au moins une dose de vaccin, 83% deux doses, 53% trois doses, et 8% quatre doses ou plus.

– 13 % étaient non-vaccinés (dont 31% ont eu le covid, et 69% y ont échappé)

Dans les 13 premières semaines de l’étude, 2 452 soignants soit 5% ont contracté le COVID-19 pendant l’étude qui était assez courte, et qui doit certainement se prolonger.

Le résumé des résultats tient dans une phrase de la publication et un tableau : « Plus le nombre de vaccins reçus précédemment était élevé, plus le risque de contracter le COVID-19 était élevé ».

AGRANDIR

On constate la régularité de chaque courbe, l’apparition des infections est linéaire, aucune courbe ne se croise, le tout augmentant régulièrement dans le temps et dans chaque catégorie, avec 5% d’infections au total au cours de l’étude. Les moins touchés sont les non-vaccinés (2%), et les plus touchés sont les 4 doses ou plus (près de 6,5%). On a également l’impression qu’après avoir suivi le rythme des 3 doses pendant 2 mois, les plus de 3 doses accélèrent leurs contaminations, pour se détacher régulièrement et de manière significative.

Les auteurs reconnaissent que » l’évolution du virus du SRAS-CoV-2 nécessite une approche plus nuancée de l’évaluation de l’impact potentiel de la vaccination que lors de la mise au point des premiers vaccins »que « cette étude a révélé un effet protecteur globalement modeste du vaccin bivalent de rappel contre le COVID-19, chez les adultes en âge de travailler » et que « plus le nombre de doses de vaccin reçues précédemment était élevé, plus le risque de COVID-19 était important. « 

Ils ont calculé l’efficacité à partir d’un modèle, pour l’évaluer à 30 %, ce qui est trop faible pour empêcher une épidémie. Quand on sait de plus que cette efficacité diminue dans le temps et que B4 et B5 ont disparu et que les nouveaux variants sont encore moins sensibles aux vaccins, je vous laisse imaginer l’efficacité de ce vaccin administré aujourd’hui sur le BQ.1 qui domine la planète et ses successeurs s’il y en a.

AUTRE ÉTUDE

On peut rapprocher cette étude américaine avec une autre tout aussi récente, étude française, de Santé Publique France, qui compare l’efficacité d’un second rappel, par rapport à un premier rappel, tous deux avec la souche Wuhan.

 Les auteurs constatent que si le vaccin est efficace, le gain de protection du second rappel est inférieur à celui du premier rappel. Comme dans la première étude, les meilleurs résultats sont obtenus chez les patients ayant auparavant acquis une immunité naturelle par infection.

Leur courbe montre bien la baisse d’efficacité du premier booster dans le temps, ainsi que celle du second booster, qui part de moins haut. Le premier part de 70%, le second de 40%. Si on extrapole, on peut imaginer ce que donnerait un troisième booster : quasiment rien.

AGRANDIR

Cette étude a été faite par Santé Publique France, à partir de chiffres « collectés par le Ministère de la Santé »(source ?). Ils ont les chiffres, ce sont les leurs, ils savent donc ce que peut donner un rappel supplémentaire, surtout en tenant compte de la résistance supérieure et reconnue des nouveaux variants.

CONCLUSION

Ces deux études confirment de manière indiscutable ce que l’on savait déjà : PLUS ON VACCINE, PLUS ON A DE CHANCE D’ATTRAPER LE COVID. Ce n’est pas moi qui le dis, mais les chiffres et ces études faites par le premier groupe hospitalier mondial et par Santé Publique France. Dans ces conditions, il est manifeste que ces injections de matériel génétique n’améliorent pas nos défenses immunitaires, au contraire. 

Il fut un temps où les rappels renforçaient l’efficacité des vaccins, ici nous avons le contraire. Ceci est très certainement dû au phénomène ADE, avec production d’anticorps « facilitants », qui aident les infections suivantes. Je laisse le soin aux biologistes comme Hélène Banoun de vous expliquer par quels mécanismes (et autre article d’avant vaccination covid).

Cela doit aussi amener à se poser des questions à l’heure où on nous annonce de nombreux nouveaux vaccins à ARNm, y compris contre des maladies comme la grippe saisonnière et ceux qui ont fait leurs preuves depuis des années. Demandons-nous aussi pourquoi il semble qu’il y ait résurgence de nombre d’infections plus ou moins disparues ou stabilisées.

Il serait temps que les pro-VaxARN acceptent que les anti-VaxARN ne sont pas des anti-Vax, et qu’avec leur aveuglement, leur surdité et leurs mensonges, ils portent préjudice à l’industrie des vaccins en général, en particulier pour les maladies évitables par la vaccination. Sur le long terme, les vrais anti-Vax, ce sont eux. L’éternelle histoire de la paille et de la poutre.

Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? (L’évangile Saint Luc 6 :41 )

ZOLA

66 commentaires

  1. ce n’est pas très clair…. résumé de la publication , il s’agit bien d’un essai sur le vaxx bivalent : on nous dit : « Plus le nombre de vaccins reçus précédemment était élevé, plus le risque de contracter le COVID-19 était élevé » puis on nous dit.« cette étude a révélé un effet protecteur globalement modeste du vaccin bivalent de rappel contre le COVID-19, chez les adultes en âge de travailler » Quelle raison à cette contradiction? Auraient-ils eu peur d’effrayer le vaxxinés ?
    L’étude ne s’intéresse pas aux cas plus ou moins graves, ni aux effets secondaires éventuels de la vaxx, qui sont plus que probables, dont l’ADE, qui est flagrante…soit un bilan désastreux pour un vaccin au final, ce que ne dit pas tout à fait clairement cette étude

  2. Bonjour ZOLA,
    Toujours aussi cinglant et opiniâtre.
    Pourquoi ne contactez vous le Canard Enchainé, il y a quelques années, ils m’ont suivi et appuyé…
    Chapeau Monsieur

    • Nombre de journalistes consultent ce blog, car il est factuel, sourcé et interroge. Maintenant, c’est à eux à prendre le virage.

    • Bonjour,
      Il y a quelques années, oui; maintenant le CE n’est plus que la maison de retraite de Libé, c’est dire!

    • « Question : pourquoi devrions-nous nous intéresser au COVID-long quand on ne veut pas réintégrer TOUS les suspendus ? »
      Reponse: Parce que les covids longs et les suspendus ont les mêmes ennemis. Parce que le crime du non traitement précoce, en passant en toute impunité, a permis tous les autres crimes qui ont suivi. Ceux qui veulent diviser les victimes de la gestion criminelle du covid font objectivement le jeu du gouvernement.

      • Je constate simplement que le thème du covid long n’est presque jamais abordé ici alors que ces combats se rejoignent. Ceux qui sont en bonne santé n’ont aucune idée de la tragédie en train de se dérouler.

        • Du haut de tout ce que je ne sais pas, le covid long me semble bien souvent être un EI du vaxx même si diplomatiquement cela n’est pas indiqué dans le lien que vous avez mis. Et puis la non prise en charge avec les ttt efficaces au début de la maladie. Je sais juste que certains médecins essayent d’y porter remèdes. Il y a eu sur ce blog, outre les liens aux doctothon qui ont donné la parole au Dr Escarguel et aux victimes, d’autres liens de témoignages que j’ai pu ainsi regarder.

          • Tous les covids longs de la première vague, la plupart toujours malades aujourd’hui, ont eu le covid long avant le vaccin…
            Ils sont les victimes des interdictions de traitement. Il va falloir admettre que le covid est dangereux, ne serait-ce que pour être cohérent avec la reconnaissance de son origine artificielle.

        • Pour ma part je m’y suis intéressé dès le tout début, dans une boucle Azithro, avec Annie Notelet qui a la première lancé la chose. Ensuite Claude Escarguel a repris pour développer. J’avais mis de côté nombre d’informations pour un billet. Le problème est qu’il y a trop de sujets : A l’époque AZI, HCQ puis Iver, TTT précoces, vaccins, effets secondaires, suivre les vagues, les politiques, etc… On ne peut être bon en tout si on veut bien connaître, et il faut parfois ne pas se disperser, d’autant plus que nombre de personnes ici relaient nombre d’informations. Et puis Claude Escarguel et Annie Notelet s’en occupent très bien, pourquoi doublonner ?
          Si vous avez des infos, des articles à relayer, allez-y, comme cela on en parlera. Si vous voulez faire un billet documenté, c’est OK.

          • Le précédent billet de votre blog expliquait la surmortalité par la dépression liée au confinement sans évoquer le covid long ce qui est une insulte au vu des souffrances des victimes. D’autre part, aborder les différents thèmes liés au covid comme vous le faites sans aborder ce qui est peut-être le plus gros problème du covid est intellectuellement aveugle et minimise le problème.
            Voici 3 textes sur le sujet. Je veux bien vous faire un billet. Ou souhaitez vous que je vous envoie ce billet?
            https://www.upgcs.org/2022/06/22/bc007-quand-les-autorit%C3%A9s-sanitaires-ignorent-un-m%C3%A9dicament-prometteur-pour-le-covid-long-et-l-encephalomy%C3%A9lite-myalgique/
            https://www.upgcs.org/2022/06/27/derri%C3%A8re-le-lobbye-de-la-psychologisation-du-covid-long/
            https://www.upgcs.org/2023/01/23/l-upgcs-alerte-les-syndicats-sur-la-pr%C3%A9carisation-des-covids-longs/

          • On vous explique gentiment pourquoi on ne peut tout voir et tout faire et que d’autres font aussi de leur côté comme l’upgcs, et on vous propose tout aussi gentiment de faire un billet sur le covid long. Dans un premier message non passé ici car vous l’avez envoyé sur un « noreplay@covid-factuel, nous étions « lamentables » de ne pas lier les deux combats, on vous a expliqué pourquoi. Regardez l’upgcs, le font-ils ? Non, et encore moins que nous, et pour les mêmes raisons : a trop se disperser on devient moins audibles, a chacun d’exprimer ce qu’il connaît et sa passion et non celle des autres. Nous ne sommes pas des professionnels.
            Après ce lamentable sur lequel je suis passé en vous faisant des propositions, voici que nous sommes insultants, intellectuellement aveugles et minimisons les problèmes que nous connaissons moins faute de temps et que nous vous proposons d’expliquer.
            Avouez que cela me laisse perplexe et que c’est peu encourageant comme collaboration !
            Néanmoins, et parce que le sujet mérite attention, je vous envoie une adresse. Essayez d’être pédagogique pour que tous apprennent et comprennent le covid long

          • PROTOCOLE FLCCC COVIDS LONGS
            Thérapies de première ligne
            (Non spécifiques à un symptôme ; énumérés par ordre d’importance). je vous donne un début de la traduction (avec Deepl) ceux qui sont intéréssés peuvent voir le reste des infos très détaillées pour des cas plus difficiles à traiter. (….thérapies de 2ème ligne et davantage)

            Prednisone : 10-15 mg par jour pendant 3 semaines. Réduire à 10 mg pendant trois jours, puis 5 mg pendant trois jours, puis arrêter.

            Ivermectine : 0,2-0,3 mg/kg par jour pendant 2-3 semaines.

            Naltrexone à faible dose (LDN) : Commencer par 1 mg par jour, augmenter à 4,5 mg par jour selon les besoins.
            Cela peut prendre 2 à 3 mois pour obtenir un effet complet.

            Jeûne quotidien intermittent et/ou jeûne quotidien périodique :
            Le jeûne favorise l’autophagie, le mécanisme de protection de l’organisme qui élimine les protéines mal repliées, étrangères et endommagées. Il favorise également la mitophagie et la libération de cellules souches. Il est probable que la promotion de l’autophagie aidera à l’élimination de la protéine de pointe. NOTE : L’hydroxychloroquine inhibe l’autophagie et doit être évitée chez les patients qui suivent un jeûne intermittent.
            Spermidine et/ou Resveratrol :
            Il a été démontré que ces composés augmentent l’autophagie. Le germe de blé, les champignons, le pamplemousse, les pommes et la mangue sont des sources naturelles élevées de spermidine. Une formulation améliorée contenant du trans-resvératrol provenant de la racine de bois de noueux japonais semble avoir une bonne biodisponibilité.

            Mélatonine : 8 mg le soir (de préférence à libération lente/extendue).
            Les patients doivent veiller à avoir de bonnes habitudes de sommeil. Augmenter la dose à partir de 1 mg selon la tolérance (peut provoquer de graves cauchemars à des doses élevées).

            Vitamine D : La majorité des personnes ayant un long COVID continuent de souffrir d’une carence en vitamine D. Les patients peuvent avoir besoin d’une dose d’attaque en fonction de leur tolérance. Les patients peuvent avoir besoin d’une dose d’attaque en fonction de leur taux de base de vitamine D (voir tableau 2). Si les niveaux de base sont inconnus, la dose nécessaire peut être calculée à partir du poids corporel ou de l’IMC (voir tableau 3).

            Acides gras oméga-3 : Vascepa, Lovaza ou DHA/EPA ; 4 g/jour.
            Aspirine : 81 mg par jour.

            Curcumine (curcuma) : 500 mg deux fois par jour

            Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

        • Vous avez en partie raison:ce thème a été traité par des post des uns ou des autres, mais assez peu. Ce n’est pas du tout un manque d’intérêt, car il se déclenche soit chez des non vaccinés victimes du covid -mais a priori pas depuis omicron- et non traités soit depuis chez des vaccinés non traites, et le dénigrement et l’absence d’autorisation des traitements qui marchent,
          comme les effets indesirables des injections anticovid sont bien au cœur du blog me semble-t-il.
          Dès que les uns ou les autres avons vu des info passer, elles ont été données. Mais les publications scientifiques sont apparemment rares sur le sujet ..

          • Les publications ne sont pas rares du tout sur le covid long, il y en a au moins un millier. Regardez en quelques unes sur les twitter de l’upgcs et de aprèsj20. Mais cela est dérangeant entre autres car il s’agit de persistance virale et des non covid-longs rescapés du covid peuvent aussi avoir cette persistance virale et voir leur santé à long terme menacée en plus du fait que les assureurs ne veulent pas payer pour les dégâts.

  3. « Gianluca Vialli avait annoncé en 2018 être atteint d’un cancer du pancréas. Après l’avoir vaincu en 2020, la maladie avait finalement ressurgi ces dernières semaines. »
    Manque l’info principale : a-t-il été injecté, combien de fois et quand ?
    C’est souvent que les cancers déclarés vaincus se réveillent brutalement et sans rémission : « 3 ans » de lutte victorieuse avant une dégringolade fatale en « quelques semaines » (n’est-ce pas Dr Axel Kahn ?) !

  4. Bonjour,
    PLUS ON VACCINE, PLUS ON A DE CHANCE D’ATTRAPER LE COVID. C’est bizarre ce mot CHANCE à usage unique…
    PLUS ON VACCINE, PLUS ON A DE RISQUE D’ATTRAPER LE COVID
    C’est davantage d’actualité avec cette formulation.
    Ceci dit je suis toujours surpris de la qualité de vos articles que je relaie le plus possible. Un grand merci pour votre travail.

    • Tarte à la crème ? Non, la sémantique du mot « chance » n’est pas ce qu’un vain peuple croit…
      Voyez plutôt l’étymologie (c’est du latin, comme les aléas) ou un cours de statistiques élémentaires (probabilité). La chance, comme disait l’autre, c’est un coup de dé qui jamais n’abolira le hasard !
      Risque ne vaut pas mieux. C’est du vocabulaire assurantiel.

  5. Merci ZOLA pour cette énième preuve que la majorité des médecins sont obtus, bêtes, aveuglés, dans le déni, voire corrompus, et les moutons sont aveuglés par tout ce « scientisme » à deux balles.
    C’est bien triste mais au moins, cela nous conforte dans notre choix de ne pas s’être fait piquer.
    Vous nous redonnez espoir car de vrais médecins courageux existent encore.

  6. Bonjour,
    Qu’on ne nous raconte pas que nos dirigeants ont « paniqué » devant une infection qu’ils ne connaissaient pas.
    La panique à été entretenue selon la « stratégie du choc » pour installer la dictature des « bourgeois » (> 10, voire 100M€ de patrimoine) sur les « prolos » (possibles Gilets Jaunes redoutés) considérés comme en surnombre.
    Et d’ailleurs, dans cette idée, la question peut être débattue de savoir s’il ne s’agit pas d’un crime délibéré contre l’humanité. Car beaucoup de nos décideurs qui nous sélectionnent nos futurs Présidents et Premiers Ministres au Bilderberg ou à Davos estiment qu’un giga d’homosapiens est largement suffisant. Et dans ce cas le crime est accepté et passe inaperçu, car il n’y a pas de cheminées qui fument…
    Cf : Idriss Aberkane « ,dissonance citoyenne »  » stratégie du choc »,
    Henri Guillemin « pourquoi Thiers aimait la République:

  7. Quand vous parlez de Covid, c’est quoi exactement ? Par rapport les symptomes, les test Pcr ? On sait que  » virus » jamais à été isolé, on sait que les test Pcr ne sont pas fiables et jamais un test pcr peut diagnostiquer une maladie.
    Je pense à ce niveau après 3 ans de mensonges il faut recommencer de zèro car tout à été construit dans la base des mensonges.
    Ces vaccins sont un vrai arnaque oú beaucoup n’ont pas pris un microscope pour étudier leur contenu et ceux qui l’ont fait n’ont pas trouver d’ARN messager mais de graphène , on voit les effets secondaires terribles oú les cancers explosés, attaques cardiaques, AVC, etc.

    • Cher Marcel
      D’abord, sur la forme côté orthographe, c’est pas terrible…
      Sur le fond, je m’interroge sur la pertinence du propos…

  8. Sur les 13% de non vax, seulement 31% avaient eu auparavant le covid, alors que 41 % de l’ensemble des participants avaient eu un précédent épisode documenté de COVID-19.
    C’est clair, SUPER CE « VACCIN » …..vaccinez vous, vous serez assuré d’attraper plus vite le covid !!! et bonne chance pour les EI supplémentaires.

    • Bonjour,
      Allez voir le nombre de contaminés en Corée. Je subodore que la proportion est la même en France. Et pour être sûr d’avoir été contaminé si vous avez subi une injection, faites une recherche sérologique d’anti-N ( nucléocapside) du Covid-19.

    • Virer sa cuti n’est pas avoir attrapé la tuberculose, juste avoir été contaminé et l’avoir rejetée naturellement sans s’en être aperçu.

  9. Ca me fait penser à cette étude sur l’augmentation des anticorps Ig4 au fur et à mesure des doses reçues…qui facilitent l acceptation et donc le développement de spike au lieu de la combattre…
    Il y a qd même de la matière scientifique costaude pour arrêter ces campagnes de vaccination qui sont délétères…
    Comment faire pour faire un buzz avec ça?
    Tout le monde s en fiche?

  10. Deux études à charge de plus dans le dossier …
    Ça pourrait peut-être finir par faire ouvrir l’oeil sans poutre de certains.

    Rien n’est moins sûr hélas tant la psychose et l’hypnose de certains est tenace.

    En attendant pour le réveil en fanfare l’ARS de la réunion a produit une lettre s’auto-dédouanant de toute responsabilité et remettant la responsabilité des effets secondaires des vaccins aux prescripteurs qui doivent rechercher le consentement libre et éclairé.
    C’est à dire avoir présenté loyalement TOUS les éléments de la science même ceux que l’on refuse d’entendre depuis le début …

    • Bonjour
      Très bien. Ce sont donc bien les médecins complices par passivité, qui seront tenus pour coupables. Car combien d’entre eux, et nous, ont protesté, se sont révolté, se sont assis sur les directives ministérielles, ont prescrit les molécules interdites ou les tests sérologiques « non pertinents, ont dévissé leur plaque ?
      Et dire que je n’ai pas pu avoir ma prune pour m’être assis sans « pass » à la terrasse d’un café en demandant à être évacué par la Police, pour pouvoir écrire au Procureur de me l’oter, ce qui l’aurait forcé à choisir son camp… Ou collabo, ou résistant… pour les futurs procès que j’espère. En sachant que les procès pour crimes contre l’humanité ont toujours été initiés et conduits par les vainqueurs, contre les vaincus

  11. À Zola :
    Vous écrivez : « …cette étude a révélé un effet protecteur globalement modeste du vaccin bivalent de rappel contre le COVID-19, chez les adultes en âge de travailler. »
    et « Ils ont calculé l’efficacité à partir d’un modèle, pour l’évaluer à 30 % »
    Un effet protecteur modeste ?
    Le graphique ne montre pas d’effet protecteur du rappel, ni d’aucune des doses successives, mais bien l’inverse : un effet aggravant.
    Une efficacité de 30 % ?
    C’est plutôt une efficacité négative de — 30%, puisque les doses augmentent le risque de contamination.
    Quant à la protection contre les formes graves : on aurait aimé connaître le sort de ces soignants qui ont attrapé le Covid après 0, 1, 2, 3 et 3+ doses : hospitalisés, morts, Covid long ? des séquelles ?
    Bref, telle que vous la décrivez, cette étude semble incomplète et ses conclusions paraissent erronées.

    • Je suis d’accord avec vous, c’est mon opinion, mais je donne toujours les deux versions, à vous de juger. J’ai bien mis entre  » « , car ces propos ne sont pas de moi, mais je cite textuellement l’article. Quant aux 30%, je précise que c’est une évaluation, on connaît la valeur de ces simulations avec Pasteur. A la lecture totale de l’étude, je les sens gênés, pro-vaccins, mais constatant qu’il y a un problème.

      • Merci Zola pou cet article qui confirme ce que je lis ici ou là et surtout ce que je vois autour de moi. S’il y a des décès suite à la Vaxx Covid : circulez y a rien à voir … tout causalité ou corrélation ne saurait être que fortuite.
        Ce qu’il y a d’effarant, c’est que à la radio, quelle que soit la station, à la T.V , Santé publique France pousse au crime de la vaccination avec les boosters. le sa……ds.

      • Toujours le même refrain, en jouant sur les mots, les moutons ne risquent pas de comprendre à quel point ils ont été pigeonés. On ne parle jamais des traitements efficaces, c’est dommage qu’ils n’aient pas en même temps fait de l’ivermectine en prophylaxie sur une partie des participants à cet essai, ce serait sans appel !

        • et on ne dit pas un mot, non plus, bien sûr, des effets indésirables.
          Merci à cette étude… nous n’oublierons pas les résistants de la première heure, et encore moins les criminels à la manœuvre.

        • et on ne dit pas un mot, non plus, bien sûr, des effets indésirables.
          Merci à cette étude… nous n’oublierons pas les résistants de la première heure, et encore moins les criminels à la manœuvre.

  12. Sur un panel beaucoup plus réduit, cad mon environnement familial, tous les multi injectés ont eu le covid soit une ou 2 fois et ceux qui ont eu la 4ème dose, une personne a dû être hospitalisée pour un covid et sa soeur, souffre depuis plus d’un mois de sévères symptômes d’un covid qui traîne.
    Une cousine, vaccinée, en parfaite santé a fait une crise cardiaque en vacances et ne dû sont salut que grâce à son mari pompier qui lui a fait un massage cardiaque durant 20 minutes….

  13. Merci Épée d’or pour ce focus sur un « contenant «  (65000 personnes sur deux cents sites ) qui valide ce que relèvent et révèlent les consciences scientifiques intègres depuis des mois. Il est important d’accumuler et de garder les preuves .

  14. Et pourtant il va falloir des années et des années avant que les gouvernements en place acceptent l’idée que « on s’est peut-être trompé » pour faire après , mais encore plus difficile , amende honorable pour envisager une nouvelle approche vaccinale qui ne soit pas tout ARN mais plurielle qui sait !

  15. « Oui, mais tu vois bien, ça évite les formes graves » ! C’est la réponse à tous les arguments que l’on peut proposer … 🙁 Et ce, même de la part des con-frères !

    • oui mais c’est stupide puisqu’en se piquant ils augmentent leurs risques de Cov et la pochette surprise des EI

    • Bonjour Dr.Fom, plus les personnes se sentent coupables de s’être fait berner par le discours mensonger ,plus ils ont participé à la corruption ( même en toute bonne foi ) et plus ils utiliseront l’arme du déni ou celui de l’euphémisme ( ce n’est pas si grave) pour se protéger de l’angoisse massive que leur lucidité soudaine engendrerait . C’est pour cela que nous assistons à un renforcement du déni lorsque nous abordons le sujet. C’est tentant mais « contre productif » . Ce n’est pas qu’ils ne veulent pas comprendre , c’est qu’Ils restent bloqués dans une régression psychique protectrice. Nous faisons tous cela .Vous rappelez-Vous quand et en quelle circonstance Vous avez utilisé ce bouclier protecteur ? C’est pour proposer à Votre entendement le fonctionnement de notre psychisme. Bien à Vous.

      • Comme disait Bernard Tapie « J’ai menti, mais c’était de bonne foi. » Il ne faut donc pas perdre son temps à avancer des arguments de bonne foi face à des gens de mauvaise foi.

    • Bonjour DR.FOM « cela évite les formes graves » c’est ce que m’a dit un médecin qui m’a proposé une quatrième dose pour ma mère (87 ans). Je l’ai envoyé balader, mais comment comprendre un tel aveuglément? Les médecins ne font pas de biblio?

    • Le débat avec les « provaxx » est parfois surnaturel! Souvent ils admettent la plupart des faits établis au niveau de l’efficacité des injections, ils sont peu au courant des EI, ils sont d’accord sur le chantage exercé par rapport aux soins en hôpital conditionnés par le fait d’être injectés, mais leur conclusion est sidérante: je vais faire la quatrième…

    • – le “Directeur de la Task Force Vaccination”… anonyme ?
      – et par le “Directeur Général Adjoint de la Santé”… anonyme ?
      – mais pas par le toujours DGS (Pr JS)… pas le droit de donner son nom complet ?
      Tant que la photo des crapules ne sera pas exposée sur tous les sites, ils continueront à marcher au soleil sans vergogne !

      • Leurs noms figurent dans le pdf. Quant au Pr JS, souvenez vous du croque mort qui vous annonçait tous les soirs le nombre de victimes du paracetam… du covid…

  16. Clair, comme d’hab… mais quand je propose la lecture d’articles du site à des gens aptes à comprendre :  » tu nous gonfles !  » , les vax, il va sans dire.

      • Autre version « ça ne m’intéresse pas ». Il a fait une hémorragie « inexpliquée », sa nièce fait une tuberculose, les cousins et amis tombent les uns après les autres… Surtout ne pas réfléchir.

        • C’est exactement ça – LE DÉNI – qui engendre l’aveuglement volontaire des « vax et revax »!

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