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Ivermectine : on continue de persécuter ceux qui guérissent.

Encore mi 2023, les autorités continuent dans la ligne du président : emmerder les français. Toutes les semaines je reçois des demandes d’aide pour des dossiers de poursuites de médecins ayant prescrit de l’ivermectine. Toute la France est touchée, certainement en raison de consignes nationales. Le dernier, cette semaine, un médecin avec plainte du Conseil de l’Ordre, pour 18 prescriptions de janvier 2021 à février 2022. La belle affaire ! 18 prescriptions hors AMM sans danger en 14 mois, alors que l’Ordre reconnaît lui-même que 20% de toutes les prescriptions sont hors AMM. Au pays de l’Égalité, il semble que la discrimination et l’inégalité soient de règle. En effet, selon les départements où vous exercez, les Caisses ou les ARS poursuivent ou pas, les Ordres donnent suite ou pas.

Si le premier rôle du médecin est de soigner, si possible de guérir, dans toutes les plaintes, les poursuites sont pour avoir soigné, mais surtout jamais, jamais le résultat n’est évoqué. Dans aucun dossier il n’est évoqué un quelconque incident ou accident. On n’est pas dans le contrôle médical, mais dans le contrôle politique. On ne peut même pas dire que ce sont des rappels à la loi, car il n’existe aucun texte interdisant de prescrire de l’ivermectine dans le cadre du covid. Juste pour emm…

Certains confrères sont perdus et se débrouillent mal, avec des avocats mal placés pour connaître le dossier. Alors pour tous et ne pas avoir à intervenir trop tard, voici un dossier type, avec toutes les pièces utiles à la défense. Des faits, rien que des faits, indiscutables, vérifiables. Et pour ceux qui ne sont pas concernés, cela fait un petit rappel d’une vérité que l’on veut enterrer. Également utile pour l’éducation des septiques.

Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs. Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte. Le devoir, l’éthique et le Serment d’Hippocrate ne sont pas des lois. Je signale au passage que le Code de Déontologie n’existe plus, c’est une copie du Code de la Santé Publique recopié, et à la discrétion des fonctionnaires qui publient ces textes, pas de l’Ordre. Ses propositions peuvent être refusées, tout comme ils peuvent sortir des textes qui ne plaisent pas à l’Ordre. J’ai connu cela en matière de retraite, toutes les décisions de nos Conseils d’Administration sont sans objet si non validées par ces fonctionnaires, qui ont plus de pouvoir que les élus, et ils peuvent sortir tous les textes qu’ils veulent sans notre avis. Et quand vous voyez un décret avec mentionné « vu l’avis de tel organisme », l’avis négatif n’est jamais mentionné.

DOSSIER DE DÉFENSE TYPE À PERSONNALISER.

La CPAM et le CDOM poursuivent le Dr X pour manquement aux articles R 4127-8, 12, 32 et 40 du Code de déontologie, alors que la CPAM et le CDOM ne respectent pas eux-mêmes les fondamentaux de ce code, notamment en ce qui concernent l’article 8. Quant au « risque injustifié« , manifestement la CPAM et le CDOM ne connaissent pas le dossier, il serait souhaitable qu’ils apportent avant la preuve de ce qu’ils avancent.

Article 8 :

En ce qui concerne l’Article 8, il établit clairement la liberté de prescription, base de l’attaque de la CPAM et du CDOM. « Le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance ». Ces prescriptions relèvent du choix et de la responsabilité du médecin. Certes il y a des règles, qui ici sont parfaitement respectées : la présomption d’efficacité, sur nombre d’études, et l’absence de risques.

La CPAM et le CDOM disent « il ne faut pas traiter, c’est illégal », pourtant, même l’ANSM a dit à plusieurs reprises « vous pouvez traiter » : pièce 1, dans son mémoire pour le Conseil d’État, page 6, et pièce 2, dans une réponse à un avocat qui demandait où en était le dossier d’AMM. Non seulement l’ANSM a insisté sur cette possibilité de prescrire, mais elle a même souligné ce point dans son mémoire, pour insister. Le Dr X doit-il être condamné pour avoir suivi l’ANSM ?

Cet article 8 précise bien que le praticien a le libre choix de ce qu’il estime le plus approprié. Il ne peut être condamné pour cela, d’autant plus qu’aucun texte n’interdit cette prescription. 

En ce qui concerne les prescriptions hors AMM signalons que 20 % des prescriptions sont hors AMM (pièce 3), et nous demandons à l’accusation si elle traite tous les médecins de la même manière, pourquoi cette prescription et pas les autres, en application de quel texte, et quelle est la raison qui vaut au Dr X un traitement particulier et discriminatoire, d’autant plus que cette molécule a une présomption d’efficacité supérieure aux autres traitement dans cette affection, avec moins de risques, et que l’ANSM écrit que le Dr X peut effectuer cette prescription hors AMM dans cette indication.

Article 12 :

En ce qui concerne l’Article 12 cité, « Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes », il serait bon de préciser les reproches. En quoi le Dr X aurait entravé l’action du gouvernement ? Le gouvernement n’a proposé aucun traitement, le doliprane n’en est pas un, le vaccin, c’est autre chose, c’est du préventif, pour empêcher une infection, mais ce n’est pas un traitement curatif lorsqu’on attrape cette infection. L’un n’empêche pas l’autre et les patients atteints de covid, vaccinés ou non, ont droit à un traitement, aucun texte n’interdit à ce jour de traiter. Et si la délivrance de l’hydroxychloroquine a été suspendue quelques mois, cela n’a pas été le cas pour l’ivermectine.

Article 32 :

En ce qui concerne les données de la science des articles 8 et 32, il y a actuellement 98 publications concernant l’ivermectine, toutes consultables sur https://c19ivm.org  . 90% de ces publications montrent une présomption d’efficacité, les 10 % restants font de même, mais déclarés « statistiquement non significatif », en raison de sous-dosages et surtout de traitements trop tardifs, en traitement hospitalier, ce qui n’est pas l’indication. Aucune d’entre elles ne montre une absence totale de résultat, aucune ne signale un quelconque effet indésirable. On peut discuter et contester le niveau du résultat, mais on ne peut contester une présomption d’efficacité sur tant d’études émanant de plusieurs centaines de chercheurs de pays différents.

En France, il y a 7 publications, toutes indiscutables et favorables à l’ivermectine. Il s’agit des résultats de traitements en ehpad des Drs Charlotte Bernigaud (pièce 4) et Pierre Loué (pièce 5), la méta analyse du Pr Pierre-Jean Guillausseau  de la Sorbonne (pièce 6), une étude de l’Institut Pasteur sur le hamster doré pilotée par le Professeur Jean-Pierre Changeux, membre de l’Académie des Sciences et du Collège de France (pièce 7), deux études du laboratoire MedinCell de Montpellier (pièce 8 et 9) , l’une montrant l’innocuité en traitement prolongé, l’autre, Essai Contrôlé Randomisé, montrant l’efficacité en prophylaxie, et enfin le plus gros travail au monde sur l’innocuité de l’ivermectine du Pr Jacques Descotes de l’Université Claude Bernard à Lyon (pièce 10).

Pour juger de l’efficacité de l’ivermectine, sur les 98 études, voici le résumé de 4 des premières études significatives, les deux premières citées plus haut (Bernigaud et Loué), ainsi qu’une étude sur 3 000 patients en République Dominicaine (pièce 11), et sur 1 200 soignants en Argentine (pièce 12).

Seine-et-Marne, février 2020ehpad à Fontainebleau.

Trois cas de gale apparaissent dans un ehpad à Fontainebleau. La Docteur Bernigaud du CHU Henri Mondor de Créteil est appelée à la rescousse, car il y a obligation de traiter tout le monde, c’est la marche à suivre, sinon cela peut diffuser vite. Elle est sur un protocole avec un traitement à l’ivermectine, très efficace contre la gale. La covid n’est pas encore dans la maison, on essaye de prendre les mesures nécessaires, mais surtout on s’occupe de cette gale, pour éviter la contamination. Les 69 résidents et les 52 membres du personnel seront traités avec une prise d’ivermectine le 10 mars, et une seconde une semaine plus tard, le 17 mars 2020.

Malheureusement, les 3 premiers patients qui avaient la gale ont été transférés quelques jours à l’hôpital pour confirmer le diagnostic de parasitose, et l’un est revenu ayant été contaminé par le Sars-Cov-2 à l’hôpital, la maladie virale se déclare après quelques jours. Au total le virus va contaminer 6 autres résidents et 4 membres du personnel. Plus de 90% des personnes de la résidence, qui ont tous reçu de l’ivermectine, ne seront pas contaminés. Aucune des personnes touchées ne présentera de forme grave malgré des pensionnaires très âgés (âge moyen des résidents : 90 ans), et très fragiles avec nombre de pathologies associées (98,6% avaient au moins un facteur de risque), certains étant grabataires. Aucun n’aura été mis sous oxygène, il n’y aura aucune hospitalisation, aucun décès. Imaginez si cela avait été appliqué à tous les ehpads !

Le médecin de l’ehpad et le Dr Bernigaud se demandent si l’ivermectine n’a pas épargné l’ehpad, car aux alentours la situation n’est en rien comparable. Non seulement il n’y a pas eu d’épidémie, mais il y a eu protection des formes graves. Le Dr Bernigaud fait alors une étude en comparant la situation de 45 ehpads du département de la Seine-et-Marne. Elle recense 3062 résidents (âge médian 86,2 ans), dont 22,6% ont été contaminés, conduisant à 150 décès, soit 4,9%, contre 0% dans l’Ehpad de Fontainebleau. 

Hauts-de-Seine, début avril 2020, ehpad de Fontenay-AuxRoses.

Cet ehpad voit les ennuis arriver avec l’entrée du virus dans l’établissement et est en plein dedans en mars 2020. 25 des 68 résidents sont testés positifs (33,8%), ainsi que 10 membres du personnel sur 32 (31,2%). Le Docteur Pierre Loué y est un des médecins traitants, avec une dizaine de ses patients touchés. Le 3 avril, il tombe sur l’article de Caly et Druce, qui, en Australie, ont montré que l’ivermectine pouvait tuer les virus in vitro, avec division par 4 000 de la quantité de virus en 48 heures au contact de l’ivermectine sur des cultures, et qu’il serait peut-être bon de savoir ce que cela pouvait donner chez l’homme.

Cet article fait bondir le Docteur Loué. 30 ans plus tôt, il a fait plusieurs campagnes en Afrique pour traiter l’onchocercose (ou cécité des rivières) avec … de l’ivermectine. Il connaît parfaitement ce produit, sait qu’il est totalement bénin, sans effets secondaires. Il en sait d’autant plus quelque chose que, rentré en France, il avait attrapé la maladie et pris de l’ivermectine, contre l’avis des pontes hospitaliers parisiens qui, ne connaissant pas le produit, lui ont dit qu’il prenait des risques. Il l’a pris, il a guéri. Sans séquelles.

Il a donc traité ses patients, avec toutes les précautions d’usage en ce qui concerne l’information et le consentement éclairé. Ses autres confrères n’ont pas voulu le suivre. Au total, 10 patients contaminés ont été traités à l’ivermectine (moyenne d’âge 83,2 ans), 15 patients gérés par d’autres médecins n’ont pas reçu d’ivermectine (moyenne d’âge 81,8 ans). 

Résultats : 1 mort dans le groupe traité (ce patient, un des premiers touchés, a été traité au 18e jour, soit beaucoup trop tard, la maladie étant trop bien installée), et 5 décès sur 15 chez les non traités (soit 33%).

Trouvant cela intéressant, il a fait une comparaison avec la mortalité normale dans les ehpads, qui peut toucher tous les pensionnaires, traités ou non, l’espérance de vie en ehpad étant en moyenne de 3 ans et demi. Sur la durée de l’étude, 2 des 43 résidents négatifs sont décédés (soit 4,6%), contre 6 chez les positifs (soit 24%). Ces chiffres correspondent aux chiffres INSEE de l’époque. S’il a fallu un an pour que cette étude soit publiée dans Infectious Diseases and Epidemiology, les résultats avaient été communiqués au président du Conseil scientifique et à la cellule de l’Inserm chargée du covid.

Ces résultats, quasiment du 100%, tant en prophylaxie qu’en thérapeutique, sont indiscutables. Ils sont vérifiables, dossier par dossier : le diagnostic, le traitement, le suivi. Ils n’ont jamais été discutés, jamais mis en doute. 

Deux autres études indiscutables :

République Dominicaine, avril-mai 2020 :

Autre étude, en thérapeutique. La République Dominicaine traitait depuis le début les patients à l’hydroxychloroquine. Il se trouve qu’à la troisième semaine d’avril 2020, ils ont eu un problème de rupture de stock, ne pouvant plus se procurer de produit. Les médecins qui traitaient avaient entendu parler de l’ivermectine comme traitement potentiel, ayant également lu l’étude australienne in vitro. Leur comité d’éthique s’est donc penché sur le problème : paracétamol ou ivermectine ? Ils ont tranché en faveur de l’ivermectine.

Ces traitements ont eu lieu dans les hôpitaux de Bournigal et de Punta Cana, portant sur plus de 3 000 patients traités entre le 1er mai et le 10 août 2020. Il ne s’agissait pas de patients testés positifs sans ou avec symptômes comme on le voit dans certaines études, mais de vrais malades se présentant aux urgences pour symptômes Covid. 3 099 patients au total, qui seront selon l’importance des troubles, distingués en 4 groupes.

Le groupe 1, concernait 2 706 patients. Moins touchés, ils ont été renvoyés et suivis chez eux, avec ivermectine et azithromycine. La moyenne entre l’apparition des premiers troubles et le traitement était de 3,6 jours. Sur ces 2 706 patients traités précocement et à domicile, 16 seulement ont dû par la suite être hospitalisés, soit 0,6%, et 2 sont passés en soins intensifs. Il n’y a eu qu’un seul décès, soit 0,04%. À la même époque en France, 15% des patients symptomatiques étaient hospitalisés, et la mortalité était de 2%.

Le groupe 2 était composé de 300 patients qui ont été hospitalisés dans des unités Covid. Il s’agissait de patients traités plus tardivement avec troubles installés et plus sévères : la moyenne entre l’apparition des troubles et le traitement était de 6,9 jours. Le traitement a consisté en ivermectine et azithromycine. Sur ces patients, 3 sont décédés, soit 1%. Chez nous, ce chiffre était de l’ordre de 15 à 20% dans cette catégorie de patients.

Les groupes 3 et 4, étaient encore plus touchés, arrivés plus tardivement, 7,8 jours après premiers symptômes.  Ils ont été directement hospitalisés en soins intensifs. Bien que l’ivermectine ne concerne en principe que les cas précoces et non les complications graves, le traitement a été fait avec ivermectine + corticoïdes + Tocilizumab. 111 patients suivis, 34 décès, soit 30%, soit comme chez nous voire légèrement en dessous. Normal, il ne s’agissait plus de traiter l’infection, mais les complications sévères de l’infection. L’indication de l’ivermectine, c’est au début et non pour traiter les complications tardives, ce que confirment ces résultats.

Cela reste encore une des plus grosses études à ce jour, démontrant qu’au stade précoce l‘association ivermectine/azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, 0,6% au lieu de 10%. Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés la mortalité est divisée par 10, par contre en traitement très tardif, en réanimation, il n’y a pas de différence. 

Où en est la République Dominicaine en 2023 ? On dénombre depuis le début de l’épidémie, 6 fois moins de morts par habitant qu’en France. Si on veut comparer à conditions égales, on peut comparer avec l’ensemble des îles des Antilles. La République Dominicaine est l’île qui en a le moins, avec 5 fois moins de décès que la moyenne des îles de la région.

Argentine, juin 2020 :

Le Docteur Hector Carvallo est à l’origine d’une première et surtout grosse étude concernant l’Ivermectine en prophylaxie, étude à ce jour jamais critiquée… mais occultée. Faite en Argentine du 1er juin au 10 août 2020, cette étude a mis sous ivermectine des soignants, population à risques en contact quotidien avec des malades covid. 1 195 soignants volontaires, dans 4 hôpitaux différents qui ne communiquaient pas entre eux, ont participé à cette étude. 788 soignants ont reçu de l’ivermectine en protection, 407 n’en ont pas reçu. Un bilan a été fait après 2 mois et demi. On a constaté 237 infections vérifiées par tests dans le groupe non traité, soit 58 %, et … aucune infection dans le groupe traité, soit 100% d’efficacité.

OMS et ANSM

Pour terminer avec ces preuves, allez voir le dossier sur les traitements du covid de l’OMS. Ils ont fait leur propre sélection des études les plus fiables concernant l’ivermectine, et trouvent une réduction de 80% de la mortalité (pièce 13). Cette guideline est disponible sur  (https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/340374/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.1-eng.pdf?sequence=1&isAllowed=y) , le tableau de la pièce 13 est page 17.

Quant à la position de refus de l’ANSM sur une éventuelle RTU, elle est politique et non médicale, elle ne s’impose à personne. En effet, elle n’a pu justifier sa position, prise en toute illégalité, sans aucune transparence, alors que la loi l’y oblige. Suite au scandale du Médiator, l’Article 1 de la Loi (pièce 14), qui a mis en place l’ANSM, impose l’enregistrement et la mise à disposition du public des réunions conduisant à ces décisions, afin de connaître les arguments qui ont conduit à ces décisions. Lorsqu’on lui a demandé ces documents, elle a répondu (pièce 15) qu’ils n’existaient pas et qu’il n’y a pas eu de réunion concernant une RTU ou non, la décision ayant été prise en interne, on ne sait par qui, sur quels arguments, ni même si un médecin y a participé !

Concernant le discours édifiant et non scientifique de l’ANSM, prenons l’exemple de l’action prophylactique de l’ivermectine. Elle écrit noir sur blanc que l’ivermectine n’a aucune action en prophylaxie dans le covid, encore récemment dans un communiqué. Elle ne cite aucune étude pour étayer son affirmation. Et pour cause, il y a 18 études et publications dans le monde en prophylaxie, pas une de plus, pas une de moins (pièce 16). Elles sont toutes extrêmement favorables, la dernière étant l’étude clinique SAIVE de MedinCell !

Article 40 :

En ce qui concerne l’Article 40 évoqué, la CPAM et le CDOM ignorent totalement ce qu’est l’ivermectine pour évoquer une quelconque dangerosité ! Il suffit de consulter le travail du Pr Jacques Descotes cité plus haut, ou les fiches de pharmacovigilance. En Janvier 21 (pièce 17), aucun incident signalé, en août 21 (pièce 18), 2 incidents, mais en association avec le tocilizumab, médicament le plus mortel de tous ceux étudiés ! Les médecins ayant prescrit le tocilizumab sont-ils poursuivis ? Le laboratoire Merck avait en 2002 fait une étude avec 10 fois la dose d’ivermectine(pièce 19), sans rencontrer un seul problème de toxicité.

Médicaments approuvés et éprouvés

Le Dr X avait deux alternatives : Doliprane ou Ivermectine. Entre le Doliprane, sans aucune étude (articles 8 et 32 !), sans aucun effet sur le covid et pour lequel la base de pharmacovigilance de l’OMS (Vigibase) a comptabilisé en 35 ans et à ce jour 194 611 évènements indésirables et 4039 décès, et l’ivermectine, avec tous les articles cités et 7152 évènements indésirables et 26 décès en 35 ans, comment peut-on reprocher au Dr X d’avoir fait ce choix ? La CPAM et le CDOM ne doivent pas confondre médicament approuvé et médicament éprouvé. L’ivermectine n’est pas approuvée, mais elle est éprouvée, c’est ce qui doit compter pour le médecin.

Azithromycine

Pour terminer avec l’azithromycine, toutes les études les plus favorables concernant l’efficacité de l’ivermectine le sont avec l’association avec l’azithromycine, et les moins favorables le sont avec ivermectine seule. Cette association est donc basée sur la littérature, favorable au patient. Signalons surtout que l’azithromycine est le traitement de choix des pneumopathies atypiques, que les patients qui meurent du covid meurent de leur pneumopathie. En 1918, lors de la grippe espagnole, il a été clairement établi que les millions de morts de l’épidémie n’étaient pas dus au virus, mais à des surinfections, faute d’antibiotiques (pièce 20). Les chercheurs qui ont étudié la grippe espagnole proposent l’antibiothérapie en prévention et en curatif. Ne négligeons pas non plus l’effet immuno modulateur de l’azithromycine, connu avant le covid, pouvant donc avoir un effet sur le choc cytokinique. pièce 21 « L’azithromycine est un médicament immunomodulateur dont les effets antiviraux ont été démontrés et qui pourrait être bénéfique pour les patients atteints de COVID-19. De multiples effets immunomodulateurs ont été définis pour l’azithromycine, qui pourraient être efficaces aux derniers stades de la maladie, notamment l’inhibition de la production de cytokines pro-inflammatoires, l’inhibition de l’afflux de neutrophiles, l’induction de fonctions régulatrices des macrophages et des altérations de l’autophagie. » Sa prescription est donc parfaitement documentée et justifiée, si tant est qu’aucun texte ne l’interdit non plus, et que le médecin est libre de son choix, article 8 du Code de la Santé Publique.

Pour terminer, j’ajouterai que, dans deux dossiers de signalements à l’Ordre, des médecins de CPAM ou d’ARS, parlaient de « médicament potentiellement mortel ». J’ai signalé aux confrères mis en cause que, personnellement, je porterais plainte pour dénonciation calomnieuse et diffamation. Les médecins CPAM/ARS, ne pouvant apporter la preuve de ce qu’ils avancent, devraient être condamnés. Enfin pour ceux qui n’ont pas d’avocat, Me Jean Charles Teissedre de Montpellier, frère d’armes m’ayant entraîné devant le Conseil d’État pour la RTU, est celui qui connaît le mieux le dossier.

Gérard Maudrux

117 commentaires

  1. Les punaises de lits et l’ivermectine
    Les punaises de lit, ou encore puces le lit, mesurent, à l’âge adulte, de 5 à 8 millimètres, ce qui les rend visibles à l’œil nu en plein jour mais seulement à l’état de cadavres en cours de consommation par leurs congénères ou par les fourmis en pays chaud.
    Il est rare de les voir courir sur le lit. Elles ne sortent que la nuit. Elles se sauvent devant la lumière.
    Elles sont attirées par la chaleur des corps humains ou celle des autres animaux à sang chaud.
    Elles utilisent chez les mammifères leur appareil buccal piqueur-suceur.
    Elles injectent un anesthésiant rendant la piqûre indolore. D’où l’absence de lésions de grattage.
    Elles utilisent un anticoagulant proche pour ses effets l’hirudine des sangsues commercialisée.
    Elles aspirent tout le sang dont elles ont besoin. Elles parasitent les humains et aussi d’autres mammifères et des oiseaux.
    Chez nous on les trouve la nuit chez les poules où elles sont en concurrence avec les poux rouges.
    Elles se déplacent activement à l’intérieur d’un logement, voire d’un logement à l’autre, cherchant toujours à aller là où se trouve leur nourriture.
    Elles se glissent dans les bagages et se déplacent ainsi d’une ville à l’autre, d’un pays à l’autre, et même d’un continent à l’autre, quand la valise ou le colis prennent l’avion.
    Les punaises de lit se cachent dès qu’il y a de la lumière, dans les fentes des planchers, dans les fentes des murs, dans les recoins des habitations, dans les fentes des structures en bois des lits et dans les coutures de matelas etc.
    Elles se reproduisent dès que les conditions sont favorables : température suffisante et présence de nourriture. Quand la température est trop basse, elles hibernent en attendant des conditions meilleures.
    Les larves, grosses consommatrices de sang, peuvent se passer de nourriture pendant plusieurs mois et patienter ainsi, si besoin, sans être menacées.
    Les punaises de lit piquent le plus souvent sur les bras, les jambes ou dans le dos. Il est fréquent d’avoir plusieurs piqûres alignées sur une trajectoire qui commence aux pieds des lits et il est possible de se retrouver le matin avec plusieurs alignement de lésions cutanées !

    Leurs piqûres sont indolores ne provoquant pas de démangeaisons. Elles sont en revanche facilement détectées par des lésions rouges de la taille d’un confetti ce qui les rend très voyantes surtout alignées.
    Dans certains cas, il y a une réaction allergique avec des manifestations plus ou moins intenses, mais cela est rare. En revanche, il n’y a aucune transmission de maladie connue disons pour le moment.
    Les punaises de lit ne séjournant pas sur la peau, il semble inutile de traiter les organismes. En fait, donner un traitement appropriées aux personnes attaquées permet de tuer les punaises sans danger.
    Comme pour la gale, les punaises de lit donnent lieu à des attitudes de refus (élèves et professeurs) de se rendre dans les établissement reconnus infectés n’ayant pourtant pas de lits (sauf les internats).
    Les assurances sociales devraient prendre en charge les désinfections des lits des personnes attaquées plus que les établissements où les punaises sont juste découvertes n’ayant pas encore pondu les œufs.
    Il est par conséquent nécessaire et plus approprié de traiter rigoureusement ta totalité du logement des personnes concernées pour faire disparaître tous les adultes, larves et œufs.
    Un traitement mécanique préalable est utile. Il se fait en passant minutieusement un bec aspirateur dans toutes les fentes, puis dans l’idéal un nettoyeur vapeur. Il est aussi nécessaire de laver à haute température tout le linge de lit. Cependant ces désinfections doivent être réalisées toutes le même jour.
    Après un séjour dans un endroit contaminé (hôtel, logement de vacances), il convient, en rentrant, de laver tout le linge à haute température, de décontaminer les divers objets pouvant héberger des parasites et de laisser la valise en quarantaine dans un endroit protégé où elle pourra être traitée.
    Une solution idéale serait de donner de l’ivermectine comme pour la gale et comme pour les autres invertébrés parasites du sang très répandues en Afrique. En donner tous les jours de la propagation.
    Les premiers essais réalisés dans les années 80 avec l’ivermectine (ou « Mectizan » dans sa dénomination commerciale) ont montré que ce médicament pouvait prévenir la cécité des rivières.
    En 1988, Roy Vagelos, alors directeur général de la compagnie pharmaceutique Merck & Co. et membre de l’équipe de scientifiques ayant mis au point le médicament, a promis que son entreprise fournirait gratuitement autant de Mectizan que nécessaire aux pays africains pour leur permettre d’endiguer l’onchocercose.
    Cette solution très ne convient pas aux partisans des vaccinations anti-Covid et autres qui pensent encore : Tous vaccinés, tous protégés. On sait à quoi s’en tenir ! Surtout pour les effets indésirables
    Pourquoi l’ivermectine n’a pas d’effet secondaire ? Explications qui ont valu un NOBEL de médecine.
    La structure de l’ivermectine est semblable à celle des récepteurs à glycine des canaux ioniques des vertébrés mais les canaux chlorures glutamate-dépendants sont eux spécifiques aux invertébrés.
    L’absence de canaux chlorures glutamate-dépendants chez les mammifères rend compte en partie de la spécificité de l’action de l’ivermectine sur les parasites invertébrés et de son manque d’effets secondaires sur les mammifères.
    L’ivermectine interagit également avec des canaux chlorures ligand-dépendants faisant intervenir le neuromédiateur GABA (acide gamma-amino-butyrique) d’où son intérêt chez les personnes plongées dans les addictions souvent atteints ensemble par la gale, les poux, les puces de lit.
    Le récepteur périphérique des neurotransmetteurs chez les mammifères, le récepteur nicotinique de l’acétylcholine est fort peu affecté par la molécule, ce qui contribue à son innocuité chez eux.

  2. A cause des imbéciles et malhonnêtes que tout le monde connait, on continue à emmerder les gens en France.

    • Quel beau récapitulatif ! Admirablement construit, clair et sourcé. Bravo. Je suis sûr qu’il sera des plus utile.

  3. N’est-il pas temps , LARGEMENT , de porter plaintes contre la clique , et notamment certaines carpettes médicales de service , pour non assistance ? D’autant plus que les carpettes en question se permettent de harceler de façon surréaliste des médecins qui , eux , n’ont pas démérité . Ils doivent avoir très mauvaise conscience comme leurs maitres ( politiques et industriels )

  4. Le labo pierre Fabre produit de l’ivermectine depuis longtemps.
    j’ai tenté de sensibiliser personnellement certains employés de haut niveau, sans obtenir le moindre résultat

    • Logiquement ils doivent faire venir la poudre d’Inde et la conditionnent. Aucun intérêt pour eux, ni brevet, ni fabrication. Comme les autres, ils ne sont pas là pour soigner gratuitement…

      • Merci pour ce dossier complet et fort utile. Il est temps que la peur change de camp.

  5. Bonjour,
    @ INOXYDABLE
    Le protocole covid est très strict sur le Tour de France, preuve que la grande panique n’est pas encore finie.
    https://www.cnews.fr/sport/2023-06-27/tour-de-france-2023-quel-est-le-protocole-sanitaire-contre-le-covid-19-1370651
    Ces décisions ont été prises car sur le Giro en Mai 2023 plusieurs coureurs ont eu le Covid. D’ailleurs c’est là que ça en devient presque comique car le leader de la course ,Remco Evenepoel , a annoncé être contraint à l’abandon après un test positif suite à la 9ième étape ! La question que je me pose : si ce sportif est le leader d’une des courses les plus exigeantes au monde, est -il malade?
    https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/05/15/cyclisme-remco-evenepoel-leader-du-giro-contraint-d-abandonner-apres-un-test-positif-au-covid-19_6173361_3242.html

    • Et alors ? Ils sont morts ? Il se font dessus pour ce qui est devenu un rhume … je me souviens de tours de France dans lesquels des coureurs avaient la grippe ou un état grippal , voir des bronchites, ils se soignaient et continuaient;
      Ceux qui ont pris ce décisions de terreur, je les appelle des « cague mous » et un jour il faudra bien qu’ils rendent des comptes.

    • Sur le Giro ils n’étaient donc pas tous vaccinés ? Parce qu’ils en sont encore au « tous vaccinés, tous protégés ». Et puis la Covid 2023 doit avoir son origine pour des mutants en 15 ème génération, peu dangereuse. Le Pr D Raoult explique tout cela depuis longtemps. Donc c’est our protéger le poudré et son véreux qu’ils nous jouent la com..édie.

    • Le Covid frappe toujours le maillon faible (de la chaîne de vélo)
      Si ce n’est pas le poumon qui est touché, le virus remonte au cerveau et c’est fatal

  6. je viens de regarder l’étape du Tour de France aujourd’hui, je suis atérré de voir qu’à l’arrivée les imbéciles d’interviewer au autre intervenants mettent encore des masques; ç’a m’a dégouté, je crois que je ne regarderai plus.

    • la vallée d’ossau est tres enclavée. les nouvelles y arrivent avec beaucoup de retard 🙂

  7. Bravo a tous ces médecins qui ont fait le choix de traiter leurs patients le plus efficacement possible plutôt que de suivre un organisme politique.si une pétition de soutien a ces médecins est lancée je la signerai et la partagerai.il est sérieusement temps de mettre un terme aux exactions de ces individus qui s’apparentent a une mafia dont les intérêts ne sont clairement pas ceux des citoyens patients et futurs patients pour retrouver une politique de la santé digne de ce nom

  8. Dieu! que je suis content d’avoir quitté la France et de ne plus y excercer. L’ancien pays des Lumieres semble s’enfoncer dans l’obscurantisme. Ici au Portugal personne n’a été inquiété pour les prescriptions d’IVM, beaucoup de colegues en ont parler librement dans les médias.

  9. Vous écrivez :
    « Également utile pour l’éducation des septiques. »
    Septiques, au lieu de SCEPTIQUES !
    Est-ce une faute d’inattention, ou un humour au 3ème degré où les sceptiques rejoindraient les septiques ?

  10. Irréfutable. Tout esprit clair en conviendra. Les nains vert-de-gris pétris de poussières antédiluviennes, de suffisance et de mauvaise foi sont-Ils en mesure d’utiliser le bouclier de l’état d’urgence sanitaire contre l’Epée d’or ?

  11. Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage.
    Comme vous le dites justement, on est dans le contrôle politique.
    Le pouvoir veut un corps médical qui obéisse sans discuter et sans se poser de questions.
    Cette dérive est particulièrement inquiétante.
    Honneur à tous ceux qui résistent à ces actes honteux d’intimidation, pour obéir à leur conscience.

      • Mais que fait la pharma ? Pas encore de vaxxxin (le 3e x pour la gravité du cas) prévento-curatif anti-émeute ?

        • n’en doutez pas, ils y travaillent, avec la G et le graphène qu’ils ont mis partout dans les vaccins, et la nourriture des insectes …dont la poudre est autorisée sans obligation de le mentionner sur nos aliments, depuis la décision européenne … >>> c’est peut être pour cela qu’on voit très peu de chemtrails depuis la vax.. Ils ont aussi sorti un vax pour remplacer la pilule,;, efficacité 2 ans… après les femmes verront bien si cela n’est pas devenu définitif !

    • « Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs. Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte » . Vous n’avez sans doute pas lu le début de ce post du Dr Maudrux.

  12. Je suis vos articles depuis longtemps et celui-ci est un excellent résumé de chose qui montrent l’efficacité de l’ivermectine.
    Ayant des attaches en République Dominicaine j’avais entendu parlé de l’étude à Punta Cana. J’y suis allé en vacances en 2021 et j’ai ramené mes doses d’Ivermectine que l’on trouvait dans toutes les pharmacies.
    Premier Covid en février 2022, ma fille l’ayant fait chez moi 1 semaine avant je m’y attendais. Je n’en ai pas pris en préventif mais au premier symptôme (léger mal de tête) je me teste : positif.
    bien que vacciné je me prends 5 comprimés 2 jours d’affilés. Les symptomes disparraisent en 4 jours. Je n’ai pas eu de fièvre mais j’ai été fatigué une semaine. Mes collègues qui l’ont fait à cette période ont tous été plus touchés que moi? Pourtant j’étais le plus âgé avec 63 ans.
    Deuxième Covid en mai cette année. J’avais un petit syndrome grippal et je me suis testé quand j’ai eu un peu de fièvre. Ivermectine à nouveau. J’ai continué à tousser un peu mais rien de grave. 2 collègues l’ont eu en même temps et ont été plus longtemps avec la toux et le mal de gorge.

    • Et vous n’avez pas eu de problème en douane au retour ? Avec 100 comprimés ou plus de Ivermectin ?

      • J’en ai acheté en Inde sur le net. Sûr, c’était un peu cher, mais aucun pb de douane. (Je ne voulais pas mettre en difficulté ma pharmacienne qui est très sympa )

      • Visiblement, les douanes durcissent les contrôles. J’en ai acheté en INDE en décembre 2021, sans difficulté, puis en Inde tjrs un peu plus d’un an plus tard , mais j’ai dû changer de fournisseur, le premier avertissant qu’il ne livrait plus dans l’UE

        • Refusé à RCDG. La douane m’a écrit: à défaut de produire une ordonnance du pays d’origine, mon ordonnance française fut refusée. Le produit est reparti chez l’expéditeur. Donc problème actuel. Changer de pays ?

        • On dirait qu’il y a des accords de douane entre l’Inde et l’UE
          L’importation de médicaments humains doit être réglementé.
          Il ne reste plus qu’à tenter l’achat d’ivm pour véto, le dosage se calcule au poids, les Chinois en font, chercher ivm sur telegram

    • Beau témoignage sur « l’efficacité  » du xavin.Heureusement que vous vous êtes soigné!?

      • Il est sans doute prématuré de crier victoire dans ce cas précis ! certes IV a fait le job, en apparence; mais en profondeur, Qu’en est-il?
        Petit résumé:
        -Vacances en RD: 2021 (pas d’autre précision) et sans doute vaccination antérieure puisque nécessaire pour embarquer, à moins que…-je n’ai pas les conditions précises pour RD)
        -1ère contamination: 02/2022 soit environ 2 mois après voyage (mais combien après vxx?)
        2è contamination: mai 2023 ! (là vraiment pas de bol, à moins que… toujours ce foutu vaxx avec les doses de rappel?
        Conclusion, oui en apparence il s’est soigné, oui la vaxx ne sert à rien (trop peu d’efficacité quand il y en a une, sur trop peu de temps !); mais sur la durée qu’est-ce qui provoque ces contaminations multiples.
        Ou dit autrement, surtout pour la dernière, n’est-ce pas tout bonnement… autre chose !

        • Oui, le retentissement sur l’immunité est inconnu. Il n’est d’ailleurs, semble t il, au contraire des effets indésirables de l’HCLQ, pas vraiment évalué(principe de la « déclaration spontanée »)!!!

    • Je suis pour la vieilke méthode chinoise .on paye son médecin tous les ans parce qu’on est en bonne santé, mais pas quand on le voit si on est malade,: dans le cas 1, il avait fait le job, pas dans le cas 2?

  13. Que répondre à certains ( pourtant contre la doxa) qui claironnent que l’iver est dangereuse car, dit-il tuer les parasites qui sont déjà présents dans notre organisme, n’est pas du tout bénéfique ..Je vous cite un passage sans dire le nom de l’auteur :

    Mais ce qui m’inquiète le plus dans l’« ivermectinemania », c’est qu’on trouve normal de soigner une grippe en avalant un biocide destructeur de parasites, une substance véritablement « Terminator » pour ce type de germes. Je trouve ça inquiétant parce que la science découvre de plus en plus que cette catégorie de micro-organismes pourrait – elle aussi – être l’alliée de l’être humain et de son terrain au lieu d’en être l’ennemie. Par exemple, cette étude danoise parue en septembre dans Nature Communications nous révèle que les Vikings étaient quasiment tous porteurs du parasite Trichocephalus trichirus, une espèce de nématodes. Non seulement ces vers intestinaux ne les empêchaient pas d’être en bonne santé mais il semblerait que la vigueur légendaire de ce peuple scandinave découlait précisément de leur infestation parasitaire…
    Qu’en pensez vous Dr Maudrux ?

      • Surtout pour l’onchocercose, il faudrait voir ceux qui l’ont eue et n’ont pas été soignés, si cela leur a été bénéfique !!!

      • Dit comme ça, Docteur; vous heurtez mes convictions scientifiques! Je vous ai connu moins « agressif ».
        Pourquoi cette « mise en garde » ne pourrait-elle pas avoir au moins une once de bon sens? La question de votre interlocutrice est légitime.
        Doses, durée du traitement, « terrain »; rien n’est à négliger; vous le savez.
        Ce n’est pas parce qu’IV est a priori sans dangers dans les indications qu’on lui connait ou nouvelles (Covid et autre virus) qu’elle ne peut pas s’avérer au moins nocive dans d’autres conditions. La puissance apparente de ses composés, pas tous étudiés, commande à tout le moins qu’on se prémunisse. C’est avant tout un anti parasitaire, soit, mais quid d’éventuels dégâts collatéraux à long terme, sur le microbiote intestinal, par exemple?
        L’exemple est peut-être mal choisi mais la réflexion de fond oblige à mon sens qu’on se penche sur la question et non qu’on l’élude d’un simple revers de main.
        Votre réponse dédaigneuse vis à vis des propos cités (et non de votre interlocutrice) m’interpelle donc.
        Avez-vous des infos sur le sujet qui n’auraient pas été diffusées et pouvant permettre de classer cette mise en garde parmi les fake-news?

        • Les enfants africains depuis la découverte de l’IVM par Satoshi Omura en 1974 (prix Nobel en 2015) en prennent 2 fois par an en protection contre l’onchocercose. Sans aucun problème.

        • Il y a desmoments où ka stupidité fait frémir…
          Bon, 5 jours d’ivm seraient dangereux pour la flore intestinale, mais 5 fois par an des antibio, 3 tubes de doliprane par an-pour les prudents- tous les jours trois verres de vin plus l’apéro, ce serait sans pb pour nos bebetes intestinales?
          Il faut être sérieux.

        • A Didier Laigle
          En effet, je l’ai senti un peu « vif ».. Je me pose un peu les mêmes questions, rien de plus mais rien de moins.

  14. Encore merci docteur pour cette argumentation brillante. J’ai lu les commentaires et l’idée de la class action me paraît excellente. Si elle a lieu je participerais financièrement avec mes moyens.

  15. Toujours aussi impeccablement démontré. Merci et salutations respectueuses Dr Maudrux.

  16. Merci à GM de ce dossier utile.
    1)la prescription hors AMM est légale.2)elle est sérieusement argumentée.Les choses sont claires(pour un juge intêgre)Après,courage et à suivre…

  17. Merci Dr Maudrux, de ce que vous faites pour aider les pauvres médecins pourchassés par la malveillance de l’état et de l’administration étatique.
    Je n’ai aucun lien avec le secteur médical. Je n’ai même plus de médecin depuis le second confinement, le mien (quelqu’un de très bien) ayant pris sa retraite à ce moment-là.
    J’ai été malade deux fois pendant la période covid. A chaque fois, dès que je ne me suis pas sentie bien, j’ai pris de l’Aspégic pendant une journée. Journée que j’ai passé allongée. Le lendemain, un peu fatiguée et le surlendemain également. Mais plus malade. Je ne me suis jamais fait tester et je ne suis pas vaccinée.
    Je voulais donc vous demander ce que vous pensez de l’aspirine, par rapport au paracétamol (pourquoi d’ailleurs nous conseillait-on toujours le Doliprane ?)

    Ne pensez-vous pas, de plus, que cette chasse aux sorcières concernant les médecins, alors qu’il y a tout un tas de déserts médicaux, est faite volontairement pour qu’il y ait moins de soignants ? D’autant plus qu’il est prouvé que ceux qui ont SOIGNE, ont eu des résultats satisfaisants.

    • Comme vous je suis très aspirine, d’autres (comme mon épouse) sont très paracétamol. L’aspirine est parfois moins bien supportée que le paracétamol, car plus efficace. Baisse la fievre comme le paracétamol, mais aussi anti-inflammatoire et action importante sur la coagulation, pouvant faire saigner (mon épouse). Les vaccinés de ma famille ont eu en protection aspirine et ivermectine, le paracétamol n’aurait été d’aucune utilité.

  18. Quel travail vous nous résumez ici ! on imagine (mal) le temps passé.
    Quelle mauvaise foi de la part de vos détracteurs…

    Cette affaire n’aidera pas la France à inciter les jeunes à choisir médecine pour leurs études…

    Merci Dr Maudrux, j’ai copié l’article ainsi que toutes les pièces jointes (au cas où… sait-on jamais), comme ça je les ai sous la main.

  19. Heureusement qu’il y a un esprit de résistance en France, pour rester droit et bien soigner. L’idéal serait que tous les médecins se mettent à prescrire massivement hors AMM, pour recadrer un peu les choses

    • Dans un autre domaine, cela m’évoque la devise du Canard :
      “La liberté de la presse ne s’use que quand on ne s’en sert pas.”
      Mais la prescription hors AMM n’entraîne-t-elle pas le non remboursement des médocs ?

      • Je m’étrangle quand je lis une mention du Canard qui a passé les années covid à insulter avec un incroyable mépris les médecins qui traitaient, ou ceux qui, d’une manière générale, l’ouvraient contre l’OMS, le gouvernement ou les injections.
        Bref, le Canard ne fait plus du Canard depuis longtemps déjà.

        • Et continue avec le conflit en Ukraine en étant les plus va-t-en guerre. Alors que le « Canard » a été fondé en réaction au bourrage de crâne de la guerre de 14/18…

  20. COMMENT peut-on se contenter de laisser courir la situation actuelle et les plaintes contre les résistants (intègres et honnêtes) au “©crime-covid”, ou l’absence de réintégration et de dédommagement de la majorité des suspendus.??? j’en ai les tripes retournées.!! Auriez-vous la gentillesse de m’accorder un rdv téléphonique pour en parler svp.? Merci d’avance. Denis Bigeard – nivoyousnisoumis.re

  21. COMMENT peut-on se contenter de laisser courir la situation actuelle et les plaintes contre les résistants (intègres et honnêtes) au « ©crime-covid », ou l’absence de réintégration et de dédommagement de la majorité des suspendus.??? j’en ai les tripes retournées.!! Auriez-vous la gentillesse de m’accorder un rdv téléphonique pour en parler svp.? Merci d’avance. Denis Bigeard – 0631009338

  22. Je fais parti de ceux qui ont prescrit sans être inquiété, tant mieux pour moi ; mais cette cabale internationale contre les traitements précoces, coordonnée et soutenue par les plus hautes instances de santé publique est pour le moins suspecte
    Peut-être que des journalistes intègres s’y pencheront un jour

    • « pour le moins suspecte » ? n’ayons pas peur des mots, ni de ces criminels… Il s’agit d’un crime contre l’humanité, si tous n’en sont pas les instigateurs, les autres sont des complices actifs. JUSTICE doit être rendue. Ne les lâchons pas.

  23. L’assurance maladie et l’ordre des médecins ne sortiront pas grandis de cette chasse aux médecins informés,honnêtes,et respectueux de leur serment….

  24. Ce que j’ai du mal à comprendre, c’est pourquoi le magistrat présent lors des « procès » du CNOM envers les accusés ne remet pas le débat sur le plan du droit et n’écarte pas le côté politique.

    Les accusés n’ont fait de tort à personne (contrairement aux directives officielles), combien de plaintes de patients ? ==> quid du bien-fondé de ces procès ?

    • C’est ce qu’il fait, c’est pour cela qu’il faut coller aux textes de loi, respectés ou non. C’est pour cela que des confrères qui ont raison médicalement sont condamnés si la loi n’est pas respectée, et inversement. Ceci dit il n’a qu’une voix sur 6 ou 7, mais il a de l’influence s’il dit que la loi est respectée, qu’aucun texte n’interdit cette pratique, ce qui est le cas ici.

    • Merci pour cet article précieux que nous allons diffuser.
      Une question : je mets rarement des commentaires mais je lis tous vos billets. Avez-vous un retour chiffré sur le nombre de vos lecteurs ? Je pose cette question car j’espère que vous pouvez suivre l’ampleur de votre lectorat. Combien sommes nous à vous lire régulièrement ? J’espère que nous sommes de plus en plus nombreux. Nous avons du mal à évaluer si un éventuel changement positif de posture se produit.

      • Faites connaitre ce site au maximum de personnes en leur indiquant Covid: faits et chiffres et aussi directement les articles les plus parlants qui prouvent la criminalité des autorités tels que les archives février 2023 sur l’ivermectine, ou des articles plus récents.
        Je ne manque pas une occasion d’en parler comme à chaque fois qu’on me contacte pour des publicités diverses, dernièrement une personne de la MSA, ou des dossiers que j’ai remis à des secrétaires à l’hôpital, souvent en en révélant les grandes lignes devant le public, ou même à un médecins qui était sceptique >>> il m’a promis qu’il le lirait, même si ce n’était pas de sa partie

      • Honnêtement aucune idée, les stats de WordPress sortent des chiffres aberrants depuis que des modifications ont été faites pour que cela ne rame plus. On a des chiffres de 1 à 5 selon que l’on consulte les chiffres du jour, de la page, des adhérents. Ainsi sur les plus de 7 000 adhérents, il n’y en a que 50% qui ouvrent, or ils ne se désabonnent pas. On va dire entre 5 et 10 000, c’est peu.

        • Je pense que c’est encore plus compliqué que ça.
          Nous sommes quelques uns à ne plus recevoir les notifications. Nous ne pouvons donc pas les ouvrir. Pourtant je ne doute pas que le site continue à nous les envoyer, et donc nous comptabilise dans les notifications non ouvertes. De plus, lorsque je les recevais, je ne les ouvrais pas forcément, accédant facilement au nouveau billet par le menu du site. Peut-être faudrait-il demander aux abonnés d’ouvrir systématiquement le mail pour surveiller l’évolution des stats. Mais bon… ?

          • C’est effectivement plus compliqué, car une partie arrive en spams, du fait d’un tri des opérateurs, bien que les mails soient envoyés un par un (il faut 15 heures). C’est ce que j’allais vous répondre, mais cela m’a fait remarquer qu’effectivement je n’ai pas reçu les 2 derniers, ni en mail, ni en spam. On va creuser.

  25. Alors que tout le monde et les merdias sont passés à autre, guerre en Ukraine, emeutes, inflation.., cet acharnement ne va t il pas desservir le CO, en obligeant les médecins pourchassés à produire toujours plus de preuves et d’arguments? Le doute ne finira t il pas par s’installer chez certains membres du CO, car il doit bien en comporter quelques honnêtes personnes?

    • Il faut intégrer le fait qu’on vit avec un état hors la loi.. Comment faire pour se défendre si des malfrats et leurs petits capots ont tous les pouvoirs (?)

  26. je vais tenter de publier la référence de votre article sur ma page face book pour voir si ce réseau social dirigé par un ex haut fonctionnaire français va me sanctionner comme en 2020/2021/2022? A quel point cette chasse aux sorcières officielle et haineuse perdure-t-elle sur les RS à la demande du gouvernement français?

  27. Cher Confrère, merci pour votre éclairage et votre expertise, il est très important aujourd’hui d’aider les Confrères qui défendent simplement la liberté de soigner ( Hors-AMM ou pas )
    Ne serait-il pas le moment opportun pour organiser une immense Class-Action contre les instances qui se comportent comme des hors-la loi : Le CNOM, les CPAM, mais aussi l’ANSM et la HAS en ne respectant pas la liberté de prescription hors-AMM ? On pourrait imaginer une association qui lèverait des fonds afin de rémunérer des juristes afin de porter et faire aboutir cette Class-Action ? Merci de votre combat qui démontre votre courage, et votre indépendance , valeurs qui disparaissent dans notre profession

  28. Efficace
    -intelligent et sourcé-
    ce qui n’est pas interdit
    sans volonté d’em…
    pour la liberté
    sans oublier votre ‘frère d’armes’
    Merci

  29. Merci docteur Maudrux pour cet important travail.
    Pour soutenir votre action, je me permets de vous annoncer ici la parution de mon enquête « Tous vaccinés, tous en danger? » cette semaine chez IS Edition (www.is-edition.com). Je pense que cette enquête intéressera tous ceux qui veulent défendre ces professionnels persécutés par les faiseurs de science officielle. Il est temps, comme vous avez pu le dire, qu’ils rendent des comptes.
    Bien cordialement

    • la parution de mon enquête “Tous vaccinés, tous en danger?” cette semaine chez IS Edition (www.is-edition.com).

      Très regrettable didactiquement d’avoir utilisé déjà dans le titre le concept « vaccin » vu que ce sont des IGE (Injection génique expérimentale)

      Hélas on nous a mal enseigné, voire inculqué, à l’école que Pasteur était un Grand bienfaiteur de l’humanité et que les vaccins arrêtent et finalement annihilent les épidémies.
      Ce sont deux gros mensonges mortifères pour qui, médecin ou non, a suffisamment de culture sur ces deux sujets.

      Ca fait plus de dix décennies que des ouvrages fiables nous l’expliquent et essaient de déniaiser

  30. C’est en effet terrible, et il faut tout faire pour défendre ces invidius, et leur pratique.

    Mais… il faut aussi voir l’aspect POSITIF !

    Ce délire qui perdure… contient en lui son propre antidote si j’ose dire.

    Il nous prouve que l’ivermectine.. est une molécule miraculeuse… !

    Qu’il va falloir étudier de beaucoup plus près et qui pourrait avoir des utilisations insoupçonnées !

    Un tel fanatisme, une telle HAINE (et qui durent !)… en sont les preuves. En creux. 😉

    Voilà pourquoi, nous devons nous… réjouir.

    La covidémence fut terrible, nombreux sont ceux qui en ont bavé… Et pourtant… nous sommes aussi nombreux… à avoir compris.

    Elle nous a ouvert les yeux.

    Qui connaissait/pratiquait l’ivermectine en France avant ? Ou dans les autres pays occidentaux ?

  31. Les preuves d’efficacité de l’Ivermectine ou de l’hydroxychloroquine n’ont pas d’importance pour les malhonnêtes comme Macron et son gouvernement. Pour eux, il faut continuer à emmerder les gens pour qu’ils (Macron et son gouvernement) reçoivent d’énormes commissions auprès de big pharma. Du reste, la France a enregistré un taux de mortalité covid de plus de 2500 décès par million d’habitants quand les pays qui ont soigné avec l’hydroxychloroquine ou l’Ivermectine + l’Azithromycine ont eu de taux de mortalité de 14 décès par million d’habitants (RDC)

    • Et la hyène a déjà passé précommande de 250 millions de doses pour une maladie infectieuse à venir, au cas où le pangolin ressortirait du bois… C’est comme le dioxyde de carbone, ça n’a pas besoin de lien avec le réel.

  32. Bravo Gérard effectivement il faut absolument rester sur le plan légal en invoquant la liberté de prescrire

  33. Merci M. Maudrux pour ce travail précis convaincant. Je fais suivre votre article aux amis médecins qui ont soignés avec IVER/AZY. Les arguments de droits, et les faits, sont incontournables pour les médecins inquiétés. D’autant plus que des magistrats professionnels siègent dans les CDOM. Les arguments des CDOM et de l’ANSM que vous apportez sont imparables en droit avec un avocat bien formé sur ces points. Encore mes remerciements pour votre travail et toutes les indications que vous apportez depuis le début de cette affaire qui est purement politique. Le Pr D Raoult (qui a curieusement préféré le traitement HDCQ/AZY; il n’avait probablement pas toutes les données sur IVER) le rapporte dans son dernier livre: les décisions sanitaires d’interdiction étaient politiques. Pas médicales, ce qui est le comble.

    • Le Prof Raoult a mentionné l’IVM dès mai2020 : c’est grâce à lui et au Dr Cavallo d’Argentine que :
      Je me suis traitée prophylactiquement jusque mai 21
      J’ai ajouté IVM à mes prescriptions Covid dès 9/20

  34. Non vaxiné, sans aucun PCR, 74 ans, 120 kg, 3 co morbidités ((hypertension, cholestérol et cancer prostate), je me suis soigné seul avec l’IVM le soir même (vendredi) de mes premiers symptômes covid, sans fièvre, nez qui coule, et avec confirmation de ma positivité par auto test acheté en grande surface.
    Le lendemain repos complet. Fatigue generae. Aucune activité. Le dimanche, jour de vote, je suis en forme et oublie même le masque pour me rendre au bureau de vote.
    Le mercredi suivant à +6 jours, je n’ai « plus de jambes », difficultés à marcher et monter des marches.
    Le lendemain nouvel auto test, un peu moins marqué en C et T, donc toujours positif. A + 10 jours aucune séquelle.
    4,5 mois après, test sanguin en labo: aucun anticorps covid.
    C’est en écoutant le professeur Hector Carvallo, que j’ai acquis la certitude sur les effets positifs de l’IVM dès 2020, et avec l’aide d’une prescription de médecin dissident sur internet, qui précaunisait l’usage simultané de l’Azitro (Ce que je n’ai pas suivi) que je me suis sorti de mon covid en avril 2022.

    • J’ai aussi été surpris de n’avoir aucun anticorps 1 mois après ma guérison (IVM + AZT), le PCR d’origine étant déclaré positif (et j’avais les symptomes bien prononcés, j’avais été MALADE).
      Le toubib y perdait son latin.

      • Parce que vous avez cru que les tests PCR étaient fiables ?

        Pendant combien de semaines après le 21 mars 2020 ?

  35. Eh bien, tout y est, ni trop ni trop peu. Cela semble un argumentaire absolument sans faille qui devrait permettre à tout médecin de ressortir blanchi de tout tribunal.
    Et c’est un aide mémoire du bilan IVM AZT contre covid que l’on.peut utiliser auprès des sceptiques.
    Merci.

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