Préambule : origine de l’erreur
Ce billet annule et remplace le précédent, qui comportait une erreur dans l’interprétation des données. Le Diable est dans les détails, et une nuance nous avait échappé : dans les deux jeux de données différents (tous les deux issus du site de l’INSEE) que nous avions pris comme sources pour les différentes années de 2015 à 2022, l’INSEE ne définit pas le même périmètre de données. Précisément, les données utilisées pour décompter les décès quotidiens de 2015 à 2019 et en 2020 et 2021 proviennent du même jeu de données, qui inclut les Français décédés à l’étranger. Les données utilisées pour 2022 provenaient d’un autre jeu, qui n’inclut pas les décès de Français intervenus à l’étranger. Bien que le nombre de décès de Français à l’étranger soit relativement faible, la comparaison entre 2022 et les autres années en était donc faussée. (Remarque : les deux jeux de fichiers incluent les décès intervenus en France, quelle que soit le lieu de naissance ou la nationalité des personnes décédées.)
Afin de rétablir la comparaison sur une même base, on a refait les calculs et les courbes en prenant, pour 2022, les données provenant du même jeu de données que pour 2015 à 2021. Ces données étant pour l’instant publiées sous forme de fichiers mensuels pour 2022, on les a agrégées. Les données de 2022 sont encore provisoires et incomplètes (arrêtées au 30/12/2022), et seront donc réévaluées dans la prochains mois, mais l’ensemble des données que nous traitons est désormais homogène.
Par rapport aux précédents billets construits sur des données non-homogènes, les résultats ne changent pas de façon perceptible lorsqu’on examine l’ensemble de la population, tous âges confondus. (Hypothèse explicative : le relativement faible nombre de décès à l’étranger est imperceptible dans le grand nombre de décès des personnes les plus âgées fragiles, qui voyagent relativement peu.) Pour l’ensemble des moins de 65 ans, et pour les 4-19 ans en particulier, la différence n’est pas considérable ; on s’est contenté de mettre à jour les figures du billet qui traitait de ces classes d’âges : l’analyse reste inchangée.
En revanche, pour les jeunes de 20 à 39 ans, la mise à jour avec les données homogènes modifie les résultats, et nécessite une révision partielle de l’analyse.
Ci-dessous, nous reprenons donc le billet « Y a-t-il une surmortalité chez les 20-40 ans depuis 2021 ?« , avec de nouveaux graphiques en remplacement des anciens, et en signalant en gras les passages modifiés.
Y a-t-il une surmortalité chez les 20-40 ans depuis 2021 ?
Ce billet est un complément du précédent. Pour le comprendre il est préférable d’avoir lu le billet « Y a-t-il une surmortalité depuis 2021 ? »
Le commentaire de TD sur la précédente analyse étant pertinent, on a mené l’analyse d’une éventuelle surmortalité sur une autre tranche d’âge : les 20-40 ans. (Plus précisément : les 20 classes âgées entre 20 et 39 ans au 1er janvier d’une année ; ce sont donc les personnes nées de 1975 à 1994 quand on parle de 2015, par exemple, ou les personnes nées entre 1982 et 2001 quand on parle de 2022.)
Voici d’abord la représentation du nombre brut des décès quotidiens de 2015 à 2022 :

Comme les 5-20 ans qu’on a examinés dans le précédent billet, ce sont des classes d’âges qui connaissent généralement un faible nombre de décès. Un évènement catastrophique ponctuel touchant des membres de cette tranche d’âge est donc facilement détectable. Ici, les deux pics visibles en 2015 correspondent au crash d’un Airbus dans les Alpes de Haute Provence le 24 mars, et aux attentats du 13 novembre, avec des nombres de décès exceptionnels les 13 et 14 novembre.
Pour une meilleure lisibilité, dans le graphique incluant la courbe des décès attendus, on a ajusté l’échelle ; cela tronque les deux pics de 2015 mais permet de mieux visualiser les courbes.

Parenthèses :
– On remarquera que, puisqu’il se base sur la moyenne de 2015 à 2019 qui inclut les évènements exceptionnels de 2015, le nombre de décès attendus prévoit des pics de mortalité le 24 mars et les 13-14 novembre de chaque année. On aurait pu chercher à corriger ces pics attendus (dont on sait qu’on n’a aucune raison de les prévoir) en « supprimant » une partie des données de 2015, mais cela aurait posé des questions de méthodologie, et on a préféré garder la courbe telle quelle.
– On notera aussi que la courbe des décès attendus prévoit un pic le 1er janvier de chaque année. Il n’y a eu aucune catastrophe un 1er janvier, mais la raison est ailleurs : chaque année, le 1er janvier connaît un petit surcroît de décès, sans doute lié à des accidents dus à l’alcool consommé lors du réveillon, et à des suicides. Et, tandis qu’aux autres dates de l’année, le côté aléatoire des dates de décès conduit à ce qu’un excès de décès une année (dû au hasard) soit relativement compensé lors du calcul de la moyenne, par des nombres de décès « normaux » à la même date les autres années, à l’inverse, le 1er janvier, ces petits excès se retrouvent systématiquement chaque année, ne sont pas compensés par des creux lors d’autres 1er janvier, et finissent par apparaître comme un point singulier dans les moyennes calculées pour chaque jour.
Revenons à notre analyse :
On a cerclé, en jaune, une période, vers la mi-2021, pendant laquelle on semble percevoir une densité de décès inhabituelle : au lieu d’une alternance aléatoire de barres bleues hautes et basses, on observe un apparent resserrement des barres bleues. Cela pourrait correspondre à une hausse de la fréquence des décès, mais le graphique ne permet pas de le voir clairement.
On va chercher à le vérifier de diverses façons :
D’abord en traçant la courbe de la moyenne glissante sur 30 jours du nombre de décès :

Ce n’est pas spectaculaire, mais on observe tout de même que, alors que la moyenne des décès quotidiens était basse durant les premiers mois de 2021 (en-dessous de la moyenne des années précédentes), elle a sensiblement augmenté à partir de mai, et est restée haute au 2ème semestre et, dans une moindre mesure, en 2022 (au-dessus de la moyenne des années précédentes.) Or, contrairement aux personnes très âgées et/ou fragiles, on ne peut pas dire des jeunes de 20-40 ans qui ne meurent pas en janvier ou en mars qu’ils « ont été épargnés par chance » mais qu’on s’attend à ce qu’ils meurent en août ou en décembre. En effet, les jeunes de 20 à 40 ans ne sont pas sensibles aux variations météorologiques comme le sont les personnes en fin de vie. Cette hausse soudaine des décès à partir de mai n’est donc pas un « retour à la normale » mais un changement de tendance, qui interroge. En effet, la corrélation temporelle avec la campagne vaccinale, montée en puissance début mai 2021 chez les jeunes, est manifeste ; et la question de la causalité se pose donc.
Autre façon de représenter graphiquement le phénomène : comme pour les autres tranches d’âge, on peut tracer les courbes du cumul des décès au 1er janvier, en part des décès attendus dans l’année.

On voit (difficilement sur ce graphique) que l’année 2021 avait commencé comme la meilleure année depuis 2015, avec la mortalité standardisée la plus faible, mais qu’elle a terminé comme la deuxième plus mauvaise année.
Zoomons sur deux périodes pour mieux voir cette différence. Mai et juin pour commencer :

Puis novembre et décembre :

C’est clair : la courbe rose de 2021 était en-dessous des autres en mai-juin, et elle se retrouve au-dessus des autres (sauf 2015 et 2022) le 31 décembre.
Si, en bilan annuel, la mortalité des jeunes de 20 à 40 ans n’a pas été exceptionnelle en 2021, restant une mauvaise année proche des taux observés les autres années, un phénomène doit toutefois être étudié et analysé : une accélération des décès de cette tranche d’âge à partir de la mi-2021, qui a totalement annulé l’avantage que cette année avait commencé par connaître par rapport aux précédentes.
De quel ordre de grandeur est le « rattrapage » des décès intervenu à partir de mai-juin 2021 ? Si on revient au chiffres de mortalité bruts, on observe qu’au 1er juin 2021, le cumul des décès depuis le 1er janvier avait atteint 3980 décès, moins que le plus bas bilan au 1er juin des années précédentes : le 1er juin 2020 (meilleure année pour les 20-40 ans), il y avait eu 4031 décès depuis le 1er janvier (sans inclure les décès du 29 février, afin de garder un nombre de jours équivalent.) On pouvait donc espérer un bilan au 31 décembre du même ordre que celui de 2020. Or, au 31 décembre 2020, il y avait eu 9943 décès (sans compter le 29 février) et, au 31 décembre 2021, 10.282 décès. C’est à dire environ 400 décès de plus que ce qu’on pouvait espérer en suivant le rythme de l’année 2020. On ne peut pas conclure de ce calcul à une certitude quant à ce chiffre de 400, mais on peut à coup sûr estimer qu’entre juin et décembre 2021, plusieurs centaines de décès inattendus ont été enregistrés chez les jeunes de 20 à 40 ans.
L’année 2022, quant à elle, est une année de mortalité élevée pour les 20-40 ans : c’est la pire année dans la période envisagée ici, et elle n’est surpassée par 2015 qu’à cause du bilan des attentats du 13 novembre. (L’infléchissement observé fin décembre correspond simplement aux retards dans la remontée des information sur les décès : une part de plus en plus faible des décès réellement intervenus est incluse dans les fichiers lorsqu’on s’approche du 30 décembre 2022. Lorsque les données seront mises à jour, la courbe ne présentera plus une telle inflexion.)
Comme on l’avait observé dans le billet précédent, on ne trouve pas non plus de signe d’un « génocide » dans les chiffres de la mortalité chez les 20-40 ans. Mais on détecte un signal qui devrait conduire les autorités à enquêter et à chercher une explication à la nette inflexion à la hausse de la mortalité des jeunes au cours de l’année 2021, avec quelques centaines de décès inattendus sur 2021, et une surmortalité du même ordre qui se prolonge en 2022. Sur la base de la mortalité moyenne observée entre 2015 et 2019 et du nombre de jeunes âgés entre 20 et 39 ans au 1er janvier 2022, on se serait attendu à 9.817 décès parmi eux entre le 1er janvier et le 15 décembre 2022. Les chiffres encore provisoires fournis par l’INSEE indiquent déjà 10.004 décès à cette date. La surmortalité observée en 2022 est donc également de l’ordre de 200 ou 300 décès de plus qu’attendu.
A quoi cette période de surmortalité depuis la mi 2021 peut-elle être due chez les jeunes ? On peut penser à une hausse des suicides induite par la période du confinement, les études et la vie sociales bouleversées, et leurs conséquences anxiogènes ; on peut sans doute imaginer d’autres causes, ou croire au simple hasard, mais on ne peut pas écarter l’hypothèse de l’implication des vaccins.
Et si quelques centaines de décès de jeunes de 20 à 40 ans depuis 2021 s’avèrent être imputables à une intervention humaine, ce nombre n’est certes pas susceptible de modifier la démographie de la France, mais c’est bien davantage que le bilan du 13 novembre 2015 qui a scandalisé le monde entier, et cela ne peut pas être considéré comme négligeable ou excusable. Reste à savoir si le même phénomène se retrouve dans d’autres pays que la France, et si l’enquête sera sérieusement menée quelque part…
(Des analyses plus approfondies sur d’autres tranches d’âge suivront.)
Merci encore pour ce travail. En attendant les chiffres des suicides pour la période et la tranche d’âge étudié (encore du travail pour les courageux).
Bobard or not bobard sur L’Exposé ? ! ! ! ! ! ! !
« Un dénonciateur du NHS, qui souhaite rester anonyme, a avancé des allégations selon lesquelles les hôpitaux du NHS n’ont pas été débordés pendant la pandémie de Covid-19, comme l’ont rapporté les autorités et les médias grand public.
Le dénonciateur a également confirmé que le peu de soins prodigués tout au long de la pandémie équivalait à de la négligence, et que les patrons du gouvernement et du NHS avaient essentiellement demandé au personnel de laisser les gens mourir, ou dans certains cas de les tuer via le programme de « soins de fin de vie » et d’étiqueter faussement le décès comme étant dus au Covid-19. »
https://expose-news.com/2023/01/21/nhs-staff-told-to-kill-patients-for-covid/?cmid=7103ec25-46e7-482a-bb70-493b9bb4c2a1
Ne pas se contenter d’ergoter sur le chapeau, lire tout l’article circonstancié !
Mengele a fait bien moins de victimes que le NHS ! ! !
On ne pourra faire les comptes qu’une fois l’armée des covidistes vaincue, mais ça va leur faire très mal (hélas pas les tuer… à moins que quelques-uns aient la décence de se suicider).
» Mortalité des jeunes de 20 à 40 ans depuis 2021 »
Très bien, ça s’est fait.
Arès les personnes agées et les adultes, reste à faire les ados, puis les enfants, puis les bébés, puis les embryons, puis les stérilités…
Plus tard, bien plus tard, on pourra se pencher sur les effets à la seconde génération, et encore bien plus tard à la 3e (pour le distilbène ce ne sont pas seulement les files mais aussi les petites filles qui ont des problèmes… mais c’est réservé aux initiés).
Bonjour,
Il faut rester crédible et les contributions d’Enzo L. me paraissent y contribuer en fonction des quantification existantes et avec sérieux et rigueur .
On ne peut, comme Neil Ferguson avancer des chiffres catastrophiques sans perdre toute crédibilité.
La gestion de cet épisode est suffisamment révoltante sans en rajouter :
quasi-interdiction des soins ;
suspension des personnels non-injectés ;
chasse à l’homme contre ceux qui questionnent ces injections ;
atteintes sévères aux libertés collectives et individuelles, etc.
C’est absolument révoltant mais jusqu’ici point de révolte !
Seuls les dénombrements de l’INSEE ou de la DRESS sont disponibles avec leurs défauts.
Bien entendu il peut y avoir quelques manœuvres mais probablement marginales.
Nous parlons là des valeurs brutes pas de leur exploitation par ces organismes.
Par exemple la DRESS fournissait les chiffres des contaminations, cas critiques et décès en fonction des injections.
Ils étaient utilisés par G. Rozier sur CovidTraker.
Ces chiffres montraient de plus en plus l’inutilité des injections voire le danger qu’elles pouvaient représenter.
A la mi-juin 2022, ils ne sont plus disponibles !
Des épidémiologistes demandent en vain l’accès aux données brutes, est-ce un secret d’état ?
Si elles existent , que fait la Commission d’accès aux documents administratifs (Cada) ?
Sinon, plus personne ne sait compter dans ce pays et heureusement que McKinsey existe ?!
Bref, l’arnaque est patente, nous n’en voyons que certains aspects. Il est probable qu’à force de mettre la poussière sous le tapis, ça va finir par se voir, en partie ou en totalité …
De toute façon, la bataille sera rude ….
Merci à ceux qui tentent d’éclairer les choses.
Bonjour tousss on gèle et il pleut
Ici il en parle !!! Pierre Chaillot, créateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco et auteur de “Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels” aux éditions l’Artilleur. https://yewtu.be/watch?v=7cdXeV6Ab7c
Bonjour,
Même en mégotant sur les causes des décès de 400 jeunes, même en racontant « qu’on ne connaissait pas cette maladie », même en racontant que les essais cliniques avec l’HCQ + Azithro, ou l’Ivermectine, ou sans tester le Clofoctol ne correspondaient pas aux « canons » des essais cliniques de la médecine actuelle, il est de toute façon CRIMINEL de :
* renvoyer les malades chez eux sous paracétamol en attendant l’insuffisance respiratoire aiguë. Traitement Buzyn.
* de déclarer comme « non pertinente » une sérologie pré-vaccinale.
* rendre quasi obligatoire un injection chez des sujets qui n’en ont aucun besoin (jeunes, ou déjà immunisés -sérologie positive).
* injecter des femmes enceintes en prétendant que ce « vaxxin » protégera aussi leur enfant par de « bons anticorps » et qu’un essais effectué sur des millions de personnes donne un recul suffisant… sans demander aux femmes et filles Thalidomide, Distilbene, Dépakine, Androcur ou Médiator ce qu’elles en pensent,
* prétendre que les anticorps développés après contage avec le virus disparaissent rapidement et ne protègent pas. Et la mémoire immunitaire, bordel !
* interdire aux médecins d’exercer…
* etc. Etc. Etc.
A quand un procès pour « Crime contre l’humanité » ? Mais il est vrai que ces procès ont toujours été décidés et organisés par les vainqueurs, ou les dirigeants au pouvoir, jamais par les vaincus ou les opprimés -Algérie, Viet Nam, Irak, Dombass 2014 2022 Non, mais Poutine Oui…
Comment une population peut-elle accepter et supporter un tel « foutage de gueule » ?…
PS. Je suis médecin biologiste retraité, et le « foutage de gueule » était évident dès le début, et à tout le moins très rapidement…
Bonjour
J’ajouterai que en plus, on n’a jamais parlé de prévention avec de la vitamine D du zinc, n’y lancé une campagne contre l’obésité qui accroissait le risque de décès du covid.
Bonjour
La vraie prévention n’engraisse personne et donc n’intéresse pas nos tristes autorités alias Le Système (totalitaire) qui prétend nous protéger.
Même les traitements existants, éprouvés et peu coûteux sont systématiquement dénigrés, à l’évidence pour la même « raison ».
Comment nous débarrasserons-nous de ces sangsues ?
Sauf que coïncidence (pour peu qu’on trouve ici une véritable coïncidence…) Ne signifie ni corrélation et encore moins causalité…. Au revoir vous oublié de préciser une chose très importante : ce sont les effets à long terme du Covid, qui sont encore mal connus dans le détail, mais de nombreuses études ont déjà montré qu’une infection même asymptomatique avait des effets néfastes sur les vaisseaux sanguins… les risques de caillots sont également multipliés, et dans des facteurs bien plus importants qu’avec le vaccin… non pas que le vaccin est sans effets ni qu’il n’a entraîné aucune hausse de la mortalité. Mais plutôt qu’on n’a pas toutes les données scientifiques en main pour simplement essayer de faire des corrélations graphiques…
En effet, je suis dans la même colère /incompréhention, mais hier j’étais à côté d’un couplé plutôt sympa, les rassurant sur ma toux chronique (DDLB)
vu qu’ils l’interrogeaient du regard.. Ils me répondent en souriant : pas de soucis, nous n’avons pas peur, vous savez nous sommes bien vaccinés de tout !..
Je suis restée dépitée…
Monsieur LE GUEULT,
J’apprécie beaucoup votre indignation et je la partage. Je suis atterré par l’absence de réaction de la majorité de la population. On peut tout tenter, ça passe!
Des centaines de milliers de personnes dans la rue aujourd’hui à l’appel des syndicats mais pas un seul syndicat pour défendre les milliers de suspendus!!!…Plus tout le reste trop long à développer !
Yapuka connaître leur statut vaXXinal…
Cher Zola, vous revoilà redevenu si prudent que vous regardez à nouveau un incendie avec un microscope. Vos analyses sont sérieuses, vos conclusions cohérentes. Mais vous ne voulez décidément pas regarder plus loin, sauf de temps en temps où vous vous autorisez à dire le fond de votre pensée.
Petit détail : Enzo n’est pas Zola et inversement non plus. Perso j’hésite à travailler sur les chiffres France, quels qu’ils soient. Peut-on tirer de bonnes conclusions avec des chiffres non fiables ? Ceci dit il faut bien y travailler, et content que d’autres le fassent.
Je crois qu en matières de chiffres vous savez débusquer un loup votre deuxième travail vous a suffisamment éduqué à ça !!
Encore merci de votre blog
« Il n’y a que lorsqu’on ne travaille pas que l’on ne fait pas d’erreur » disait mon grand-père. Merci Enzo L
200 à 300 jeunes décédés en plus c’est terrible.
pardon pour eux et leurs proches, mais il faut parfois des images…vous les mettez bout à bout, cela doit faire 400 à 500 m de long !
Un très grand merci Enzo pour avoir continué à creuser, découvert l’erreur, et modifié.
Et ça méritait, car la courbe de mortalité des 20.40 indique un problème .
Il s’agit de savoir lequel.
Salut, Honneur à l’Honnêteté, l’Intégrité, la modestie, sources de Jouvence, d’enrichissement et de progression pour Tous,
Grand Mercis Enzo L.,
Chaleureusement
Ecoutez bien cet avocat qui a été conseiller de beaucoup de gouvernement…écoutez bien son dépôt de plainte contre le Président
https://video.doctorstalk.ch/v/.B2KzWTmpteAVMVxyd7iV2g
« On peut penser à une hausse des suicides induite par la période du confinement, les études et la vie sociales bouleversées, et leurs conséquences anxiogènes ; »
Mais penser aux séquelles du covid, en particulier les centaines de milliers de covids longs (non traités précocément) que l’état laisse crever chez eux depuis des années surtout pas! Voilà les covids longs pris entre le marteau des sales macronards (qui veulent cacher les victimes) et l’enclume- le grand nombre de leurs opposants complètement manipulés pour qui tous les maux sont dus aux vaccins alors que le covid, bien qu’arme biologique artificielle, lui n’est qu’un rhume et que la spike est la même.
On ne vous remercie pas pour ce coup de poignard dans le dos !
J’ignorais qu’on comptait des décès liés aux Covid longs, mais si tel est le cas, c’est en effet une des hypothèses à envisager. Ils font d’ailleurs partie des scandales liés au déni des traitements précoces.
Outre les décès voici autre chose :https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/66?fbclid=IwAR2MXzrQZ-b7mC9W-1W3dipz4SU5zIH3WxUaJQUXeHTPjlBNImA_I9pQUNwEmergence of a New Creutzfeldt-Jakob Disease: 26 Cases of the Human Version of Mad-Cow Disease, Days After a COVID-19 Injection
pas très réjouissant pour les vaccinés.
« J’ignorais qu’on comptait des décès liés aux Covid longs, »
Si le confinement est anxiogène, que dire de ceux qui ont des douleurs 24h/24 souvent ne peuvent pas quitter la maison ni le lit, depuis 3 ans, à qui on refuse soins, reconnaissance, soutien financier, à qui on dit en s’appuyant sur des études bidons de corrompus de la HAS que c’est psychologique alors que quand on cherche les anomalies sont nombreuses, le virus persiste partout dans le corps, y compris le cœur et le cerveau, et détruit à petit feu le système immunitaire. Regardez les alertes des associations upgcs et après j20. Les covids longs sont les grands oubliés de cette crise, pris entre les feux de deux camps qui cherchent chacuns à dissimuler leurs errements.
Rappel: l’ivermectine est efficace y compris sur covids longs… (vidéo de médecins qui en ont témoigné, je n’ai plus les liens, et la FLCC propose un protocole pour cela) traitement sans EI, contrairement au doliprane totalement inefficace pour combattre le covid d’un cout dérisoire, mais interdit pour permettre l’injection de produits toxiques.
Votre rappel véhément et décalé sur les effets délétères du covid long est complètement hors du sujet de ce billet.
Ce billet met en évidence un excès de décès dans la tranche d’âge 20 – 39 ans.
Or si une des causes majeures de cet excès était due au covid long, on en verrait aussi les conséquences dans toutes les tranches d’âge, et à fortiori chez les tranches d’âge d’individus plus âgés, ce qui n’est pas le cas, à moins que vous pensiez que seuls les jeunes en sont les victimes.
Nous traiter stupidement d’opposants (en grand nombre !) complètement manipulés et pour qui tous les maux sont dus aux vaccins ajoute à la confusion de votre post.
Sans parler du coup de poignard dans le dos assertion hallucinée!
« Or si une des causes majeures de cet excès était due au covid long, on en verrait aussi les conséquences dans toutes les tranches d’âge »
Dans le cas des victimes du vaccin comme dans le cas des victimes du covid long, c’est la spike qui va causer les problèmes:
– induction d’autoanticorps
– dérèglement du système ACE 2, lire à ce sujet les intervention Sabatier sur France Soir
– le covid est latent chez un grand nombre de personnes qui ont eu le covid sans avoir le covid long. Une biopsie sur le système digestif a montré une prévalence de 30 % de persistance virale dans le système digestif chez ceux qui ont eu le covid, pas forcément covid long. Une hypothèse est qu’un grand nombre de victimes du vaccin auraient leur pathologie causée par une réactivation du covid latent consécutive à un dérèglement du système immunitaire induit par le vaccin
– vu que c’est la même spike qui est la cause, il en résulte que les profils de surmortalité sont très probablement similaires, sachant que la surmortalité en proportion se verra plus dans la tranche des 20-40 ans qui a la mortalité la plus basse.
Vous trouvez normal qu’on évoque les victimes du vaccin et les gens rendus dépressifs par le confinement sans évoquer les malades du covid long. Ceci est absurde car grand nombre de covids longs sont confinés chez eux depuis trois ans, détresse à laquelle s’ajoutent les souffrances physiques, la détresse financière, la non reconnaissance de la maladie, la peur de ne jamais guérir. Alors qu’il n’y a pas de statistique en france, le nombre de covid long est évalué à deux millions au royaume uni, comment négliger pareille chose.
Qu’ils le veuillent ou pas, ceux qui ne parlent que des victimes du vaccin sans parler des victimes du covid long font le jeu du gouvernement:
– Cela absout le crime du gouvernement qui a laissé se répandre un virus dangereux issu de la biotechnologie US , qui a interdit les traitements précoces
– Les personnes qui ont laissé se répandre un virus dangereux et qui ont interdit les traitements précoces sont les mêmes que celles qui ont voulu la politique vaccinale
– Cela divise les victimes et nuit à la reconnaissance des covids longs comme des victimes du vaccin qui se retrouvent prises entre deux feux. En divisant le problème, on peut cacher les deux maladies plus facilement
– Cela nuit à la recherche pour les uns comme pour les autres au vu de la pathologie proche entre les deux maladies. Par exemple le BC007, en neutralisant la spike et les autoanticorps pourrait sauver les deux groupes. Mais volontairement rien n’est fait pour la recherche et la diffusion de ce médicament, aux effets connus contre le covid aigu depuis 2020 et contre le covid long depuis le printemps 2021. Un malade qui n’est plus malade est moins rentable qu’un malade qui reste malade.
Voici deux liens pour vous documenter un peu plus
https://www.upgcs.org/2022/06/22/bc007-quand-les-autorit%C3%A9s-sanitaires-ignorent-un-m%C3%A9dicament-prometteur-pour-le-covid-long-et-l-encephalomy%C3%A9lite-myalgique/
https://www.upgcs.org/2022/06/27/derri%C3%A8re-le-lobbye-de-la-psychologisation-du-covid-long/
A noter que devant un juge cela pèse moins lourd de dire qu’on a fait la politique vaccinale en s’appuyant sur des études dont on peut prétendre qu’on ne pouvait pas savoir qu’elles étaient fausses que d’avoir laissé répandre un virus dont les chinois avaient averti officiellement études à l’ appui de la dangerosité et dont ils avaient essayé avec succès le traitement hcq et azy vant Raoult, ce que Raoult a reconnu lui-même.
La charge est beaucoup plus lourde pour les dirigeants français si on reconnaît la dangerosité extrême du virus à sa juste mesure que si on ne la reconnaît pas
Autant je suis d’accord sur le fait que l’analyse de l’article obère complètement les effets, plus ou moins connus d’ailleurs, du Covid sur le long terme, en particulier sur le système cardiaque, autant dire que ça fait le jeu du gouvernement et que c’est un virus issu de la biotech us… là vous êtes dans l’incantation…