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Covid : vaccins et/ou traitements ? 

« Il y a des défaites nobles et dignes et des victoires sales et indignes. » (Guillaume Prevel). Les vaccins semblent avoir gagné le premier round contre les traitements. Le problème est de savoir qui est le gagnant. L’industrie ? Les patients ? Les gouvernements ? La science ? Quant à l’arbitre, les médecins, a-t-il été à la hauteur ?

Depuis le début, on a compris qu’il fallait laisser de la place aux vaccins et ne surtout pas leur faire d’ombre. Si des traitements possibles ont été cachés ou bloqués, les vaccins, eux, ont eu droit à tous les égards et toutes les autorisations anticipées, avant de savoir si cela allait marcher et comment.

Sur le plan médical, cela a été une grosse erreur de la part des politiques, et une faute médicale de la part des médecins. En effet, il ne fallait pas opposer vaccins et traitements. Ils ne sont pas antagonistes, l’un n’empêche pas l’autre. Ne jouant pas sur le même registre, ils sont totalement complémentaires, mais on nous a fait croire le contraire.

Un vaccin est fait pour protéger, empêcher d’attraper une maladie en acquérant une immunité contre cette maladie, pour qu’elle ne nous touche pas plus tard. Par son mode d’action, qui peut prendre plusieurs semaines pour se mettre en place, il ne peut traiter une maladie déclarée. Le traitement, lui, ne concerne en rien l’immunité, il est fait pour traiter la maladie quand elle est en place. 

Le Larousse semble mieux connaître la médecine que les médecins. Il définit le vaccin comme une « substance d’origine microbienne ou de synthèse, que l’on administre à un individu, pour l’immuniser contre une maladie ». Nous sommes d’accord, ce n’est pas un produit pour traiter une maladie, mais un espoir d’immunisation contre cette maladie, éviter qu’elle n’arrive. Vacciner contre une maladie quelqu’un qui a cette maladie, c’est comme mettre la ceinture de sécurité après l’accident.

Alors si le vaccin n’est pas fait pour traiter une maladie en cours, qu’a-t-on fait pour traiter cette maladie arrivée avant le vaccin ? Est-ce qu’on n’a pas oublié quelque chose ? On n’a rien fait ! On a laissé les malades sans traitement et, même pire, on a aussi empêché de traiter. Une première peu glorieuse depuis que l’homme, que la médecine et les médecins existent. Jusqu’en 2020, le refus de soins était condamnable et condamné, depuis… c’est l’inverse.

Avant l’arrivée des vaccins, on a bloqué les traitements en les attendant, ce qui est une faute car diminuant les chances de survie des malades, ce qui est incompréhensible. Après l’arrivée des vaccins, on a continué d’empêcher les traitements, abandonnant les patients malades, en attendant que tout le monde soit vacciné, ce qui est incompréhensible. Une fois vacciné et quand on a quand même attrapé la maladie, on a empêché de traiter les vaccinés tout comme les non-vaccinés, ce qui est toujours incompréhensible. 

Pourquoi n’a-t-on pas laissé cohabiter les deux stratégies, guérir et prévenir ? Pourquoi n’a-t-on pas additionné les deux ? Proférer « cela ne marche pas », avant toute étude, que cela soit vrai ou faux, n’est pas une excuse, le doliprane non plus ne marche pas, et pourtant on l’a imposé. Pourquoi faudrait-il être contre les traitements et uniquement pour les vaccins ? Pourquoi faudrait-il être contre les vaccins et uniquement pour les traitements ? C’est un faux débat, un très mauvais débat, un débat mortel. Si on avait laissé les médecins faire au lieu de leur donner des ordres, si on avait accepté de traiter précocement et de vacciner, il n’y aurait pas eu cette guerre contre tout traitement, guerre dont personne ne sort vainqueur, et on aurait sans doute évité des centaines de milliers de morts. Il est vrai qu’avec des si, on peut faire beaucoup de choses, on peut même sauver des vies !

Alors qu’ont donné cette politique, cette attitude, ces nouvelles pratiques médicales ? On a mis deux ans pour apprendre très officiellement, après l’avoir contesté, que le vaccin n’empêchait pas d’attraper la maladie, n’empêchait pas de contaminer, n’empêchait pas l’épidémie, on a même eu droit à 9 vagues successives, accompagnées du slogan « tous vaccinés, tous protégés ». Certains parlent de succès, je vois plutôt un échec. Quand je vois l’Académie de Médecine demander à ce qu’à l’avenir on vaccine chaque année les soignants contre la covid, avec un vaccin qui ne les empêchera pas d’être contaminés ni de contaminer les autres, je me pose de sérieuses question sur la médecine du XXIe siècle. Soit c’est moi qui suis bête, soit ce sont eux. Si les mêmes avaient été en place en 1920, avec les mêmes moyens et le même discours, cela ferait 113 ans que l’on nous vaccinerait encore contre la grippe espagnole, en affirmant que c’est grâce à cela qu’elle a disparu ! Quant à la protection des formes graves, dernier argument trouvé devant la faillite des précédents, les chiffres, qui ne mentent pas, ne semblent pas aller dans ce sens. Il suffit de comparer 2020 sans vaccin, avec 2021, quel que soit le pays, les chiffres parlent : il y a autant de morts. Quant à 2022, si la mortalité a été légèrement inférieure, c’est parce que les variants étaient de moins en moins létaux, 5 fois moins pour les derniers.

Un échec est toujours possible, y compris en médecine. Mais quand il y a échec, que fait-on habituellement ? On essaye autre chose. Ici, on continue bêtement sur la même voie, peut-être en attendant un miracle. Quand on ne sait pas tirer les leçons du passé, il vaut mieux passer la main. Y avait-il autre chose ? La réponse est oui. Le savait-on en haut lieu ? La réponse est oui. Depuis le début ? La réponse est oui.

Plusieurs traitements avaient sans doute un potentiel qui n’a pas été exploré. Depuis des années, les vétérinaires savent que des traitements antiparasitaires peuvent traiter certaines maladies dues à des virus à ARN. Déjà en 2012, lors de l’épidémie de grippe H5N1, on avait découvert le potentiel d’une célèbre molécule, malheureusement les études démarrées ont été interrompues, l’épidémie s’étant éteinte, il n’y avait plus de patients à traiter. Début 2020, les chinois ont publié plusieurs essais fructueux avec ce même traitement.

Des traitements possibles, il y en avait plusieurs, parmi ceux-ci l’ivermectine. En France, en mars et avril 2020, on savait qu’elle pouvait traiter, si elle était donnée précocement, et même prévenir. À la fois médicament et « vaccin » ! En France cela a été montré à Fontainebleau (Seine et Marne) et à Fontenay-Aux-Roses (Hauts-de-Seine), avec des résultats spectaculaires sur les populations les plus vulnérables , les plus de 80 ans  avec de multiples facteurs de risques. Hector Carvallo (Argentine) a ensuite montré chez des soignants que cela protégeait de l’infection, et à un niveau très supérieur au vaccin . Ces résultats n’ont jamais été ni critiqués, ni remis en question, ils ont été cachés. Pour justifier cette attitude, deux ans plus tard on nous a sorti des études sur des populations à moindres risques, avec des moyennes d’âge de 40 à 50 ans, avec des traitements non précoces, afin que l’on voie moins les différences entre traités et non traités, le tout fait par des auteurs bourrés de conflits d’intérêts.

Sur le terrain, des États indiens qui ont 4 fois plus d’habitants que la France ont montré que sans vaccin (3% de vaccinés à l’époque), on pouvait éradiquer la vague delta deux fois plus vite, et surprise, acquérir une immunité par maladie + traitement, supérieure à celle du vaccin seul, et plus durable car naturelle.

Ce qui me choque le plus dans cette affaire, ce n’est pas que l’on ait utilisé ou pas tel ou tel traitement, quel qu’il soit, mais que l’on ait ordonné de ne pas traiter, et que l’on a accepté de ne pas traiter, et ce au nom de quelle médecine ? Celle du XXIe siècle ? Dans mes démêlés avec l’Ordre des Médecins, ils ont soigneusement écarté le débat sur l’efficacité ou non du traitement précoce, sur la balance bénéfice/risque, sur la notion d’obligation de soins. Seul problème évoqué : la reprise de publications d’études (et de la position des autorités !) sur un médicament autorisé depuis plus de 30 ans dans d’autres indications, mais qui n’a pas l’aval du gouvernement ni de l’industrie pharmaceutique. Est-ce le rôle de l’Ordre ? Police politique ou police médicale ? Pour les médecins qui sont poursuivis pour leurs prescriptions, on ne s’occupe pas de savoir si les patients sont guéris. Le résultat est qu’ils sont poursuivis pour avoir guéri des patients, alors que d’autres ne le sont pas pour refus de traiter. Le vrai débat n’est-il pas là ? Quel est le rôle du médecin : soigner ses patients ou obéir à des consignes, bonnes ou mauvaises.

Petit rappel pour certains : si le code de déontologie est devenu désuet, reste le code pénal, et son Article 223-6.

« Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.

Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »

Et comme demain ils sont prêts à recommencer, on doit se poser cette question : comment seront soignés nos enfants demain ? Quel monde va-t-on leur laisser ?  Si la devise Liberté, Égalité, Fraternité est sur le fronton de toutes nos mairies, il en est une autre que l’on doit à Ambroise Paré et qui devrait être inscrite au-dessus de la porte de tous les cabinets médicaux et de tous les établissements de santé :

« Guérir parfois, Soulager souvent, Soigner toujours. »  

Gérard Maudrux

70 commentaires

    • Pour rester sur la même zone géographique, sur OWD, on constate 5 fois plus de morts à la Barbade qu’en république Dominicaine, qui traite largement à l’ivermectine. Leur taux de vaccination est le même.

  1. L’origine du Covid explicitée, de même que les « pudeurs » du gouvernement américain à dénoncer les coupables dans ses rangs et à l’étranger !
    https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2023/06/28/wuhan-scientist-thrown-off-roof.aspx?ui=78f4a97a7acac38538af1243c0a714c921b0a61b1904924f8f17ad8adcd7056e&sd=20220607&cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_content=art1ReadMore&cid=20230628&mid=DM1418784&rid=1840520286
    N.B. le titre est très anecdotique par rapport au contenu !

  2. D’un point de vue juridique , impossible de rendre un vaccin obligatoire si un traitement existe pour la maladie en question, voilà pourquoi, les traitements on été niés !

  3. Un indice: Dr David Martin au Parlement Européen lors de l’International Covid Summit en mai dernier:
    C’est particulièrement intéressant pour moi de siéger ici aujourd’hui ,ici même au Parlement Européen , étant donné qu’il y a plus d’une décennie j’étais assis dans ce même fauteuil au cours de de cette conversation organisée à l’époque par les Verts. Nous avions discuté de la façon de savoir si l’Europe devait adopter la politique des États Unis qui consiste à autoriser les brevets sur les matériaux d’origine biologique , et à l’époque j’ai exhorté cette institution,et j’ai exhorté les gens du monde entier à réaliser que la militarisation de la nature contre l’humanité avait des conséquences désastreuses . Tragiquement je suis assis aujourd’hui , avec cette phrase malheureuse que je n’aime pas dire , à savoir « je vous l’avais bien dit » Mais le fait est que nous ne sommes pas ici pour nous venger des décisions passées, nous sommes ici pour une fois de plus faire face à la condition humaine et poser la question : « Qui voulons nous être ? » , « À quoi voulons nous que l’humanité ressemble ? », et plutôt que de voir ceci comme un exercice futile, ce qui est très facile de temps en temps lorsque que vous êtes dans ma position . Je ne vois pas cela comme un exercice futile, je vois cela comme une des plus grandes opportunités qui s’offrent à nous parce que nous avons maintenant une conversation publique qui est maintenant au premier plan dans l’esprit des gens, alors que c’était une conversation èsoterique sur les brevets biologiques dont tout le monde se fichait .Mais lorsque cette conversation est entrée dans les maisons, c’est devenu quelque chose dont les gens peuvent se préoccuper . Je suis donc très reconnaissant pour cette opportunité , je remercie les membres du Parlement d’avoir accueilli cet événement, je remercie tous les traducteurs , je m’en excuse à l’avance, je vais utiliser des termes probablement très difficiles à traduire . Je vous prie donc de m’excuser. Je voudrais également souligner le fait que beaucoup d’entre vous sont au courant de mon implication dans cette affaire , en grande partie grâce au travail extraordinaire de ma merveilleuse épouse Kim Martin, qui m’a encouragée dès les premiers jours de cette pandémie à passer devant les caméras ,et à parler de toutes les informations que j’avais partagées avec de très petits groupes dans le monde entier et c’est en fait son encouragement qui m’a mis dans une position où beaucoup d’entre vous ont entendu ce que j’avais à dire . Ironiquement, le monde d’où je venais qui était très populaire, mes prèsentations sur CNBC et Bloomberg étaient tèlèvisées par les médias grand public dans le monde entier-est un public que j’ai perdu . Je peux dire en toute confiance que le Covid a diminué ma notoriété ,mais je peux aussi dire en toute confiance que je préfère être parmi les personnes avec lesquelles je suis aujourd’hui , qu’avec n’importe laquelle des personnes qui faisaient partie de ce monde d’avant . C’est un endroit bien meilleur où se trouver. Mon rôle aujourd’hui est de préparer le terrain pour cette conversation dans un contexte historique car cela ne s’est pas produit au cours des 3 dernières années , cela ne date pas des 5 ou 6 dernières années . Il s’agit en fait d’une question permanente qui a probablement commencé ici en Europe au début du milieu des années 1900, mais il est certain que dès 1913-1914 cette conversation a commencé ici même en Europe Centrale.La pandémie que nous croyons être survenue ces dernières années ne s’est pas non plus produite du jour au lendemain. En fait une pandémie très spécifique utilisant le coronavirus a commencé à une époque bien différente .La plupart d’entre vous ne savent pas que le coronavirus en tant que modèle d’agent pathogène a été isolé en 1965. Le coronavirus a été identifié en 1965 comme le premier modèle viral répliquable infectieux pouvant être utilisé pour modifier une série d’autres éléments de la condition humaine .Il a été isolé à une époque où il était associé au simple rhume Mais ce qui est particulièrement intéressant au sujet de son isolation en 1965 c’est qu’il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une série d’objectifs. Et vous m’avez bien entendu c’était en 1965. Soit dit en passant ces diapositives sont du domaine public. Vous pouvez consulter chaque référence. Tous les commentaires que j’ai fait sont basés sur des documents publiés . Veuillez donc à consulter ces références . En 1966 le tout premier COV modèle de coronavirus , a été utilisé dans le cadre d’une expérience transatlantique de manipulation humaine. Vous avez entendu la date 1966. J’espère que vous comprenez ce que je veux dire . Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain ,Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps . Un an avant ma naissance nous avons eu la première expérience d’échange de données sur le coronavirus entre les États-Unis et le Royaume-Uni, et en 1967,l’année de ma naissance nous avons réalisé les premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains . N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans ! Le succès du jour au lendemain d’un agent pathogène dont l’ingénierie a duré 56 ans. Je vous invite à cogiter là dessus . Où étions nous lorsque nous avons autorisé en violation des traités sur les armes biologiques et chimiques ? Où étions nous en tant que civilisation humaine ? Quand nous pensions qu’il était acceptable de prélever un agent pathogène des États Unis et d’en infecter le monde entier ? Où en était cette réflexion et qu’aurait dû être cette discussion en 1967 ? Cette discussion n’a pas eu lieu .Ironiquement le rhume a été transformé en chimère dans les années 1970, en 1975,1976 et 1977 nous avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux , les porcs et les chiens. Et sans surprise nous avons découvert en 1990 que le coronavirus , en tant qu’ agent infectieux était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc .Les éleveurs de porcs et de chiens ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux . C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin à base de protéines de pointe ,êtes vous prêts ?(Spike) déposé en 1990 ! Avez-vous entendu ce que je viens de dire : 1990 Opération « Wart Speed » ( vitesse grand V), je suis désolé , où est la pression et la vitesse ? Pfizer ,1990, le tout premier vaccin à base de protéine de pointe contre le coronavirus . N’est ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème , Non ! En fait nous n’avons pas découvert le problème maintenant , nous l’avons découvert en 1990, et nous avons déposé le premier brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus . Et qui l’aurais cru : Pfizer , la compagnie innocente qui ne fait rien d’autre que de promouvoir la santé humaine, Pfizer,c’est clair. La compagnie qui n’a pas acheté les votes de cette assemblée et de toutes les assemblées de tous les gouvernements du monde . Pas ce Pfizer là . Ils n’ont certainement rien à voir avec cela. Oh si ! Ils y sont pour quelque chose. Et en 1990 ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins . Ils ne fonctionnaient pas . Savez-vous pourquoi ils ne fonctionnaient pas ?Il s’avère que le coronavirus est un modèle très malléable qui se transforme change et mute au fil du temps . Et toutes les publications sur les vaccins contre le coronavirus , de 1990 à 2018, absolument chaque publication a conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale parce que il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée, mesdames et messieurs .C’est ce que l’on appelle suivre la Science. Suivre le Science c’est leur propre mise en accusation de leur propres programmes, qui disaient que cela ne marchait pas . Et il existe quelques milliers de publications pas quelques centaines , et qui ne sont pas payés par des sociétés pharmaceutiques . Il s’agit de publications issues de recherches scientifiques indépendantes qui montrent, sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères réalisés par Ralph Baric a l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le coronavirus . C’est la science qui le dit , et cette science n’a jamais été contestée . Cependant une évolution intéressante s’est produite en 2002, cette date est très importante.En effet, en 2002, l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill a breveté,je cite , « un clone infectieux de coronavirus dont la réplication est défectueuse ». Écoutez ces mots « Infectieux à réplication défectueuse ». Que signifie cette phrase ? Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec ce « langage » permettez moi de vous le décrypter. Le terme « infectieux a réplication défectueuse » signifie qu’il s’agit d’une arme . Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus . C’est ce que signifie « infectieux à réplication défectueuse ». Et ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony Fauci (Institut national des allergies et des maladies infectieuses) de 1999 à 2002 . Ces travaux brevetés en Caroline du Nord à Chapel Hill ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS 1.0. Dave, est tu en train de suggérer que le le SRAS 1.0 ne provenait pas d’un marché clandestin de Wuhan ? Suggérez vous qu’il pourrait provenir d’un laboratoire de Caroline du Nord à Chapel Hill ? Non je ne suggère rien, je vous dit que ce sont des faits . Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel . Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippal, il s’agit de la gastro-entérite, c’est le coronavirus naturel . Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002. Et en 2003, surprise de taille , le CDC a breveté le coronavirus humain , en violation une fois de plus des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États Unis .Je suis très précis sur ce point, les États Unis aiment parler de leurs droit et de tout le reste, de l’État de Droit et de toutes les absurdités dont nous aimons parler, mais nous ne ratifions pas les traités concernant -Je ne sais pas – la défense des êtres humains , nous évitons ostensiblement de le faire . En fait nous avons l’habitude de défendre les droits de l’Homme puis de les nier lorsqu’il s’agit de faire partie de la communauté internationale , ce qui est légèrement problématique . Mais , soyons clairs : lorsque le CDC a déposé le brevet en avril 2003 sur le modèle du coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont ils fait ? ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États Unis . Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation . C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente . C’est un crime . L’office américain des brevets est allé jusqu’à rejeter cette demande de brevet à 2 reprises jusqu’à ce que le CDC se décide de corrompre l’Office des brevets pour qu’il passe outre l’examinateur de brevets et délivre finalement le brevet en 2007 sur le coronavirus SRAS. Ne perdons pas cela de vue car il est apparu que la RT-PCR qui était le test que nous allions prétendument utiliser pour identifier le risque associé au coronavirus a en fait été identifié comme un acte de bioterrorisme par moi-même lors des évènements parrainés par l’Union Européenne en 2002 et 2003. Il y a 20 ans. Cela s’est passé ici à Bruxelles et dans toute l’Europe. En 2005, ce pathogène en particulier a été spécifiquement qualifié de plateforme technologique pour les armes biologiques et le bioterrorisme . Il a été désigné comme tel ,ce n’est pas ma terminologie que j’utilise. Il a été décrit comme une plateforme de technologie d’armes biologiques en 2005, et à partir de 2005, il s’agissait d’un agent permettant de mener une guerre biologique . C’est la classification officielle depuis 2005. Je ne sais pas si cela ressemble à de la santé publique pour vous ? Est-ce le cas ? « Technologie permettant la guerre biologique » Cela ne ressemble pas à de la santé publique, cela ne ressemble pas à de la médecine.Cela fait penser à une arme, conçue pour éliminer l’humanité . C’est ce que l’on comprend.Et cela ressemble à cela parce que c’est exactement ce que c’est . On nous a fait croire que EcoHealthAlliance (Alliance Eco-Santé) le DARPA et toutes ces organisations sont ce que nous devrions surveiller , mais on nous a spécifiquement demandé d’ignorer les faits, à savoir que plus de 10 milliards de dollars ont été acheminés par le biais d’opérations secrètes grâce au chèque d’Anthony Fauci et à un registre comptable parralèle, et à côté il y a un bilan de biodefense équivalent dollar pour dollar dont personne dans les médias ne parle . Et cela dure depuis 2005. Notre moratoire sur le gain de fonction, Le moratoire qui était censé geler tout effort de recherche sur le gain de fonction , comme par hasard a l’automne 2014 l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill a reçu une lettre du NAID disant que le moratoire sur le gain de fonction sur le coronavirus IN vivo devait être suspendu . Mais comme leurs subventions avaient déjà été financées,ils ont reçu une exemption. Avez-vous entendu ce que je viens de dire ? Un laboratoire d’armes biologiques de l’université de Chapel Hill en Caroline du Nord a bénéficié d’une dérogation au moratoire sur le gain de fonction , de sorte qu’en 2016 Il a été possible de publier l’article indiquant que le SARS-COV-2 coronavirus était prêt à émerger chez l’homme .En 2016. Et puis quoi ? Vous demanderez peut-être le coronavirus était prêt à émerger chez l’homme, David ? C’était le WIV1 : Wuhan Instituteur of Virology Virus 1 (Virus de l’Institut de Virologie de Wuhan) prêt à émerger chez l’homme en 2016 dans le cadre des travaux de l’Académie Nationale des Sciences. Si bien qu’arrivant en 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : «il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’une pathologie respiratoire ». Le mot clé de cette phrase est évidemment le mot « libération ». Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris et à un pangolin qui seraient rentrés dans un bar du marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, auraient eu des relations sexuelles ,et voilà que nous aurions le SARS-CoV-2 ? Non! Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019. Sept mois avant le soit disant patient numéro 1 , 4 demandes de brevet de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas . Si vous ne l’avez pas encore fait, veillez à ce que chaque enquête fasse référence à la nature préméditée de cette affaire , car c’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène , de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel . Ce sont leurs mots juste devant vous à l’écran. L’objectif était d’amener le Monde à accepter un modèle de vaccin universel , et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir . Lisons ceci car je dois le lire partout où je vais : « En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente, et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignoré , pour maintenir la base de financement au delà de la crise », il a déclaré « nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, telles qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus , et l’économie suivra le battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer aux vrais problèmes . Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus ». Cela ressemble à la santé publique ? Cela ressemble à de la médecine ? Non mesdames et messieurs il s’agit d’un terrorisme domestique prémédité déclaré dans les Actes de l’Académie nationale des sciences en 2015, publié devant eux. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine , et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un hold-up financier et d’une fraude financière « les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus ». Permettez-moi de conclure en formulant 5 recommandations très brèves. La nature a été piratée. Toute cette histoire a commencé en 1965 Lorsqu’ils ont décidé de détourner un modèle naturel et de commencer à le manipuler , la Science a été piratée . Les seules questions qui pouvaient être posées étaient des questions autorisée, sous la protection des brevets du CDC, de la FDA et du NIH et le leurs organisations équivalentes dans le monde entier . Nous ne disposions pas d’une Science indépendante mais d’une Science détournée . Et malheureusement il n’y a pas eu de contrôle moral en violation de tous les codes que nous défendons . Aucun IRB indépendant (commission de revue institutionnel )indépendant financièrement désintéressé n’a jamais été mis en place sur le coronavirus . Pas un seul , pas un seul, pas depuis 1965 . Aucun IRB indépendant n’a jamais été mis en place depuis 1965. La moralité a donc été exclue des contre-mesures médicales , et en fin de compte l’humanité a été perdue parce-que nous avons décidé de permettre que cela se produise . Notre tâche aujourd’hui est de dire : Fini la recherche sur le gain de fonction , un point c’est tout ! Fini la militarisation de la nature ,un point c’est tout ! Et surtout le plus important, plus de mécénat de la Science par les entreprises dans leur propre intérêt à moins qu’elles n’assument à 100% la responsabilité du produit pour chaque effet secondaire et chaque décès qu’elles provoquent.
    Merci beaucoup. »
    https://youtu.be/KKSlUS2z_i8

    • Dr David Martin et son travail :
      Président de M‑CAM International Risk Management
      Le plus grand souscripteur mondial d’actifs incorporels utilisés en finance dans 168 pays
      Leurs systèmes de souscription comprennent l’ensemble du corpus de tous les brevets, demandes de brevets, subventions fédérales, dossiers d’approvisionnement, dossiers d’administration en ligne
      Ils suivent ce qui se passe, qui est impliqué dans ce qui se passe et surveillent les intérêts thématiques des clients et leur propre utilisation commerciale
      Ils maintiennent trois indices d’actions mondiales qui sont les indices d’actions à grande et moyenne capitalisation les plus performants au monde
      Leur métier est de surveiller l’innovation dans le monde, notamment son importance économique.

  4. Ivermectine: une seule dose de 4 cps (dose pour une personne de 55 kilos)=8.53 €
    Cominarty ou Spikevax: une injection = 19,50 € (avec nécessité de rappel réguliers).
    Tout est là. Quand un politique fait de la médecine, c’est comme si un médecin se prétendait garagiste ou plombier. Encore qu’à l’inverse de ces derniers, le politique n’a aucune connaissance pratique, juste un diplôme de l’ENA qui dit qu’il est compétent.

  5. Je me suis laissé vacciner par trois fois, parce que j’ai une maladie qui pouvait me mettre en risque, et toutefois je me sens leurré et même mis en danger. Si on n’a pas laissé soigner, si on a dit qu’il n’existait aucun médicament et si on a interdit tous les médicaments en dehors du Doliprane, je me suis laissé dire que c’est parce que la loi interdit d’expérimenter avec un nouveau médicament qui n’est pas encore homologué sur un public large tant qu’il y a d’autres médicaments qui marchent. Il fallait donc surtout annihiler l’idée qu’il y ait des molécules ou des protocoles qui pouvaient faire l’affaire. J’aimerais bien trouver une confirmation de cela. Pour le moment plus je me renseigne, plus il devient évident qu’aucun bienfait réel du vaccin n’est réellement prouvé en comparaison aux soins que les médecins auraient pu donner avec des médicaments existants. Toute la communication gouvernementale et médiatique n’était que propagande et mensonge. Ils ont mis en risque des enfants, des femmes enceintes et tout un large public pour qui le bénéfice-risque était quasi nul. Leur propagande et leurs comportements dictatoriaux semblaient vouloir rivaliser avec M. Goebbels. J’espère que la vérité sera communiquée officiellement comme pour le sang contaminé, que tous les coupables de duplicité seront accusés et punis.

    • Extrait de texte publié par l’ansm elle même
      « Une AMM conditionnelle permet en effet l’autorisation de médicaments répondant à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. »
      Vous noterez: « besoin médical non satisfait ».
      Si le besoin médical est satisfait, les études d’un nouveau médicament doivent se piyrsuivre jusqu’à la possibilité d’une AMM ordinaire .
      Vous remarquerez la phrase
      « L’AMM conditionnelle implique strictement les mêmes contrôles qu’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité aux patients » totalement mensongère, car justement il n’y a pas les mêmes contrôles.
      En particulier, les études sur les vaccins nécessitent entre 7 et 10 ans , en particulier car les risques à faire prendre sur une population saine doivent absolument être minimes voire quasi nuls, contrairement éventuellement à un médicament soignant une personne gravement malade pour laquelle le rapport bénéfice risque est donc plus facilement favorable .
      Ces « vaccins » ont été étudiés en moins .d’un an!

      https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-mise-en-place-et-surveillance-des-essais-cliniques-portant-sur-les-vaccins#:~:text=Une%20AMM%20conditionnelle%20permet%20en,la%20s%C3%A9curit%C3%A9%20ne%20soient%20disponibles.

  6. Ce que dit le Dr Maudrux converge vers plus de simplicité, de clarté, d’évidence même, qui vont à l’encontre du travail acharné, intense, incessant des autorités de pays principalement « occidentaux » tous structurés et entraînés derrière une pensée unique imposée du moins encadrée par une ou deux sociétés de conseil mondiales d’origine US (qui en fait ne sont que des outils, mais au service de qui?)

    Donc oui il y a bien eu de façon prouvée, avérée, reconnue
    -une action délibérée, organisée, planifiée, des pouvoirs publics contraire à ce qui s’est toujours pratiqué et qu’impose la simple logique, et bien sûr l’honnêteté et la morale (qui n’existe plus)
    -action évidemment et volontairement criminelle
    -noyautage et manipulation de tous médias d’information, des soignants, de la société en général, compromis, et qui ont délibérément accepté de l’être.
    -utilisation en fait de méthodes scientifiques de manipulation de masse, dignes d’un régime dictatorial de fait
    -aucun des contrepouvoirs usuels n’a joué son rôle (dont syndicats…..)

    Le reconnaître n’est maintenant qu’une évidence
    Tout cela ne, peut correspondre qu’à la mise en pratique des diverses théories entre autres malthusiennes, eugénistes et d’un homme nouveau qui remontent à plusieurs décennies et qui ont depuis longtemps donné lieu ouvertement à des publications délibérées et à des groupes de pensée reconnus et nombreux
    Seule nouveauté le passage à l’acte qui paraissait et paraît (!) encore impensable, mais est bien réel.

    Rien n’est en fait caché, les décisions pour l’avenir (de l’OMS et des gens qui la manipulent) sont connues et inquiétantes.

    Des lois multiples ont été bafouées, essayer de faire appel à la justice (si cela peut servir ?) est nécessaire et indispensable,

    Mais voir quelle sera la suite prévue et s’y opposer en fait est vital.

  7. J’aime beaucoup tous vos articles et ne vous avais pas encore remercié.
    Hé bien celui-ci m’incite à le faire enfin ! C’est un vrai régal de bon sens et de simplicité !
    Merci à vous et, s’il vous plait, continuez.

  8. Bonjour Docteur,
    Quant à la légende urbaine de la protection des vaccins covid contre les formes graves, le dernier rapport de l’ATIH (année 2021 publié en novembre 2022) lui a porté l’estocade (https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4482/202210_aah2021_mco.pdf; https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4482/202210_aah2021_ssr.pdf).
    Les chiffres sont tirés des tableaux que l’on trouvent dans ses rapports. De l’activité globale et de l’activité hors covid on peut donc déduire l’activité covid.
    Ainsi, on peut comparer l’activité covid entre l’année 2020 (0% de vaccinés) et l’activité 2021 (passage de 0 à 90% de vaccinés).
    Voici les résultats pour les soins critiques:
    2020: 40394 patients, 50993 séjours, 648252 journées,
    2021: 59545 patients (+47%), 71549 séjours (+40%), 1007564 journées (+55%),
    Voici les résultats pour les services de réanimations:
    2020: 27657 patients, 31960 séjours, 465006 journées,
    2021: 42453 patients (+53%), 46706 séjours (+46%), 744902 journées (+60%).
    Ces chiffres sont la preuve manifeste que les vaccins covid ne protègent pas des formes graves puisque l’activité covid en soins critiques et réanimations est 50 à 60% plus élevé en 2021 qu’en 2020.
    Ca c’est la vraie histoire du covid et des vaccins ce qui n’a rien à voir avec la propagande gouvernementale pour faire la promotion de vaccins inefficaces.

    • Oui, l ce rapport sur l’activité hosputaliere semble plus honnête que les déclaration du ministère de la santé. Il me semble que nous avions ce même constat en 2020 .

  9. Toujours aussi combatif ! Merci pour cette juste vision des choses Dr Maudrux! Pour moi aussi le plus choquant restera » que l’on ait ordonné de ne pas traiter, et que l’on ait accepté de ne pas traiter ». Incroyable mais vrai…

  10. En date du 20 juin 2023, la haute autorité de la santé a actualisé ses préconisations pour le traitement de la Covid-19. Toujours aussi affligeantes:

    https://www.has-sante.fr/jcms/p_3447571/fr/traitement-de-la-covid-19

    Dans les préconisations de la HAS il y a encore le Remdesivir que même l’OMS a déconseillé en raison de son inefficacité et de ses effets secondaires graves.

    https://www.lalibre.be/planete/sante/2020/11/20/dimportants-effets-secondaires-loms-soppose-a-lutilisation-du-remdesivir-pour-soigner-le-covid-19-XG7SJNVN7FHS3CPZ76XKIIRWLU/

    En outre le Remdesivir provoque l’apparition de variants du SRAS-CoV2 chez les patients atteints d’une infection prolongée. La HAS n’est pas au courant ?

    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9378267/

    Bien évidemment pour nos autorités les effets secondaires graves n’existe que pour les vieux médicaments : hydroxychloroquine azithromycine, ivermectine, Vitamine D, etc. Le Remdesivir et les vaccins Covid, eux, sont sûrs. Il n’y a pas de doute à avoir à ce sujet.

  11. Merci cher Docteur.
    Dans la même thématique je recommande la lecture du livre du
    Docteur Zineb Deheb
    Médecine et totalitarisme
    Avant propos de Jean Dominique Michel
    Préface d’Ariane Bilheran
    éditeur http://www.bookelis.com (ma libraire me l’a commandé sans difficulté)

    • Préconisation de la HAS :
      Réponse rapide n°6 : il ne faut pas hésiter à avoir recours à un avis spécialisé si besoin.
      Si c’est pour pondre ce genre de recommandation, je crois qu’on peut aisément dissoudre cette institution et faire quelques économies…

  12. Merci aux médecins qui ont soigné, hélas ils étaient si peu nombreux.
    J’espère (sans trop y croire) que des procès s’ouvriront contre les autorités de santé dont l’ordre des médecins.

  13. C’est la honte de ce gouvernement qui est tout sauf démocratique et que l’on a élu pour éviter « l’extrême droite »!!!! A mourir de rire et pour certains, à mourir tout court!

  14. Je crois que la gabegie covidiste criminelle provient de la militarisation de la santé, particulièrement sur l’épidémie covid.
    Les militaires US contrôlaient le gain de fonction et probablement le virus s’est échappé d’un labo.
    les services militaires US ont paniqué et ont appliqué leur idée farfelue ce contre mesures militaires avec « antidote », en l’occurrence l’ARNm.
    Je pense que les militaires US contrôlent également la technologie ARNm, tandis que Big Pharma de son côté espérait depuis des années des gains colossaux avec cette technologie.
    Ce qui fait que Big Pharma va plaider qu’il a obéi aux ordres et que les services militaires US seront intouchables.
    Le pantin de l’Elysée et ses sbires vont plaider eux aussi qu’ils ont obéi aux ordres, comme les médias et les médecins.
    Tout l’affaire covid est une immense stupidité scientiste mais on pourra faire emprisonner quelques responsables pour corruption.

  15. Merci pour ce billet rappelant le but de la médecine SOIGNER ! Conformément à notre serment dHippocrate .
    Pouvez-vous me préciser la posologie de l ivermectine dans le Covid ? Merci

  16. «  »Plusieurs traitements avaient sans doute un potentiel qui n’a pas été exploré. Depuis des années, les vétérinaires savent que des traitements antiparasitaires peuvent traiter certaines maladies dues à des virus à ARN »

    et bien je peux vous garantir que pas tous devaient le savoir 🙂 je suis bien placé pour vous le dire, au point de bien évidemment en avoir à leur cabinet pour leur clientele mais de préférer se faire vacciner 3 fois et renoncer à la 4e vu les symptômes de la troisieme piqure.Moi paubre paysas pas comprendre…

  17. Mon épouse non vaccinée comme moi a été hospitalisé debut Décembre pour des problèmes neurolomoteurs. Après 16 heures d’attente aux urgences dépistage du Covid revenu positif avec Ddimères normaux et sans aucun signe clinique. Aggravation du Covid après 4 à 5 jours nécessitant oxygène au masque, bétalactamines et corticothérapie avec D dimères très élevés. Je lui ais donné sans en parler aux soignants IVM à J2 et J5 et Azythromycine 6 jours. En 6 jours arrêt de l’oxygène. Le personnel soignant m’a dit que pour une femme de 76 ans ils n’avaient jamais vu une patiente se rétablir du Covid aussi rapidement.
    A noter que je suis resté négatif sans traitement en dehors de la prise régulière de vitamine D.
    Questions?
    La vitamine D m’a t elle protégé?
    A t elle attrapé le Covid à l’hopital dans les lits porte de l’hopital?
    Le traitement IVM et azythromycine ont ils eu une éfficacité ce que je pense?
    Quelqu’un a t il des réponses à ces questions? Merci

    • Faut-il que vous leur expliquiez? Malheureusement, je crains que vous n’en retiriez que beaucoup d’ennuis, et que ce soit de plus inutile. Mais à propager discrètement, cela peut rendre service à d’autres.

  18. Avez-vous eu connaissance des observations de l’INSEE ?
    Insee Première • n° 1951 • Juin 2023
    53 800 décès de plus qu’attendus en 2022 : une surmortalité plus élevée qu’en 2020 et 2021
    L’année 2022 a finalement compté 675 000 décès, soit 53 800 décès de plus qu’attendus. Cet excédent de décès est plus important en 2022 qu’en 2021 (42 700) et qu’en 2020 (48 400), années qui avaient déjà connu une forte surmortalité, expliquée essentiellement par l’épidémie de Covid-19.
    En 2022, l’écart entre le nombre de décès observés et attendus varie de 48 000 à 58 000 décès selon l’hypothèse retenue, de baisse plus ou moins rapide des quotients de mortalité pour le calcul des décès attendus (prolongement des tendances de 2005 à 2019 ou de 2014 à 2019).
    Pourquoi si peu d’échos à ce constat ?

    • Parce qu’ils n’ont aucune explication plausible à ce constat dramatique. Sauf à risquer de réveiller les endormis. Dormez en paix, braves gens !

    • Parce que ce « constat » est… totalement bidonné !

      Pierre Chaillot le démontre fort bien dans son livre (essentiel).

      Et dans sa vidéo :

      https://www.youtube.com/watch?v=4P-Bxl-5g9I

      Rapidement : 2020 fut une année… de FAIBLE MORTALITE (la 7ème plus faible de l’histoire…) !!!

      Pour une « terrible pandémie » ça la fout mal…

      Le bidonnage vient de :
      -modèle mathématique de l’Insee (calcul de la fameuse « mortalité attendue »)

      -oubli fort commode que la population vieillit… vite et en nombre (baby boomers). Et pour un terrible virus qui soit disant fauche les vieillards (surtout quand on refuse de les soigner)… c’est un facteur essentiel.

      En clair : pour comparer les décès une année à une autre, il est impératif d’appliquer la SEULE méthode connue des démographes honnêtes : standardiser la population par âge.

      L’Insee continue encore aujourd’hui d’utiliser son modèle (qui est faux, en permanence).

      Oubliez donc la « mortalité attendue »… A la limite, il faut se concentrer sur les tranches d’âge où l’on… ne meurt pas (par exemple, au hasard, les jeunes femmes de 15 à 35 ans… là vous verrez que leur nombre augmente en 2022, il paraît que à cause de la canicule).

      Bon moyen statistique rapide pour détecter de véritables anomalies.

      (car pour les individus de plus 80 ans, il est normal qu’ils décèdent en nombre toujours plus important, cela ne dit sur la cause de de leur décès… et ici on peut tout invoquer, y compris la fameuse canicule).

      Bref : la pyramide des âges… contient en elle :
      -le futur des certificats de décès (ils seront MECANIQUEMENT de plus en plus nombreux chaque année, Covid ou pas Covid, grippe ou pas grippe…un bémol : le principe d' »année moisson »).

      -le futur du système du système hospitalier (déjà en crise… alors avec davantage de personnes âgées et donc malade, chaque année, il va tout bonnement imploser).

      Deux chiffres pour vous aider à comprendre que tout ceci est très concret.

      En France, entre 2017 et 2020, les effectifs des 65 ans et plus (âge statistiquement où le corps humain commence à partir en sucette) ont augmenté de… 869 600 individus.

      En clair : tout était « physiquement » prêt pour bidonner une pandémie en 2020… En ajoutant du refus de soin, et quelques assassinats à coup de Rivotril et de ventilation mécanique absurde… la scène était montée.

      Rajoutez l’arnaque du « codage » (un décès par suicide arme à feu, devient « décès Covid », par la magie des petites cases cochées par des médecins et fonctionnaires corrompus)… Et autre hallucination virale (« en 2020 la grippe a totalement disparu, si, si croyez nous sur parole »)… le spectacle allait ainsi captiver l’attention du cheptel.

      Trois ans après, ça marche encore : vous êtes (très nombreux) à être toujours persuadés qu’un terrible virus a fauché l’humanité !

      Et vous citez doctement les « chiffres » de l’Insee qui « démontrent » une « surmortalité ».

      • Mais ce qui est drôle – si on peut dire- c’est que même ainsi ces chiffres faux ne mentent pas. 2022 est bien pire effectivement que 2020 . On pourrait en faît les mettre au pied du mur: quel virus atroce a emporté toute cette population en 2022???

  19. Cher Monsieur,
    Cette planche est remarquable et en tout point parfaite. Pouvons-nous la partager sur d’autres supports avec la mention de son auteur ?

  20. Cher Monsieur,
    Cette planche est remarquable et en tout point parfaite. Pouvons-nous la partager sur d’autres supports avec la mention de son auteur ?
    Cordialement et merci

  21. Si tout cela n’est pas la preuve qu ‘ils veulent éliminer la moitié de la population ??? Un grand merci Docteur

  22. A l’usage de nos confrères qui l’auraient oublié, ou même l’aurait ignoré, dans l’exercice de la médecine et le soin au patient, comme ailleurs:
    LA LIBERTE NE SE DONNE PAS, ELLE SE PREND

  23. Serions-nous entrée dans l’ère de la guerre biologique – avec comme objectif durant cette épidémie, de tester en grandeur nature, la réalisation rapide d’un vaccin adapté à un agent inconnu ?

    Le Dr Raoult dit encore, dans une interview récente, que nous en sommes loin.

    Pourtant en 2011, une étude du néerlandais Ron Fouchier avait fait scandale parce qu’il avait réussi à créer un variant de H5N1, très mortel et très contagieux par l’air, en effectuant quelques manipulations génétiques – à la portée de beaucoup de monde, semble-t-il – combinées avec une selection invivo dans un élevage de furêts de souches de plus en plus contagieuses et mortelles (voir liens plus bas).

    On comprendrait mieux pourquoi tout a été traité en Conseil de Défense en France, et le choix du tout vaccin et le refus du traitement. Il s’agirait d’un test de défense global des pays occidentaux, avec le désir de mettre au point la chaîne de production de vaccin ARN en réponse à une épidémie nouvelle, ainsi que l’organisation vaccinale, avec l’objectif d’avoir un avantage technologique dans la course aux armements biologiques.

    Pfizer serait une entreprise clé dans ce dispositif de guerre biologique…

    Liens :
    https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-bref-mode-pause-recherches-supervirus-h5n1-36205/
    https://www.france24.com/fr/20111201-h5n1-grippe-aviaire-mutation-erasmus-amsterdam-ron-fouchier-decouverte-transmission-polemique
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/03/10/virus-mutants-les-furets-de-la-discorde_4380437_1650684.html

  24. Serions-nous entrée dans l’ère de la guerre biologique – avec comme objectif durant cette épidémie, de tester en grandeur nature, la réalisation rapide d’un vaccin adapté à un agent inconnu ?

    Le Dr Raoult dit encore, dans une interview récente que nous en sommes loin.

    Pourtant en 2011, une étude du néerlandais Ron Fouchier avait fait scandale parce qu’il avait réussi à créer un variant de H5N1, très mortel et très contagieux par l’air, en effectuant quelques manipulations génétiques – à la portée de beaucoup de monde, semble-t-il – combinées avec une selection invivo dans un élevage de furêts de souches de plus en plus contagieuses et mortelles (voir liens plus bas).

    On comprendrait mieux pourquoi tout a été traité en Conseil de Défense en France, et le choix du tout vaccin et le refus du traitement. Il s’agirait d’un test de défense global des pays occidentaux, avec le désir de mettre au point la chaîne de production de vaccin ARN en réponse à une épidémie nouvelle, ainsi que l’organisation vaccinale, avec l’objectif d’avoir un avantage technologique dans la course aux armements biologiques.

    Pfizer serait une entreprise clé dans ce dispositif de guerre biologique…

    Liens :
    https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-bref-mode-pause-recherches-supervirus-h5n1-36205/
    https://www.france24.com/fr/20111201-h5n1-grippe-aviaire-mutation-erasmus-amsterdam-ron-fouchier-decouverte-transmission-polemique
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/03/10/virus-mutants-les-furets-de-la-discorde_4380437_1650684.html

  25. Merci Gerard : je reste ta lectrice assidue et te remercie chaleureusement ; grâce à toi et Raoult,Perronne, j’ai pu soigner selon le serment D’Hippocrate .
    Je les attends aujourd’hui sans trembler, ceux qui voudraient me le reprocher .
    Un jour, ils rendront des comptes
    En attendant, au cabinet, c’est encore plus dur et compliqué que lors des épidémies Covid : déferlante des «  syndromes post vaccinaux »
    Hélas, aucune reconnaissance de la part des pairs : il règne une omerta quasi complète
    ( au point que les urgentistes me reprochent de doser les Ddimeres )
    J’ai compté le nombre de patients ayant présenté des EP depuis que je dose les Ddim : env une quarantaine. Et cela continue . Sans parler du nombre de patients ayant des sténoses d’artères cérébrales ( un ami radiologue reconnaît ne jamais avoir vu de telles images )
    Nos voisins allemands ont créé des départements de prise en charge ( Post Vaccine Ambulanz) ds certaines villes ; le ministre de la Santé Lautenbach a fait une déclaration publique .
    Les travaux d’un anapath Dr Burckardt ont fait beaucoup de vagues car il y décrit ( YouTube) les dégâts de Spike visibles en microscopie optique ( rapports d’autopsie ).
    Je me sens régulièrement démunie devant les tableaux cliniques compliqués auxquels s’ajoute la problématique de trouver des correspondants spécialistes ds un délai raisonnable
    Bref: il faut continuer à tirer la charrue à bout de bras .
    Je vous lis tous, tous les commentaires , cela m’encourage régulièrement

    • Cela fait du bien de vous lire…un médecin qui soigne, qui dose les Ddimeres, c’est rare, même si vos constations sont malheureusement conformes à celles que nous faisons simplement chez des proches et confortent les craintes que nous avons pour les autres.
      Merci à vous et tous ceux de votre trempe.

    • À tout hasard, je vous renvoie à ce document que j’ai signalé sur le forum Santé et qui précise « À la mémoire du Pr Arne BURKHARDT, histopathologiste, décédé en 2023. (Le protocole d’autopsie -pages 36 à 42- de ce document est la traduction du protocole du Dr Burkhardt) ».
      https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2023/06/Autopsie-apres-deces-suite-a-vaccination-anti-COVID-19.pdf
      En espérant que vous n’aurez pas besoin d’en arriver à l’autopsie pour vos patients.

    • Bonjour,
      Au milieu de votre charge de travail,avez-vous le temps de faire remonter vos constatations anormalement fréquentes d’elevation des D Dimeres à la «  pharmaconegligence « ( je viens de découvrir ce terme dans un post Twitter et le trouve éloquent)?
      Et le confrère radiologue,prend-il le temps de le faire également?
      Entendons nous bien: loin de moi l’idee du YACAFAUCON.Moi même généraliste suspendue depuis 09/21 et maintenant droit à la retraite au 01/07/23,je compatis+++++ à la difficulté qui doit être la vôtre au quotidien.A savoir une charge de travail que je n’ose imaginer couplée à une colère plus que légitime….
      Tous les éléments qui pourront être mis sous le nez des »autorités «  quand viendra le temps de «  compter les bouses «  comme on dit trivialement sont à accumuler afin de limiter autant que faire se peut le parfaitement inaudible: » oh,mais on n’avait pas toutes ces remontées »qu’on ne manquera pas de nous opposer,
      Tout cela est effrayant et nous n’en sommes qu’au début
      Avec mes respectueuses,encourageantes et confraternelle pensées
      Dr Isabelle Hoehne

  26. Encore merci clair simple et précis
    La corruption des décideurs est totale et inquiétante

    • Désolé, mais je trouve qu’il surjoue un tantinet.
      Je m’explique : ses mimiques semblent indiquer qu’il découvre ce que déclare Christine Cotton. Or il dit avoir lu son bouquin (« Tous vaccinés, Tous protégés ? »).

  27. Bonjour,
    À ma connaissance, il était stipulé dans les contrats que les « vaccins » ne pouvaient pas être appliqués si l’utilisation d’un médicament était possible. La suppression de cette obligation aurait permis de faire coexister les deux.
    Si cette obligation n’a pas été levée, ça sous-entendrait que les décideurs savaient que le mythe du « vaccin » tomberait, d’où la preuve d’un comportement mafieux.

  28. Encore une fois un article en pleine lumière et lumineux de compréhension. Merci Docteur.

  29. Comme d’habitude très bonne synthèse de la situation, mais je doute que les autorités qui nous imposent leur dictat en tiennent compte. Continuez Dr Maudrux à nous donner ces informations précieuses ça nous aide à espérer encore à une solution pour sortir de ce bourbier dans lequel nous sommes plongés.

  30. A quand un tribunal qui jugera sur le fond ce CNOM et les ministres de la « santé » ?

  31. Très bien. Trouvons l’avocat qui, au nom de l’article 223-6 du code pénal, ira faure jeter en prison nos ministres, nos medecins corrompus , nos Académiciens et nos moutons de Panurge. Les amendes pourront servir à construire les prisons, ce qui fera tourner l’industrie du bâtiment, et tant mieux car comme le dit l’adage …

  32. Peu de choses à ajouter à cette remarquable synthèse de la situation ubuesque du corps médical. Merci Gérard.
    Tous les praticiens, un minimum responsables, ont ressenti cette frustration, imposé à eux, par TOUS les moyens administratifs, sociaux et même de certaines autorités médicales…
    Je reste fidèle à la conclusion de l’article qui reprend l’esprit d’un de nos maîtres, à l’époque glorieuse de la médecine, Ambroise Paré.

    • Excellente synthèse. Si l’article 223-6 est effectivement appliqué, il va falloir en construire des places de prison !

  33. Il faut chercher chez Ariane Bilheran pour les aspects déferlement totalitaire, et chez Anne Lacroix-Riz pour le volet historique, la continuité depuis plus d’un siècle de la volonté totalitaire et propre aux doctrines nazies jamais éradiquées. La promotion de la chimie contre les molécules naturelles, la lutte contre les médecines traditionnelles, en particulier la pharmacopée chinoise, les objectifs de réduction de la population et de décroissance au profit de sociopathes adeptes du transhumanisme, la prise en main de l’éducation pour favoriser la soumission et la collaboration aux systèmes totalitaires, la perte d’esprit critique et l’acceptation des systèmes de récompenses/sanctions permettant le contrôle social, on pourrait développer ad nauseam tout ce qui a permis les déviations monstrueuses de comportements et de valeurs que vous soulignez sur ce contexte particulier de la vaccination opposée à la médecine. Tout « l’Occident collectif », ou « communauté internationale » semble avoir renoncé à la science, au bon sens, aux valeurs humaines et aller jusqu’au bout du projet totalitaire dystopique. Faut-il rappeler les mensonges relatifs au climat, et leurs conséquences, ou la servitude aux intérêts belliqueux et mercantiles à la fois qui conduisent à la ruine nos économies et nos sociétés ? Le seul espoir est l’émergence du multiculturalisme et de voir la majorité des pays (représentant la grande majorité de la population mondiale) qui s’éloigner du système de domination responsable de ces errements pour fonder, semble-t-il, un monde renouant avec des valeurs traditionnelles et beaucoup plus soutenables. L’Occident collectif va-t-il l’accepter, ou bien voudra-t-il nous entraîner dans la destruction totale, c’est la question.

  34. c’est parfaitement résumé, et avec simplicité, qualité appréciable, mais ce qui est le plus important est cette conclusion qui découle de la faillite du monde médical, qu’elle soit sciemment organisée ou non ( auquel cas on pourra parler de bêtise?): le recours au code pénal, qui ne laisse aucune ambiguïté ;la seule chose que je n’arrive toujours pas à comprendre, c’est précisément pourquoi personne ne l’utilise….ne serait-ce que Raoult actuellement accusé d’avoir soigné des gens, sans qu’il y ait une seule plainte de patient contre lui, jusqu’à preuve du contraire

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