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Y a-t-il une surmortalité chez les 20-40 ans depuis 2021 ?

Avertissement : le texte ci-dessous contient des erreurs et ne doit pas être pris en compte. Une version rectifiée est disponible ici : https://www.covid-factuel.fr/2023/01/18/erratum-mortalite-des-jeunes-depuis-2021/ (mise à jour du 18 janvier 2022.)

Ce billet est un complément du précédent. Pour le comprendre il est préférable d’avoir lu le billet « Y a-t-il une surmortalité depuis 2021 ? »

Le commentaire de TD sur la précédente analyse étant pertinent, on a mené l’analyse d’une éventuelle surmortalité sur une autre tranche d’âge : les 20-40 ans. (Plus précisément : les 20 classes âgées entre 20 et 39 ans au 1er janvier d’une année ; ce sont donc les personnes nées de 1975 à 1994 quand on parle de 2015, par exemple, ou les personnes nées entre 1982 et 2001 quand on parle de 2022.)

Voici d’abord la représentation du nombre brut des décès quotidiens de 2015 à 2022 :

Comme les 5-20 ans qu’on a examinés dans le précédent billet, ce sont des classes d’âges qui connaissent généralement un faible nombre de décès. Un évènement catastrophique ponctuel touchant des membres de cette tranche d’âge est donc facilement détectable. Ici, les deux pics visibles en 2015 correspondent au crash d’un Airbus en Haute-Savoie le 24 mars, et aux attentats du 13 novembre, avec des nombres de décès exceptionnels les 13 et 14 novembre.

Pour une meilleure lisibilité, dans le graphique incluant la courbe des décès attendus, on a ajusté l’échelle ; cela tronque les deux pics de 2015 mais permet de mieux visualiser les courbes.

Parenthèses :

– On remarquera que, puisqu’il se base sur la moyenne de 2015 à 2019 qui inclut les évènements exceptionnels de 2015, le nombre de décès attendus prévoit des pics de mortalité le 24 mars et les 13-14 novembre de chaque année. On aurait pu chercher à corriger ces pics attendus (dont on sait qu’on n’a aucune raison de les prévoir) en « supprimant » une partie des données de 2015, mais cela aurait posé des questions de méthodologie, et on a préféré garder la courbe telle quelle.

– On notera aussi que la courbe des décès attendus prévoit un pic le 1er janvier de chaque année. Il n’y a eu aucune catastrophe un 1er janvier, mais la raison est ailleurs : chaque année, le 1er janvier connaît un petit surcroît de décès, sans doute lié à des accidents dus à l’alcool consommé lors du réveillon, et à des suicides. Et, tandis qu’aux autres dates de l’année, le côté aléatoire des dates de décès conduit à ce qu’un excès de décès une année (dû au hasard) soit relativement compensé lors du calcul de la moyenne, par des nombres de décès « normaux » à la même date les autres années, à l’inverse, le 1er janvier, ces petits excès se retrouvent systématiquement chaque année, ne sont pas compensés par des creux lors d’autres 1er janvier, et finissent par apparaître comme un point singulier dans les moyennes calculées pour chaque jour.

Revenons à notre analyse :

On a cerclé, en jaune, une période, vers la mi-2021, pendant laquelle on semble percevoir une densité de décès inhabituelle : au lieu d’une alternance aléatoire de barres bleues hautes et basses, on observe un apparent resserrement des barres bleues. Cela pourrait correspondre à une hausse de la fréquence des décès, mais le graphique ne permet pas de le voir clairement.

On va chercher à le vérifier de diverses façons :

D’abord en traçant la courbe de la moyenne glissante sur 30 jours du nombre de décès :

Ce n’est pas spectaculaire, mais on observe tout de même que, alors que la moyenne des décès quotidiens était basse durant les premiers mois de 2021 (en-dessous de la moyenne des années précédentes), elle a sensiblement augmenté à partir de mai, et est restée haute au 2ème semestre (au-dessus de la moyenne des années précédentes.) Or, contrairement aux personnes très âgées et/ou fragiles, on ne peut pas dire des jeunes de 20-40 ans qui ne meurent pas en janvier ou en mars qu’ils « ont été épargnés par chance » mais qu’on s’attend à ce qu’ils meurent en août ou en décembre. En effet, les jeunes de 20 à 40 ans ne sont pas sensibles aux variations météorologiques comme le sont les personnes en fin de vie. Cette hausse soudaine des décès à partir de mai n’est donc pas un « retour à la normale » mais un changement de tendance, qui interroge. En effet, la corrélation temporelle avec la campagne vaccinale, montée en puissance début mai 2021 chez les jeunes, est manifeste ; et la question de la causalité se pose donc.

Autre façon de représenter graphiquement le phénomène : comme pour les autres tranches d’âge, on peut tracer les courbes du cumul des décès au 1er janvier, en part des décès attendus dans l’année.

On voit (difficilement sur ce graphique) que l’année 2021 avait commencé comme la meilleure année depuis 2015, avec la mortalité standardisée la plus faible, mais qu’elle a terminé comme la deuxième plus mauvaise année.

Zoomons sur deux périodes pour mieux voir cette différence. Mai et juin pour commencer :

Puis novembre et décembre :

C’est clair : la courbe rose de 2021 était en-dessous des autres en mai-juin, et elle se retrouve au-dessus des autres (sauf 2015) le 31 décembre.

Si, en bilan annuel, la mortalité des jeunes de 20 à 40 ans n’a pas été exceptionnelle en 2021, restant une mauvaise année proche des taux observés les autres années, un phénomène doit toutefois être étudié et analysé : une accélération des décès de cette tranche d’âge à partir de la mi-2021, qui a totalement annulé l’avantage que cette année avait commencé par connaître par rapport aux précédentes.

De quel ordre de grandeur est le « rattrapage » des décès intervenu à partir de mai-juin 2021 ? Si on revient au chiffres de mortalité bruts, on observe qu’au 1er juin 2021, le cumul des décès depuis le 1er janvier avait atteint 3980 décès, moins que le plus bas bilan au 1er juin des années précédentes : le 1er juin 2020 (meilleure année pour les 20-40 ans), il y avait eu 4031 décès depuis le 1er janvier (sans inclure les décès du 29 février, afin de garder un nombre de jours équivalent.) On pouvait donc espérer un bilan au 31 décembre du même ordre que celui de 2020. Or, au 31 décembre 2020, il y avait eu 9943 décès (sans compter le 29 février) et, au 31 décembre 2021, 10.282 décès. C’est à dire environ 400 décès de plus que ce qu’on pouvait espérer en suivant le rythme de l’année 2020. On ne peut pas conclure de ce calcul à une certitude quant à ce chiffre de 400, mais on peut à coup sûr estimer qu’entre juin et décembre 2021, plusieurs centaines de décès inattendus ont été enregistrés chez les jeunes de 20 à 40 ans.

L’année 2022, en revanche, ne présente pas de singularité remarquable, et c’est une année dans la moyenne basse par rapport à la période 2015-2022.

Comme on l’avait observé dans le billet précédent, on ne trouve pas non plus de signe d’un « génocide » dans les chiffres de la mortalité chez les 20-40 ans. Mais on détecte un signal qui devrait conduire les autorités à enquêter et à chercher une explication à la nette inflexion à la hausse de la mortalité des jeunes au cours de l’année 2021, avec quelques centaines de décès inattendus. Et si de l’ordre de 400 décès de jeunes de 20 à 40 ans s’avèrent être imputables à une intervention humaine au cours de 2021, ce nombre n’est certes pas susceptible de modifier la démographie de la France, mais c’est bien davantage que le bilan du 13 novembre 2015 qui a scandalisé le monde entier, et cela ne peut pas être considéré comme négligeable ou excusable. Reste à savoir si le même phénomène se retrouve dans d’autres pays que la France, et si l’enquête sera sérieusement menée quelque part…

Enzo L.

83 commentaires

  1. Record de sous natalité en 2022…
    …mais mais mais, corrélation n’est pas causalité bien sûr !
    (paraît que les FFP2 ne laissent pas passer les spermatozoïdes 😉 )

  2. Merci pour cette 2d analyse, je n’en attendais pas tant ! Je m’étonne aussi comme d’autres commentateurs de la différence entre la France et certains autres pays européens et mêmes les chiffres d’Euromomo qui semblent indiquer le même changement de pente mais de façon beaucoup plus dramatique. Mais c’est un autre sujet.
    En tout cas merci beaucoup de tenir compte des commentaires, c’est très appréciable ! Et merci pour votre travail :-).

  3. Bonjour,
    J’ai trouvé quelqu’un (jytou) qui a travaillé un peu le sujet de la mortalité en France toutes causes confondues à partir des données de l’INSEE, en code libre.
    https://blog.jytou.fr/2020/11/14/surveiller-la-mortalite-toutes-causes-en-open-source/
    Et la mise en œuvre du code.
    https://me.jytou.fr/obsfr/index.php
    Si des compléments au code (je n’y connais rien) peuvent être faites pour montrer les cumuls ou autre, encore faire une représentation à partir du 1 Juillet pour voir apparaître les pics de décès d’hivers en milieu de courbe, et pas a cheval entre deux années, ce serait top.
    Ça permettrait un peu de jouer avec les données. Et n’hésitez pas à partager le code libre !

    Si on regarde les courbes en “étalé” pour qu’elles soient un peu lissées, depuis 2019 par tranches d’age, il me semble qu’il y a une remontée en été 2021. Folie d’un début été 2021 “libéré” du COVID ou début de la vaccination ?
    Au delà des morts, les statistiques des maladies potentiellement liées à des effets indésirables devraient logiquement exploser si elles suivent les déclarations des qui ont été faites dans les bases de données. Mais à qui les attribuera-t-on ?
    Bien à vous et merci pour vos analyses.

    • oui, on aimerait être d’accord avec
      “Or, l’INSEE fournit exactement ces données détaillées. Les données ont toujours 1 mois et demi à 2 mois de retard. ”
      mais ce n’est vraiment pas si certain, il peut y avoir près d’un siècle ( cf un commentaire citant un nouvel entrant de décès décédé en 1926..
      Même si c’est à la marge à ce niveau de décalage, “1 mois et demi à 2 mois de retard.”, ça peut changer beaucoup de choses concernant l’allure des courbes sur 3 mois et leur interprétation…

  4. @ Enzo
    “Attendre des heures voire des jours aux urgences avec une fracture ou une infection ne tuera pas toutes les personnes concernées mais relève de la maltraitance”.
    Merci de rappeler ce fait qui devrait être systématiquement souligné par tous, et d’abord par les médecins, les avocats et les médias officiels.
    —-

  5. Merci Enzo L.
    Vos contributions mesurées et rigoureuses montrent que le Covid est loin de la catastrophe sanitaire annoncée par les pouvoirs et qu’il n’est pas besoin de crier au ‘génocide’ par injections.
    La barque est suffisamment chargée !
    Entre la gestion de cette ‘pandémie’, la peur instillée, la quasi-obligation vaccinale, le recul orchestré les libertés individuelles et collectives, etc. inutile d’en rajouter.
    Merci encore.

  6. Vous ne pouvez pas dire que l’Insee est “neutre”.

    Quelques rappels :
    -l’Insee a bel et bien commis un “péché originel” au début de la pseudo terrible pandémie, en publiant un graphique des décès A PARTIR du 1er mars 2020 (avec comparaison même période sur les années précédentes)…
    Le résultat ? Grossir artificiellement les “morts du Covid”… en gommant opportunément les décès hivernaux de janvier et février.

    Ce graphique a été repris par tous les médias, et a contribué à effrayer les gens, à installer le mensonge du Covid et de la terrible pandémie.

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/4500439?sommaire=4487854

    -autre exemple : le PIB. Un truc synthétique calculé à partir d’autres trucs synthétiques. Bidonné au dernier degré, avec des fantaisies du type “le déflateur” (l’inflation)… permettant de comprendre pourquoi le calcul de l’inflation est lui aussi tellement bidonné (car stratégique pour calculer le fameux “taux de croissance” du PIB… indicateur politique s’il en est).

    -ajustement hédonistes (le disque dur est X fois plus gros DONC on considère que son prix… BAISSE ! Ah oui et de combien ?), substitution, manip sur la composition du fameux “panier”. Le taux d’inflation est une masquarade… signée et tamponnée par les fonctionnaires de l’Insee…

    -et inutile de s’étendre que l’immigration, le chômage etc.

    Bref, non l’Insee en tant qu’agence publique, est bel et bien “politique” (hélas).

    Pour les décès toutes causes, il faut rappeler 2 choses :
    -les données sont “préliminaires” (toute l’année 2021, quasiment , est encore “préliminaire”)
    -et ensuite les données sont SYSTEMATIQUEMENT “révisées” (vers le haut forcément !).

    On peut donc tout à fait concevoir que l’Insee freine des pieds pour ralentir la remontée des certificats de décès 2022 (en version électronique et en version papier, eh oui la France est encore un pays du tiers monde… qui triture des papiers sans fin). Seuls 20 % environ des certificats de décès sont “électroniques”…

    L’objectif serait d’offrir un “air bag” au gouvernement… Puis la surmortalité anormale 2022 serait annoncée, mais plus tard, quand plus personne ne regardera.

    Autre indice : si d’autres pays avancés (Allemagne, UK etc.) annoncent -EUX- et dès aujourd’hui des surmortalités anormales en 2022… pourquoi la France serait différente ?

    Le retour du syndrome “nuage de Tchernobyl” qui avait le bon goût et la politesse de s’arrêter aux frontières françaises ?

    Bref, il faudra attendre minimum UN AN, avant d’avoir les données définitives, les vraies, sur 2022. En attendant, la prudence est de mise.

    • Bonjour
      J’ai fait les mêmes constatations que vous @COVIDEMENCE au fil du temps
      En particulier, la manipulation du fameux panier (anciennement dit de la ménagère mais redéfini pour y incorporer tous les produits dits technologie) par l’INSEE pour minimiser la hausse des prix de l’alimentation.
      Cela se pratique depuis des décennies maintenant et “passe crème”.
      Dans ma verte jeunesse je croyais moi aussi que l’INSEE était neutre, mais ce temps est révolu.

      • Non, pas “pour minimiser ” toujours.
        Pour des raisons personnelles j’ai depuis très longtemps réfléchi sur ces calculs.
        On est passé d’une période où les objets étaient l’un dans l’autre, très semblables sur 5 à 10 ans ( machine à écrire, vélo, mobylette, nourriture-conserves et produits frais- etc…à des produits qui se metamorphosaient. Comment comparer un disque 33 t et un CD , un tourne disque et une chaîne hifi, Finies les machines à écrire on passe aux ordinateurs, finies les simples conserves, vive le surgelé et ses plats tt préparés etc..
        Il a fallu , donc, pondérer, considérer que les produits gagnaient en valeur objective, même et surtout si on ne pouvait continuer à trouver les anciens produits .
        La constitution du fameux panier à donc été et reste un casse-tête.
        Il y a donc un besoin objectif, une réalité sous-jacente à ne pas minimiser. Et bien sûr, , si,il y a qq (pas mal) d’années, ceux qui s’en occupaient étaient fortement indépendants du pouvoir, je n’en dirais pas autant aujourd’hui.
        Et cette construction complexe du panier peut être effectivement utilisée à bien autre chose qu’une évaluation quantitative des faits…

        • N’oubliez pas que l’Insee a ménagé un énorme trou dans ce panier : le prix de l’immobilier !

    • Sachant de plus qu’il y a une marge d’erreur légitime et loin d’être insignifiante de l’ordre de 0,5 à 1%. En outre si j’ai bien lu le lien Insérer sur le calcul de la mortalité ce sont les communes qui les envoie à l’insee, peut-être un peu qd elles ont le temps à leur bon vouloir…en bref, pas trop fiable et orientée comme “source” !

    • Je n’ai pas besoin de croire en la neutralité de l’INSEE pour penser que l’hypothèse d’une falsification des bases de données est peu probable. (Le risque qu’un lanceur d’alerte en interne révèle une telle manipulation serait réel.)
      L’interprétation des chiffres, ou des choix politiques de constitution des indicateurs économiques, par exemple, sont à un autre niveau qu’une falsification des données. Ce sont des éléments contestables, mais ouverts.

    • Je suis tout à fait d’accord avec l’analyse du Docteur de Covidemence.
      Il y a quelque chose qui cloche, quelque chose du nuage de Chernobyl 1986 dans les chiffres de l’insee, quand on compare à ce que voient nos voisins. Nous savons malheureusement que notre beau pays est devenu une belle dictature d’opérette sous notre bon roi Jupin 1er. Attendons. La vérité finit toujours par sortir.

  7. certes, ce n’est pas un sujet facile à étudier
    mais peut-être faudrait-il plus sur la question des intefrérences vovid-grippe au plan épidémiologique
    vu l’importance de gestes barrière sur la diffusion de la grippe
    et la confusion fréquente (faute de temps et de volonté) entre ces 2 maladies au moment de déterminer les causes de décès

  8. Selon les données publiées par Euromomo, pour la tranche d’âge 15 ans 44 ans,
    le cumul de surmortalité est le double pour la période 2021/2022 par rapport à la période 2017/2020. (2 fois plus en 2 ans qu’en 4 ans)
    La surmortalité est donc en moyenne pour 2022 4 fois supérieure à la surmortalité des année de 2017 à 2020.
    http://planetenouvelles.canalblog.com

  9. Gloups
    je retire mon commentaire;
    Vous aviez mis les liensen fin de votre document.
    Désolé
    et encore merci

  10. Pr Chabriere
    @EChabriere
    ” La surmortalité en France est actuellement anormalement élevée chez les 45-64 ans.
    A part en 2020, i n’y a pas eu une telle surmortalité.

    Les raisons sont certainement multiples.
    Il sera facile pour l’INSEE d’éclairer cette situation.”

  11. La première bonne nouvelle, c’est qu’on a pas une hécatombe…. le covid ça c’est calmé, le vaccin ça c’est calmé aussi … parce que beaucoup ont levé le pied?
    Pour la tranche 0-19 ans et 20-40 ans, vous avez une super visibilité sur le tableau de bord des décodeurs du monde, qui vit sa vie d’article automatique donc est toujours à jour :
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/11/29/covid-19-les-chiffres-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-en-graphiques_6038751_4355777.html
    Vous avez au milieu du doc, le suivi du nombre d’hospitalisations et de décès par tranche d’âge. Quand vous cliquez sur 0-19 ans comme 20-40 ans, vous voyez les deux pics… durant la vague omicron, le moins létale de toute ! Cela semble être revenu à la normale, depuis que nombreux ont arrêté la vaccination.
    On remarquera que depuis l’Etat applique la reco Raoult, à savoir vacciner les personnes fragiles seulement. Tiens, comme c’est bizarre ce changement de tactique.

    • Et dans cet article., le Monde écrit;
      “En revanche, l’agence dénombre 163 347 morts de personnes porteuses du SARS-CoV-2.”

      “Porteuses” tiens tiens le discours change un.peu@

  12. Bonjour. J’ai moi-même depuis début 2020 “épluché” TOUTES les statistiques de décès de l’INSEE. Jusqu’à l’automne 2021 où il s’est produit une “cassure étrange dans le nombre de décès rapportés. Le nombre de décès quotidiens s’est quasi retrouvé diminué de moitié. Après vérification, et c’est mentionné à mots voilés sur le site de l’INSEE, pour chaque mois un dossier de données est créé. Et on y “entre” tout ce qui est remonté pendant ce mois. Exemple, pendant le mois de juillet j’ai trouvé des décès remontant jusqu’à …. 1926. Vous avez bien lu ! Environ 3 à 5% du nombre de décès mensuls n’ont rien à faire dans le mois concerné et doivient être ventilés à leur place. D’autre part, un nombre important de doublons apparait également.
    Ce qui rend ces “statistiques” quasi inutilisables. Et depuis la “cassure” de septembre 2021, je suis (sans preuve !) convaincu que tous les décès ne sont plus en accès public.
    Pourquoi la France (et d’autres pays) n’ont pas participé à Euromomo depuis la semaine 52/2022 ???
    J’ai essayé aussi de “tirer quelque chose de cohérent” des statistiques de la DREES : mission impossible. D’autres s’y sont cassé les dents aussi.
    Un symptome supplémentaire ces derniers temps est la saturation des services de pompes funèbres. Mais là aussi, est-ce suite à un manque de personnel ???
    Bref, essayer de sortir des “preuves” d’un possible génocide est pour l’heure à mon sens impossible, surtout en se basant sur des statistiques gouvernementales. Bien cordialement.

    • Je vous rejoins totalement @daniel buob dans vos commentaires sur l’Inse, il y a d’ailleurs de nombreux manquements et erreurs dans leurs données et ça ne date pas d’aujourd’hui , et ce dans plusieurs domaines…plusieurs liens existent à ce sujet, dont celui de la revue Challenge…et du journal le Monde.
      il est par ailleurs reconnu que les calculs effectués par tous les instituts de recensement, évaluent à environ 1% leur marge d’erreur involontaire, sans compter les autres…

    • Il y a effectivement des remontées d’informations très tardives chaque mois. Chaque année, des décès datant de la deuxième guerre mondiale sont inclus dans les fichiers.
      Avant de faire les calculs, j’ai pris la peine de sélectionner les décès correspondant véritablement à chacune des années envisagées (2015 à 2022.)
      Certes ce n’est pas totalement définitif : certains décès ne remonteront dans les fichiers que d’ici quelques années, mais ça reste un volume extrêmement minime.
      Ensuite, je ne suis pas certain qu’on puisse parler de données “gouvernementales” à propos de l’INSEE. C’est un institut public, qui dépend donc de l’Etat, mais auquel la loi donne une indépendance vis-à-vis du gouvernement : les agents qui y travaillent n’ont pas d’ordre à recevoir du gouvernement, et sont en poste de façon stable, traversant les changements de gouvernement.
      Ca n’empêche pas les erreurs, et il peut y avoir des difficultés à collecter les données, mais une manipulation des chiffres par une autorité politique avant leur publication par l’INSEE me semble difficile à réaliser.

        • ou encore ce livre sur linsee :
          ” Le livre de P. Herlin repose sur une accumulation d’erreurs et d’approximations concernant l’Insee, ses travaux et plus généralement l’histoire socio-économique récente de la France.

          Cela prend diverses formes :

          des confusions entre concepts (loyer et logement, inflation et coût de la vie, pouvoir d’achat et satisfaction des besoins essentiels, salaire horaire ou mensuel) qui conduisent l’auteur à critiquer des choix méthodologiques et des résultats statistiques sur la base de faits stylisés incohérents et inappropriés (notes n° 1, 2, 3, 5, 6, 8, 11) ;
          des citations d’ouvrages et de rapport tronquées et sorties de leur contexte, suggérant que ceux-ci partagent la thèse du livre, alors qu’ils présentent des analyses souvent opposées (notes n° 3, 4, 5, 6, 9) ;
          des statistiques franchement erronées, pour certaines attribuées à tort à l’Insee, ou des intuitions non documentées qui ne résistent pas à un examen rigoureux (notes n° 1, 5, 6, 7, 10, 11, 13, 15) ;
          des éléments quantitatifs supposés concurrencer les travaux de l’Insee, mais purement anecdotiques et sans aucune représentativité (note n° 12). “

        • “Plus globalement, la marge d’erreur traditionnelle des recensements dans les pays développés est de l’ordre de 1%, ce qui est relativement faible comparé aux pays les moins avancés, mais très loin des 0,02% avancés par l’Insee!”
          Ce point est intéressant. Si on connaît les chiffres à 1%, 1% de 67 000 000 c’est 670 000 personnes, soit le nombre officiel de décès annuels ces dernières années au détail près, et 7 fois en gros les supposés décédés du covid en 2020 , et deux fois l’étonnant , par son importance accroissement officiel de la population française en 2021 ( ou 2022) .
          A partir de là, difficile- impossible-de mesurer qq chose que donnerait des fluctuations de l’ordre de moins de 1%
          Ce qui est le cas de ce qu’on pense avoir, que ce soit par COVID ou par injections.
          C’est complètement démoralisant pour tous ceux qui bossent honnêtement et précisément sur ces données.
          La seule chose que l’on puisse peut-etre faire de positif c’est de chercher, affection par affection, les données numériques des cas et des décès. Mais y a t il un registre fiable??

      • “C’est un institut public, qui dépend donc de l’Etat, mais auquel la loi donne une indépendance vis-à-vis du gouvernement : les agents qui y travaillent n’ont pas d’ordre à recevoir du gouvernement, et sont en poste de façon stable, traversant les changements de gouvernement.”
        C’est ce que l’on pourrait espérer, mais ils ne semblent pas beaucoup apprécier les “redressements” de Pierre Chaillot, sans pour autant les démonter (peut-être ont-ils moins de moyens intellectuels que Pierre Chaillot, ou plus d’intérêts financiers pour tordre les chiffres ?) !

        • @mars, bien au contraire, l’Insee parlait de surmortalité avant la campagne de vaxx’, 2020, maintenant une infime surmortalité signalée via Chaillot ou autre, est bienvenue et sert les intérêts du pouvoir, légitime sa politique sanitaire et vaxxinale de 2021, 2022 et suite, because les vaxxs arn au final ne créant que peu de décès… you see..

      • J’ai eu une copine qui bossait à l’insee , sa collègue en charge des chiffres du chômage avait le préfet dans son bureau chaque semaine…

        • Les préfets n’ont pas le droit d’être amoureux ! 😉
          Blague à part, si l’INSEE est dirigé comme les départements par un préfet, on peut compter sur sa docilité à l’égard du pouvoir !

          • CQFD
            Disons que de fortes pressions s’exercent pour, entre autres, présenter les chiffres de l’emploi de façon qui soit la plus favorable possible, non à la vérité mais au gouvernement

      • Qu elle est la procédure de standardisation appliquée par Euromomo ? Celle-ci peut-elle affecter l’analyse de la variabilité ?
        Puisqu’il s’agit de variables temporelles, il faudrait appliquer des Time series analysis qui sont faites pour repérer des différences ou déviations significatives dans le temps,
        évidemment sur les données les plus fiables possibles ..

  13. Merci pour l’équilibre de vos propos dans ces 2 dernières parutions. Cela a le mérite de relativiser avec un sens critique avéré certaines données et de rendre intelligible et crédible ce qu’il fallait démontrer : même s’il ne s’était agi que de quelques dizaines de cas de surmortalité, ce serait tout de même des morts illicites dont la responsabilité est à rechercher tout le long de la chaîne de « vaXXination », de Pfizer /Moderna jusqu’à nos chers gouvernants en passant par tous leurs bons conseillers publiques ou privés.

  14. Merci pour ces études passionnantes. Il reste à comprendre comment euromomo compile les données des pays européens. Il y aurait sans doute du sens à analyser l’évolution des naissances. Cordialement.

  15. https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.dailymail.co.uk%2Fhealth%2Farticle-11633619%2FU-S-says-Pfizers-bivalent-COVID-shot-linked-stroke-older-adults.html%3Fito%3Dfacebook_share_article-bottom%26fbclid%3DIwAR1gK5JhFZsLzoaRdAXb2A8INaJiuoUcE1eNI9S9H7BhEU7qpY5Tc0kxb14&h=AT3Udnfjt4sE_FBP4eTRt0KGFW_DZRZmo4f63E9iz8Fgg1fKxSA2NHgJVl7lF8jEJA2OYj_4tNw_1Il7IrWWbiEUp3ElI9BrkHVl0IU7fC2ew814q6-OlbQxugMkp-BFuYTU&__tn__=%2CmH-R&c%5B0%5D=AT0DHhOiJb9MOAWfikv3BKe9I64_qBsVmvpR5rxn1ldb570MPdNt5nXJi3PyBoemUty58zZW1woGIE_sqkDAaKeYVsL46gvmRfYpgcLKdicCfcvrKYoBCuyqJGMemH9FwCtRW1G3XpjeWb2QlfdrJP2qcWJupqKNN9-t0exjQBT7fDc9bJY
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    Le CDC dit qu’il enquête sur un lien possible entre le rappel Covid de Pfizer et les accidents vasculaires cérébraux chez les personnes âgées de plus de 65 ans
    • Les responsables disent que les plus de 65 ans qui reçoivent le vaccin bivalent souffrent d’un risque accru d’AVC
    • Les principaux régulateurs recommandent toujours la piqûre de rappel Covid aux Américains
    • Les accidents vasculaires cérébraux ischémiques sont causés lorsque les blocages des artères empêchent le sang d’atteindre le cerveau
    Par Mansur Shaheen Rédacteur en chef adjoint de la santé pour Dailymail.Com et Reuters
    Publié : 13 janvier 2023 – 21h23 GMT | Actualisé: 13 janvier 2023 – 22h17 GMT
    Le rappel Covid bivalent de Pfizer pourrait augmenter le risque d’accident vasculaire cérébral chez les bénéficiaires de plus de 65 ans, rapportent les responsables.
    Les responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont cité les données de la base de données sur la sécurité des vaccins qui montraient un risque accru d’AVC ischémique chez les personnes âgées dans les trois semaines suivant l’injection.
    Un accident vasculaire cérébral ischémique, également connu sous le nom d’ischémie cérébrale, est causé par des blocages dans les artères qui transportent le sang vers le cerveau.
    Le problème de sécurité nécessite une enquête plus approfondie et “la totalité des données suggère actuellement qu’il est très peu probable que le signal … représente un véritable risque clinique”, a écrit le CDC dans un communiqué.
    Des responsables de la Food and Drug Administration (FDA) ont déclaré au Washington Post qu’il n’y avait peut-être pas lieu de s’alarmer – et que la hausse constatée pourrait être une anomalie statistique.
    La liaison de données sur la sécurité des vaccins du CDC détecte la hausse, les responsables affirmant qu’elle a atteint les seuils nécessaires pour stimuler une enquête plus approfondie.
    “Nous pensons qu’il est important de partager ces informations avec le public, comme nous l’avons fait par le passé, lorsque l’un de nos systèmes de surveillance de la sécurité détecte un signal”, a écrit l’agence.
    Les traqueurs d’effets indésirables des vaccins des Centers for Medicare and Medicaid Services, Department of Veterans Affairs, n’ont pas montré de risque élevé.
    Pfizer et BioNTech ont déclaré dans un communiqué qu’ils avaient été informés de rapports limités d’AVC ischémiques chez des personnes de 65 ans et plus après la vaccination avec leur vaccin mis à jour.
    “Ni Pfizer et BioNTech, ni le CDC ou la FDA n’ont observé de résultats similaires dans de nombreux autres systèmes de surveillance aux États-Unis”, a ajouté Pfizer.
    “À l’échelle mondiale et il n’y a aucune preuve permettant de conclure que l’AVC ischémique est associé à l’utilisation des vaccins COVID-19 des entreprises.”
    Ce problème de sécurité n’a pas été identifié avec le tir bivalent de Moderna. Les deux vaccins ont été autorisés fin août par la FDA.
    Les injections bivalentes de Pfizer/BioNtech et Moderna, qui ciblent à la fois les sous-variantes originales du coronavirus et d’Omicron, ont été autorisées pour une utilisation chez les enfants de six mois et plus.
    Le CDC et la FDA continuent de recommander à toute personne âgée de six mois et plus de rester à jour avec sa vaccination contre le COVID-19, malgré cet avertissement.
    Les responsables de la Maison Blanche ont poussé ces vaccins ces derniers mois et ont exprimé leur déception face à leur augmentation relativement faible dans la population.

  16. Les statistiques officielles Euromomo sont très claires (https://euromomo.eu/graphs-and-maps/ paragraphe Excess Mortality, dans le cadre YEARS en cliquant sur + vous pouvez ajouter des années).
    En prenant la surmortalité de 2019 comme base 100, les surmortalités des années 2020, 2021, 2022 sont respectivement:
    0 – 14 ans: -195%; -64%; +38%,
    15 – 44 ans: +429%; +696%; +759%,
    45 – 64 ans: +255%; +418%; +197%,
    65 – 74 ans: +310%; +434%; +274%,
    0 – 74 ans: +277%; +421%; +251%.
    Pour ces tranches d’âges l’année 2021 (année de vaccination) a une surmortalité pire que 2020. Il n’y a que pour les 75 ans et + que la surmortalité 2021 est inférieure à celle de 2020 ce qui peut s’expliquer par l’effet moisson de 2020. Si les vaccins étaient efficaces contre les formes graves on aurait dû voir les effets en 2021 puisque en fin d’année le taux vaccination était très élevé en Europe et en 2022 on aurait dû retrouver une surmortalité du niveau de 2019 ce qui n’est pas le cas.

    • Euromomo calcule les surmortalités par rapport a une baseline qui doit prendre en compte le vieillissement de la population. Ce point serait à vérifier. Mais les différences sont si énormes que cela n’affecterait pas la conclusion

      • Oui, à vérifier. Mais par tranche d’âge, peu importe.
        Et ce niveau d’écart est frappant ( entre x 1,5 et x2) ?
        Enzo,comment expliquer la différence avec vos redultats? Où edt l’erreur et qui la fait ?

        • Je ne sais pas 🙂
          Je ne comprends pas bien la méthode d’Euromomo.
          Elle est brièvement expliquée, mais je ne comprends pas comment elle prend en compte le vieillissement de la population.
          Il me semble notamment qu’elle ne peut pas prendre en compte le phénomène actuel (qui n’existait pas il y a 10 ans et encore peu il y a 5 ans) : le fait que le groupe des personnes âgées de plus de 70 ans (par exemple) augmente très rapidement ET vieillit en moyenne, entrant depuis peu dans des âges où le taux de mortalité augmente de façon quasi exponentielle.

          • Ce qui est curieux c’est que si on observe les courbes du post précédent, de 2019 , 2021 2022 on ne voit pas de surmortalité par rapport 2019. Donc les chiffres euromomo ne doivent prendre ni accroissement ni vieillissement de la population.
            J’ai cliqué sur le lien donné , mais cela effectivement n’apporte rien.
            Mais il me vient une interrogation. 20a9 était une année creyse. Donc comment trouver une surmortalité en 2019? Par rapport à quoi? C’est plutôt cette définition qui m’interroge

          • Je ne suis pas sûr de comprendre vos interrogations.
            Après standardisation, la mortalité de 2019 était la plus basse de la période 2015-2022, et celles de 20, 21 et 22 nettement plus élevées que celle de 2019. 2019 était une année de sous-mortalité. Et cela par rapport à n’importe quelle(s) année(s) de référence qu’on se fixe, dès lors qu’on standardise.
            Pour revenir à Euromomo, ils disent qu’ils prennent le vieillissement en compte en faisant une projection sur la base d’une tendance. Seulement ils supposent une tendance linéaire, alors qu’il y a — depuis peu mais ça va se poursuivre pendant des années — un phénomène non-linéaire (je ne dirai pas exponentiel, mais c’est de cet ordre.)
            Donc leur projection a probablement tendance à sous-estimer le nombre de décès attendus. Et donc à voir de la surmortalité ces derniers temps, là où il n’y en a pas.
            Mais ça, ça ne concerne que les tranches d’âges incluant les personnes âgées. Le phénomène non-linéaire n’existe pas pour les moins de 65 ans, et encore moins pour les moins de 40 ans.

          • @ ENZO
            L’INSEE donne les chiffres français, Euromomo donne les chiffres européens ce qui peut expliquer des différences.
            Comme vous le dites, le vieillissement n’a pas de conséquences sur les chiffres des moins de 65 ans or c’est justement dans cette population qu’Euromomo met en évidence une surmortalité énorme en 2021, et pour les moins de 45 ans la surmortalité est encore plus élevée en 2022.
            Il faut aussi prendre en compte le commentaire de DANIEL BUOB qui jette un doute sur la fiabilité des chiffres de l’INSEE.

          • “Je ne suis pas sûr de comprendre vos interrogations.
            Après standardisation, la mortalité de 2019 était la plus basse de la période 2015-2022, et celles de 20, 21 et 22 nettement plus élevées que celle de 2019. 2019 était une année de sous-mortalité.”oui.
            Donc en 2020 -195% par rapport au plus bas…? Bon, peut être que le plus bas pour les plus jeune n’était pas 2019, j’ai peut-être mal regardé.

          • @Enzo.
            Oui, cette histoire de projection linéaire est forcément en cause.
            Et pour exponentielle, , tout dépend de la base 😄
            De toutes les manières, ce n’est pas évident à approcher, avec peu d’années et des data peu fiables.

  17. Merci Enzo.
    Comme le dit André, si les vaccins ne créent pas, du moins à court terme, de surmortalité énorme…le covid non plus.

    C’est quand même appréciable. Cela confirme ce que nous disons tous:

    1.une obligation vaccinale n’a absolument pas lieu d’être, quelle que soit la tranche d’âge, et la profession exercée.

    2. Les risques liés àla maladie et aux vaccins restent à évaluer par individu, et c’est au médecin traitant d’en discuter avec son patient en tenant compte de ses risques d’E. .Mais…, il faudrait qu’on obtienne une pharmaco vigilance en France , honnête et sérieuse, à la “Amine Umlil” qu’on ne remerciera jamais assez.

    3. Un vaccin s’administre à des non -malades de ce pour quoi on vaccine et ne doit donc pas être administré s’il présente un risque que la maladie ne donnerait pas., d’autant plus que la maladie a une faible létalité.
    4. Une maladie, le covid en particulier, se soigne, Interdire les soins en ville ,interdire des médicaments eprouves comme sûrs, bloquer les services hospitaliers, a été et est criminel.

    Et, comme les chiffres et courbes ke montrent, la soi-disant vaccination n’a aucunement empêché le développement de la maladie, ni les pics de mortalité : ce n’est donc pas une vaccination.

    • Ce n’est effectivement pas une vaccination au sens cultuel de l’Eglise du Très Saint et Miraculeux Vaccin de l’Eglise pasteurienne dont l’efficacité réelle est globalement mythique depuis le XIX° sièclee .

      Si on avait eu en France pour le moins beaucoup plus de vecteurs d’opinons et/ou de décisions dépasteurisés après qu’ils aient été conditionnés dès l’école primaire, en particulier dans le microcosme médical, les mensonges officiels sur LA covid n’auraient pas pris

    • et pour permettre la vaccination et effrayer la population on a administré du rivotril… les morts prématurées de quelques mois n’apparaissent pas forcément sur une année, mais on a privé les familles de leurs derniers adieux pour cela… une autre conséquence de cet acharnement, qui n’est pas des moindre, on a ruiné le pays, et maintenant( ils continuent avec l’Ukraine. On fournit des armes pour continuer à faire des morts, et ruiner nos économies nationales et privées,( retraites, inflation…)

  18. Avec toutes les précautions d’usage…Merci de ne pas confondre mise en cause et mise en mots !
    Selon John Archibald Wheeler, il ne faudrait jamais entreprendre de calculs avant de connaître le résultat à l’avance !

    Bon et juste travail, Enzo, bien sûr, mais vos observations et vos analyses, aussi justes soient-elles, me donnent la nausée !

    « restez à la maison prenez du doliprane ! »
    Juste une messe des morts, si chère au Professeur Didier Raoult et collaborateurs, et à je le sais, nombreux Unes et Uns ici !

    Comme confirmé pour la énième fois, ici :
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S001393512201982X
    “ILS”, les génocideurs, n’en déplaise, ont donc tué, avec préméditation, pour rien.

    ILS n’en sont pas à leur coup d’essai ni à une surmortalité près.

    ILS ont mis du sucre, même dans le dentifrice.
    ILS ont mis du sel, même dans les sucreries.
    ILS ont mis du fluor dans l’eau.
    ILS ont donné du SANG CONTAMINÉ.
    ILS ont mis de l’aluminium dans les déodorants.
    ILS ont mis du dioxyde de titane dans les bonbons.
    ILS ont mis des OGM dans la nourriture.
    ILS aspergent de poisons, les cultures.
    ILS nourrissent d’hormones, et d’antibiotiques, les animaux.
    ILS assèchent les nappes phréatiques pour fabriquer des sodas.
    ILS ont rasé les forêts du monde entier.
    ILS éviscèrent la planète pour exploiter pétrole, gaz…
    ILS vaporisent des gaz dans l’atmosphère.
    ILS polluent les mers et les océans.
    ILS ont donné des farines animales à des herbivores.
    ILS ont laissé circuler Mediator, Vioxx…
    ILS sous-estiment la dangerosité des ondes de la téléphonie, du wifi.
    ILS …
    ET ILS VEULENT NOUS VACCINER POUR NOTRE SANTÉ !!!

    Ces injections sont elles utiles ? NON
    “C’est un défi idiot” Avait dit Le Professeur ! 85 traitements éprouvés, efficaces pour traiter cette IRA. Et puis faudrait-il avoir gardé un hôpital digne de ce nom pour un pays comme la France.

    Est-ce que toutes les informations remontent à la pharmacovigilance ? NON
    Y-a-t’il des complications post-injection ? OUI
    Est-ce que ces injections rendent infirme ? OUI
    Pouvions-nous le savoir avant ? OUI
    Tuent-elles ? OUI
    Des jeunes ? OUI
    Ces jeunes seraient-ils morts d’autre chose ?
    Réponse de Mme Irma : En tout cas pas de rire !
    Et puis en plus elle ne croit pas au « père NOAEL » De l’anglais No Observable Adverse Effect Level, c’est à dire ce que les toxicologues appellent la « dose sans effet toxique observable ».

    Bien que des décès étiquetés COVID alors que fracture du crâne dans une chute d’escalier, ou le doyen des Français foudroyé, ahhhhh (faites bien durer le ahhhh quelques secondes!) dans la force de l’âge à 113 ans, félicitons-nous qu’à l’inverse, des décès ne soient pas outrageusement attribués aux injections.

    J’étais aux obsèques d’un patient. Bien que triple dosé, un accident de la route ! 42 ans ! Vitesse + alcool, c’est tout. (Une société digne de ce nom n’aurait pas cette surmortalité, ainsi que celle du tabac, des maladies iatrogènes, de la pollution…)
    J’écoutais les éloges au défunt et je me disais que le monde serait un vrai paradis si les gens étaient réellement comme ils sont décrits le jour de leur enterrement !

      • Oui vous avez raison. Quand on aime on ne compte pas et quand on n’aime pas ou plus on compte tout ! Pensées énergétigènes pour votre petit-fils

        • Excellent !
          Maintenant votre patient triple-dosé (je suppose pas grâce à vous) vous l’avez fait autopsier ?
          Qui vous dit que son accident n’était pas dû à une crise cardiaque ou à un AVC en prime de la vitesse et de l’alcool, les classiques facteurs de comorbidité qui permettent à la marée-chaussée de clore (et non clôturer !!! ) le dossier sur-le-champ (du moins quand c’est à la campagne) ?

    • Belle et saine colère Cher Magicien, toutes ces précieuses vies fauchées , mal ou bien comptabilisées, cela importe peu, leurs proches sont confrontés, à l’irréductible, à la terrible irréversibilité de la mort, aucune étude ne peut mesurer cet abîme . Tendresse infinie et bisouskes.

  19. D’après Platon « Personne n’est plus détesté que celui qui dit la vérité ». Et ses modestes chambres d’écho aussi.

    D’après Schopenhauer «Toute vérité passe par trois étapes. D’abord elle est ridiculisée, puis elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme allant évidemment de soi ».

    Et ce même si ce qui fait la valeur illustrative ou bonne à méditer d’une « citation », ce n’est pas la notoriété de son auteur qui peut s’avérer finalement non fondée, mais essentiellement la pertinence et la profondeur de la réflexion qui a d’ailleurs pu être faite ou inspirée à la célébrité par l’un ou l’autre qui n’a pas été publié ; alors que de toutes façons il a fallu lire critiquement la pensée de beaucoup d’autres avant vous pour correctement penser.

  20. Eh bien, je compare ces courbes faites à partir des données INSEE, aux nombreuses courbes/histogrammes ou statistiques de surmortalité qui nous arrivent par videos ou articles depuis quelques mois de tous les pays d’Europe, d’Australie, des US, de GB, et aussi d’euromomo (mais pas seulement), étudiées par des médecins, des statisticiens (et pas seulement Pierre Chaillot!), des experts de compagnies d’assurance, des sénateurs qui mènent l’enquête. Et on peut aussi considérer, pour les pays les + vaccinés, cette étrange dégringolade du taux de chômage en même temps qu’une pénurie de personnel…
    Tout cela pour dire que ces comparaisons me poussent irrésistiblement vers cette option: douter fortement de la fiabilité (ou plutôt de l’honnêteté) des chiffres de cet institut gouvernemental appelé “INSEE”. Le biais politique des stats ce n’est pas vraiment une chose nouvelle, pourquoi l’INSEE en serait-elle protégée?
    Mais je suis d’accord sur votre notion de génocide: s’il y a entre 0.8 et 1 décès pour 1000 injectés (et 1 séquelle grave pour 100), pourcentages qui ont l’air de faire de plus en plus l’unanimité parmi les chercheurs et médecins qui enquêtent ou alertent, avec ces pourcentages, pour notre pays, l’ordre de grandeur sur 2 ans pourrait être de 50.000 morts et 500.000 personnes invalidées, on ne peut pas vraiment parler de génocide, qui se mesure plutôt en millions, historiquement.
    Bien cordialement,

    • En effet, l’INSEE reste un appareil d’état, correspond à un corps d’état dont les meilleurs haut-fonctionnaires vont à Bercy et ailleurs; il est assez inévitablement contrôlé par le pouvoir en place; de là à penser qu’ils peuvent bidouiller les chiffres pour qu’ils semblent raisonnables, avec le gouvernement Macron – il n’est pas à une crasse près. Comment sont comptabilisés les décès? depuis les mairies/états civils? pour 2022 les chiffres définitifs ne sont certainement pas connus. En tout état de cause il n’y a pas en effet d’hécatombe manifeste à ce stade, certains évènement pourraient être des bruits faibles, des indicateurs : les très nombreuses bronchioles nécessitant hospitalisation de tous-petits (des enfants de parents vaccinés), les effondrements chez les sportifs? ; par ailleurs, nous devrions également jeter un coup d’oeil à l’évolution de la natalité, au nombre d’avortements déclarés, aux fausses couches et à la mortalité des moins de 2 ans sur cette période. en effet, l’important des effets secondaires sur le système reproductif des femmes fait craindre le pire.

  21. sur decoderl’éco c’est pareil sur presque tous les pays d’Europe. Sans compter les articles sur la baisse de natalité qui commencent à sortir….

    • heureusement pour notre cher président ( ou plutôt très cher, pour ce qu’il coute à la France ), lui ne se sent pas concerné personnellement, avec Son Brigitte, question effets secondaire/ baisse de la natalité !!!

  22. Merci pour votre travail.

    La population augmente d’année en année mais de façon pas très linéaire avec les “migrations”. Mais question que je me pose car j’en ai aucune idée, est-ce que quelqu’un qui visite la France, ou alors y est réfugié, et y décède, est comptabilisé dans les chiffres ou est-ce que c’est seulement les personnes habitant en France ?

    Au premier janvier, chiffres arrondis (augmentation depuis l’année précédente) :
    2015 : 66 422 500
    2016 : 66 602 600 (+180 100)
    2017 : 66 774 500 (+171 900)
    2018 : 66 883 800 (+109 300)
    2019 : 66 977 700 (+93 900)
    2020 : 67 063 700 (+86 000)
    2021 : 67 400 000 (+336 300)
    2022 : 67 813 396 (+413 396)

    Pour les chiffres détaillés :
    https://www.insee.fr/fr/recherche?q=bilan+demographique&debut=0
    https://www.insee.fr/fr/statistiques/4277615?sommaire=4318291

    Dans l’hypothèse où tout le monde est comptabilisé, il suffit que des personnes en mauvaise santé arrivent en France et y décèdent pour, entre guillemets, “fausser” les résultats.

    • Vous pouvez faire la recherche : l’INSEE fournit la liste des personnes décédées depuis 1970, en indiquant leur identité et leur pays de naissance : https://www.insee.fr/fr/information/4769950
      En nettoyant un peu les fichiers et en réaffectant les remontées tardives à la bonne année de décès, vous pourrez suivre la proportion, parmi les décès, de personnes nées à l’étranger, et établir si vous posez une vraie question ou si c’est un problème imaginaire.

      • Merci pour votre réponse.

        J’avais écris une plus longue réponse… puis-je me suis dis à quoi bon.

        Je vous remercie pour tout.

      • Vous les avez vérifiez ? vous surestimez il me semble les compétences et la neutralite de l’Insee visiblement..et leurs délais de remonté d’informations…

        • Le problème aujourd’hui est que nous n’avons plus confiance en tout ce qui vient d’une institution fût-elle considérée comme incontestable dans le passé, ou se prétendant”indépendante”
          Or, dans ce contexte exceptionnel ” nous sommes en guerre”;qui dit guerre dit propagande et censure possible
          alors pourquoi l’INSEE échapperait-elle à cette situation ?
          je me permets d’autant plus d’émettre un doute, que précisément j’ai bien connu une ingénieur à l’INSEE qui me confiait son agacement croissant quant aux pressions qui s’exerçaient parfois sur des matières un peu “sensibles”et cela ça se passait il y a 20 ans! alors vous imaginez aujourd’hui
          par contre, pour participer à tout débat il faut avoir une base un minimum tangible et donc partir de données officielles reste raisonnable, quitte à mentionner les marges possibles
          il faut noter que même les chiffres officiels ne parviennent pas à dissimuler des phénomènes inquiétants concernant la vaccination; même les chiffres de l’ANSM sont déjà une marque suffisante pour dire STOP,si on considère qu’ont arrêté des campagnes de vaccination pour beaucoup moins que ça
          noter aussi qu’en comparaison des. chiffres européens, la France est en retrait net, aussi bien pour le nombre d ‘effets, que la proportion d’effets grave, qui se colle à 25% depuis le début ( ce qui est déjà énorme à mon avis) mais qui atteint souvent 40% dans d’autres pays
          la france est le pays développé qui minimise tout à l’extrême, là où des pays indemnise officiellement des victimes reconnues de la vaccination, la france continue à tout nier à cet égard ;il y a également le côté subjectif sur ce qu’est un effet “grave” ; en France on a tendance à considérer léger ce qui ne l’est pas ailleurs..

    • Ce serait donc en 2020 que l’augmentation aurait été la plus faible et en 2021 2022 la plus forte !
      Les injections protègent effectivement les gens du Covid puisqu’elles les zigouillent avant qu’ils n’en meurent ! C’est ce que l’on fait dans les élevages de canards tous les ans en cas de poussée de grippe aviaire !

  23. MERCI ! J’espère que la vérité va être acceptée. Notre petit fils de 15 ans, très sportif, a eu une douleur à la poitrine la semaine dernière. Les examens ont rassuré les parents, pas moi… Je tremble depuis qu’ils sont tous vaxx, et pas seulement pour les miens.

    • On doit être malheureusement assez nombreux dans ce cas

      Quels bons conseils de type médecines douces, huiles essentielles par exemple, leurs donner

      • Ils ne veulent rien entendre car Mamie est complotiste… Et comme on ne veut pas se fâcher on tremble en silence.

        • J’espère que je n’aurais pas cette angoisse avec mes petits enfants de 14 ans…
          Car bien sûr, Papi mamie étant complotistes, papa maman médecins, , on ne pourrait rien suggérer.

      • Aucun doute!
        L’insee sort les chiffres selon les ordres d’en haut , tout est bien verrouillé

  24. Si on part sur le montant des effets indésirables déclarés depuis le début des injections (environ 165000 dont 1/4 de graves) il ne peut y avoir une explosion de la mortalité et ce même s’il y a une sous-déclaration difficile à déterminer.
    Il n’en reste pas moins que le nombre d’effets indésirables est anormalement élevé par rapport aux autres vaccinations et que certains de ces effets sont invalidants.
    Par ailleurs, on ignore les conséquences à moyen et long terme de ces injections, je pense en autre aux myocardites.
    On peut aussi dire que si le vaccin n’a pas créé de surmortalité, il en est de même du covid, on en revient à la notion de bénéfices risques de l’inoculation pour les jeunes et personnes ne souffrant pas de comorbidités.

    • en tout cas pour les myocardites, une étude allemande a montré que 50% des patients ont une espérance de vie de seulement 5 à 10 ans ! Alors que dans les médias ils disent que ça se soigne très bien….

  25. Donc ce n’est pas une hécatombe, même pas une décimation, juste un petit coup de pouce à la camarde dont les victimes ne se plaindront pas puisqu’elles sont mortes et que leurs proches s’en foutent… des fois qu’ils se sentiraient légèrement coupables sur les bords
    En fin de compte quand on dit que les urgences sont débordées c’est juste qu’elles le sont plus que d’habitude (20 brancards dans les couloirs au iieu de 15, ou 3 jours pour être pris en charge au lieu de 2 ?) sans que cela ne puisse déborder totalement puisque que le trop plein sera toujours évacué vers la morgue.

    • La question du manque de moyens à l’hôpital est fondamentale, et comme l’avait fait remarquer PHIL., le fait de supprimer des lits d’hôpitaux depuis 30 ans plutôt que d’en créer, alors même qu’on savait que le nombre de personnes âgées allait considérablement augmenter relève du crime politique avec préméditation.
      De plus, la santé ne se résume pas à “vie ou mort”.
      De nombreux décès en 2020 ont été rendus atroces par la politique sanitaire (agonie solitaire à domicile…) alors qu’on aurait pu soit apaiser les souffrances soit… soigner et empêcher le décès.
      Attendre des heures voire des jours aux urgences avec une fracture ou une infection ne tuera pas toutes les personnes concernées mais relève de la maltraitance, et plonge l’ensemble de la population dans une insécurité sanitaire (risque accru de souffrir longtemps, de garder des séquelles évitables, perdre des chances de survie) que l’on ne connaissait guère en France.
      Mes deux articles ne visent pas à minimiser les problèmes que posent les vaccins anti-Covid, mais à tenter de mieux cerner le type et l’ampleur de l’un des problèmes qu’ils posent, en l’occurrence le risque d’en mourir.
      Et d’aider à ne pas trop se fourvoyer sur de fausses pistes, qui risqueraient de nuire à la crédibilité d’une part de ceux qui cherchent la vérité.

      • Grand merci en premier lieu pour vos articles, et ce site.
        Un commentaire cependant quant au sujet du nombre de lits d’hôpitaux : les chiffres par nombre d’habitants sont connus pour la plupart des pays, et par exemple en Suède, pays comparable à la France sous de nombreux aspects dont la structure de population, il y a 2 fois moins de lits par habitant qu’en France. Ce n’est donc pas forcément un critère de référence pour la qualité du soin.

      • Parallèlement à la diminution du nombre de lits hospitaliers, la diminution du nombre de médecins a été aussi organisée volontairement comme l’avait avoué à l’époque Michel Rocard qui avait déclaré (je n’ai pas la citation exacte) : « on va diminuer la dépense en limitant l’offre » – d’ou pendant des années un numerus clausus insuffisant. Le tout ayant été aggravé par un déficit de formation d’infirmières, de kinésithérapeutes et autres paramédicaux, l’arrivée de médecins à diplôme étranger en nombre considérable ayant bien sûr rien résolu.

      • je regarde occasionnellement la TV, assez d’entendre leurs mensonges, mais j’ai remarqué qu’ils ne parlent plus de l’utilité des rappels, depuis la dernière vague qui a eu peu d’adeptes pour une dose de plus. Les réseaux sociaux on beaucoup changé de ton. Certainement la peur des retours de bâton, ils préfèrent laisser passer le temps , espérant qu’on oubliera….Au contraire, ils ont ouvert les yeux à bien des endormis, et pas seulement au sujet du covid.

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