On parle de plus en plus de l’IA, Intelligence Artificielle, dans tous les domaines et en médecine. Je suis persuadé qu’elle aurait fait beaucoup mieux pour traiter cette épidémie. Pourtant je pense beaucoup de mal de cette IA, du moins dans sa définition et dans sa présentation.
Vive l’IA !
Nombre de sites vantent les mérites de cette IA, décrivant ses apports. Dans le monde du travail, « l’IA pourrait remplacer l’homme, réaliser des tâches pénibles, dangereuses, sans aucune contrainte physique… ». Un robot qui remplace l’homme, programmé par l’homme pour accomplir bêtement ces tâches, où est l’intelligence ?
Dans la vie quotidienne, « l’IA permettrait de réaliser les tâches ménagères, les courses, le jardinage,… » Si, si, ne riez pas, c’est écrit : le ménage est intelligent quand c’est vite et bien fait par une machine, pas par une femme de ménage.
Même chose dans les déplacements, avec « des véhicules pouvant se déplacer seuls à l’aide de caméras et capteurs ». Des véhicules intelligents ? Non. Programmés : oui. Rappelez-vous le premier accident Tesla à un rond-point, encombré : collision avec un bus qui a grillé la priorité. L’ordinateur n’avait pas imaginé que parfois les plus gros passent en force. Pour l’ordinateur, « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », et tout le monde respecte les mêmes règles que lui. Cette erreur de programmation a été corrigée par la suite, mais il y aura toujours des cas inattendus, avec des problèmes s’ils n’ont pas été prévus par le programmeur. La machine n’invente rien, et n’aura de solutions que si les pistes lui sont suggérées.
On vante également les prouesses de l’IA dans les jeux, avec des machines capables de battre par exemple les plus grands joueurs d’échecs au monde. En réalité, à chaque déplacement de pièce, la machine calcule les millions de coups possibles et joue des milliers de parties pour trouver la gagnante. Trop facile ! C’est du calcul tout bête qui ne relève pas de l’intelligence, et la puissance de calcul reste du calcul, ni bête ni intelligent.
Un problème de définition
Selon le Larousse, l’»Intelligence Artificielle », est « l’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence humaine ». Une théorie, une technique, est-ce de l’intelligence ? Ensuite, simuler au sens de copier ou imiter, est-ce de l’intelligence ? C’est le terme d’intelligence qui ne colle pas, il faudrait trouver autre chose.
L’« intelligence » artificielle n’est pour moi qu’une puissance de calcul phénoménale et de mémoire, au service de l’homme, exploitée par des programmes élaborés par l’homme. L’élève peut dépasser le maître en puissance, mais pas en intelligence, telle que je la conçois. Il ne pourra jamais aller au-delà de ce pourquoi il a été programmé. Il ne peut inventer, il peut trouver des solutions difficiles qui peuvent nous échapper, mais pas inventer, ce que seule l’intelligence humaine peut faire. Einstein disait fort justement : « Un jour, les ordinateurs sauront résoudre tous les problèmes, mais jamais ils ne sauront en poser un seul ». Je pense que, dans cette phrase, il a tout dit sur cette « intelligence artificielle ».
La différence entre ces machines et l’homme, c’est que, face à une situation totalement nouvelle, imprévue et impossible à prévoir, la machine sera perdue. L’homme quant à lui analysera et trouvera une solution s’il y en a une, en s’aidant éventuellement de cette « intelligence » artificielle, pour analyser, calculer plus vite. En revanche, s’il ne « nourrit » pas la machine, elle restera sans réponse. Est-ce cela l’intelligence (ou une de ses composantes) : être capable de s’adapter à une situation inédite ?
Des « machines » qui apprennent ?
Le précurseur de ces « machines intelligentes » a été John McCarthy. Il a présenté en 1956, un algorithme d’évaluation jouant un rôle majeur dans la programmation en intelligence artificielle, notamment utilisé par la grande majorité des programmes d’échecs.
Un bond en avant a été fait en 2010 avec les algorithmes dits d’apprentissage. Cet auto-apprentissage n’est en fait qu’un outil dans l’outil, permettant au programmateur de laisser l’ordinateur traiter des masses d’informations par corrélation et classification. Une fois de plus il ne découvre rien, mais travaille plus vite avec de nouvelles méthodes. C’est ce que font les plus gros ordinateurs au monde voués à la prévision météorologique, qui ne sera jamais une création, une « intelligence », mais une prévision basée sur les multiples enregistrements du passé, un calcul de probabilités, qui ne se révèlent pas toujours justes.
Si l’ordinateur se trompe, part sur une mauvaise voie dans son apprentissage non supervisé, l’homme sera-t-il capable de détecter l’erreur ? Les conséquences peuvent être graves. Dans le domaine militaire, on a créé des armes capables de décider si la cible était amie ou ennemie, de décider seul du danger, de l’urgence, pour un tir mortel. Espérons qu’il ne se trompera pas de cible, pardon : d’ennemi.
Des erreurs « artificielles » !
Il y a près de 2 ans, l’« intelligence artificielle » avait fait de belles démonstrations pour montrer ses limites. Au Royaume-Uni, David Knight, habitant de Dorking, a reçu une amende pour avoir emprunté une voie de bus, à 200 km de chez lui. Quand il reçoit la photo demandée, il découvre une femme marchant dans la voie de bus, portant un T-shirt avec la mention « KNITTER », que l’« intelligence artificielle » a traduit en « KN19TER, qui était l’immatriculation de la voiture de David Knight ! Si un policier, doté d’une intelligence non artificielle, même faible, avait regardé la photo, il n’aurait pas fait cette erreur.
Dans le même temps Facebook diffusait une vidéo d’une altercation entre Noirs et police, et sous la vidéo, l’algorithme qui a analysé les images, proposait aux utilisateurs de « voir plus de vidéos avec des primates : Oui – Non ?».
Ces deux bugs vous font sourire, imaginez qu’ils arrivent dans le domaine médical. Cela vous fera sans doute moins sourire.
Quand la santé devient algorithmique
L’« intelligence artificielle » dans la santé a vraiment démarré dans les années 90 avec le projet Watson d’IBM, programme informatique capable de répondre à des questions formulées en langage ordinaire, grâce à ses capacités d’apprentissage, une mémoire et une rapidité de calcul hors du commun. Le but : faire le diagnostic et proposer un traitement. Elle excelle aujourd’hui en radiologie. On lui fournit des milliers d’images, et dans une gigantesque masse de millions de données, elle va comparer ces images avec la nouvelle, pour émettre des hypothèses diagnostiques et thérapeutiques pertinentes. La nouvelle image analysée va ensuite alimenter son auto-apprentissage et augmenter sa base de données. L’auto-apprentissage n’est qu’une incorporation de données venant étoffer la base de données, pouvant ensuite affiner les nouvelles recherches. Nous restons dans la mémoire.
Cette aide au diagnostic est appelée « intelligence artificielle », alors que c’est l’analyse d’une banque de données, avec une proposition, qui fonctionne exactement comme la météo avec ses prévisions. Cette aide a aussi ses limites. Aujourd’hui, on arrive à nous signaler des « images fantômes » : l’ordinateur voit quelque chose, mais ne peut nous dire ce que c’est. Il se contente alors de dire de surveiller et de refaire l’examen quelques mois plus tard. Aucun tissu n’étant homogène, plus vous allez affiner la définition de l’image et son interprétation, plus vous allez décrire des images, dont certaines vont être explorées, biopsiées, sans raison. L’homme doit reprendre la main.
Autre problème : si l’auto-apprentissage dévie progressivement, imperceptiblement sur une mauvaise pente, l’homme qui n’a pas les mêmes capacités d’analyse de ces masses d’informations, sera-t-il capable de dépister ces bugs avant l’accident médical ? Certains pensent aussi que l’ » intelligence artificielle » pourrait corriger les erreurs humaines. Rappelez-vous ces erreurs en radiothérapie, avec patients sur-irradiés. Seul l’homme peut constater et corriger ses propres erreurs de programmation, l’ordinateur ne fera toujours que ce qu’on lui demande de faire ou de corriger.
Ces nouvelles technologies doivent se cantonner à assister les médecins, pas les remplacer comme le souhaitent et l’envisagent certains, qui y travaillent. On nous vante aussi beaucoup les prothèses et l’homme prothèse qui deviendra plus vieux avec. Les prothèses les plus sophistiquées, branchées aux nerfs, ne sont pas des « intelligences», mais des prouesses technologiques issues de l’intelligence humaine. Même chose pour les robots qui opèrent, pour les interventions à distance.
En tant que chirurgien, jamais, jamais je n’accepterai de me faire opérer par un robot non piloté par l’homme, aussi sophistiqué soit-il. Les robots utilisés par les chirurgiens ne sont pas des « intelligences artificielles », ce sont des machines que l’on pilote, tout comme on pilote un avion avec un joystick. Jamais il ne conduit seul ! Il peut encore moins décider, ce qui serait une première démarche d’« intelligence ». Certains peuvent opérer un œil, cela aura été programmé, comme un tour qui va usiner une pièce d’optique, piloté par un ordinateur.
Covid et IA :
Si nous avions interrogé ChatGPT au premier trimestre 2020, pour lui demander comment traiter l’épidémie de SARS-CoV-2, sa réponse aurait été une évidence. Il existait à l’époque quelques études en Chine sur l’hydroxychloroquine, ainsi que quelques études antérieures concernant une présomption d’efficacité sur les coronavirus. En 2005 des chercheurs américains avaient détecté un potentiel pour inhiber le coronavirus du SARS. En 2012 ce sont les chinois qui font les mêmes constatations avec le virus H5N1. Pour l’ivermectine il y a nombre de publications sur ses différents modes d’actions et ses succès sur des virus à ARN en médecine vétérinaire. Fort de ces études, seules disponibles à l’époque, en analysant tout ce qui existe, il aurait naturellement répondu prudemment que l’on pouvait essayer de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine, de la vitamine D en attendant la mise au point de vaccins, qui prendrait plusieurs années. Il ne pouvait à l’époque répondre autre chose, et l’évolution de l’épidémie aurait certainement été différente. En tous cas on aurait essayé de traiter, sur propositions, au lieu d’empêcher de traiter. Sur ce coup, l’IA aurait été plus intelligente que l’homme, ce qui n’est pas très reluisant, vu qu’elle n’est pas intelligente.
Alors l’IA, la panacée ? Pas sûr. Quand le vent tourne l’IA peut changer d’avis, telle une girouette ! En effet, si on lui pose la même question en 2023, son analyse de tout ce qui a été dit et publié sur le sujet le conduit au consensus : ne pas traiter. Il sera trompé par l’accumulation des discours officiels, par nombre de publications trafiquées, par l’omerta sur nombre de faits, par les journalistes qui ont peur de sortir du discours officiel, etc. Par son mode de fonctionnement, si tout le monde a tort, l’IA aura tort, car elle suit le consensus, et on voit que l’homme peut manipuler l’IA, ce qui ne marcherait pas si elle était un tant soit peu intelligente !
Une des composantes de l’intelligence doit aussi être le discernement et la critique dans le choix des sources, ce que n’a pas, loin de là, l’IA. Dans la covid elle peut être trompée par le discours officiel, s’il est plus dense que le discours scientifique. Cela va même plus loin, ainsi pour l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, l’IA devrait prendre la moyenne des études scientifiques, qui est favorable. Au lieu de cela, sa position, du fait de ce manque de discernement, d’esprit critique sera polluée par l’importance du discours politique ou les manipulations humaines, qui vont l’abuser. Dans ce manque de discernement, il y a le choix des sources. Quand un lecteur s’est amusé, il y a peu, de demander la liste des anciens présidents de la Caisse de retraite des médecins, le résultat est édifiant. Tous les noms cités, même quand on lui fait remarquer qu’il y a une erreur, sont inventés, aucune de ces personnes n’ayant mis les pieds dans la caisse. On peut constater que quand ChatGPT ne trouve pas l’info à la source (le site Carmf ne donne pas cette info), il est capable d’inventer une réponse, 200% fausse ! La réponse n’est que pure invention que tout le monde va prendre demain pour argent comptant. Imaginez ce que cela peut donner dans des domaines sensibles comme la médecine.
Toujours dans ce discernement, et dans le prolongement de la confusion entre singe et humain noir, on apprend dans un article très récent, que si l’IA peut faire rapidement un diagnostic en dermatologie, facile en comparant les images qui lui sont fournies, comme pour la radiologie, elle est incapable de poser le bon diagnostic sur peau noire ! Si elle n’a pas l’intelligence de constater qu’il ne faut pas tenir compte du fond de l’image, elle aura besoin de l’homme et de son intelligence pour corriger ce « bug », le premier programmeur ayant manqué de cette intelligence. Il faudra lui fournir une banque de données sur fond blanc et une autre sur fond noir, sinon l’IA devient ce qu’elle est à la base : bête. Cela montre une faille importante : saura-t-elle demain faire la part des choses et répondre intelligemment en fonction de la couleur de peau, plus ou moins foncée ? On peut penser que pour les albinos, c’est sans espoir. Il faudra qu’ils s’adressent à un dermatologue, qui saura faire preuve d’une intelligence que l’IA ne peut avoir : remettre les choses dans leur contexte, l’IA étant incapable d’interpréter avec des critères inexistants dans son programme ou insuffisamment définis.
Alors intelligence artificielle ou bêtise artificielle ? Je pencherai plutôt vers la seconde affirmation, même si je pense qu’avec cette IA, la gestion du covid au tout début aurait pu être différente. Amusante réflexion d’un des chantres de l’IA, mon confrère urologue Laurent Alexandre, qui ne jure que par elle. Dans une de ses interventions, j’ai trouvé ceci : « L’IA est incapable d’avoir un esprit critique et du bon sens ». Eh bien oui ! Je suis d’accord avec lui, même si lui n’est pas d’accord avec lui-même. Intelligence sans esprit critique et sans bon sens, est-ce compatible ? Cessons de baptiser « intelligence » ce qui n’est que mémoire et puissance de calcul. Cet abus de langage conduira ceux qui pensent qu’elle est plus intelligente que l’homme à de graves erreurs, en espérant qu’ils ne nous entraînent pas dans leurs délires.
L’IA a probablement sauvé des vies durant la pandémie dans les bidonvilles de Bombay. On a demandé une modélisation des lieux où les clusters étaient les plus plus plausibles et on a fait les campagnes de dépistage sur cette base. Et les nombres de cas et de décès sont ridiculement bas pour une population d’environ un million.
Oui merci ! Dr Maudrux, pour votre argumentation, pour ma part je ne suis même pas sûr qu’en interrogeant l’IA début 2020 on aurait eu la bonne réponse de tenter de traiter avec HCQ, IVM, VitD. Les données disponibles étaient elles rentrées ?
Je vous rejoins tout à fait dans vos propos. Le chat GPT est surtout un beau parleur qui affirme avec beaucoup d’aplomb des erreurs ! Je vous joins ma première discussion (et la dernière!) que j’ai eu avec « chat GPT » (J’ai une formation en ingénierie mécanique). -MOI
Le mauvais rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation, influence-t-il l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur ?
-IA
Le rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation peut influencer l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur, mais pas directement.
L’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur est la somme de toutes les inerties des éléments en rotation connectés à l’arbre moteur, ramenées à l’arbre moteur lui-même. Elle est souvent utilisée pour déterminer la réponse dynamique d’un système à un changement de vitesse ou de charge.
Le rendement du mécanisme de réduction de vitesse de rotation peut influencer l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur indirectement, en modifiant la configuration du système. Par exemple, si le mécanisme de réduction de vitesse de rotation est inefficace et que la charge à l’arbre moteur est plus importante que prévu, il est possible que d’autres éléments soient ajoutés à l’arbre moteur pour compenser la charge supplémentaire. Cela pourrait augmenter l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur.
Cependant, il est important de noter que le rendement du mécanisme de réduction de vitesse de rotation n’a pas d’effet direct sur l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur. Cela dit, un mauvais rendement peut causer d’autres problèmes, tels que la surchauffe ou la défaillance du mécanisme, qui pourraient à leur tour affecter l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur.
-MOI
Tu te trompe ! Le rendement apparait dans le rapport de transmission au carré.
-IA
Vous avez raison, je m’excuse pour la confusion dans ma réponse précédente. Le rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation est effectivement un facteur important pour déterminer l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur, car il apparaît dans le calcul du rapport de transmission au carré.
Le rapport de transmission est le rapport de la vitesse de sortie à la vitesse d’entrée du mécanisme de réduction de vitesse. L’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur est alors calculée en multipliant l’inertie de chaque élément en rotation par le carré du rapport de transmission, puis en sommant ces inerties équivalentes. Ainsi, un rendement plus faible signifie que le rapport de transmission sera plus grand, ce qui augmentera l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur.
En résumé, le rendement du mécanisme de réduction de vitesse de rotation a une influence directe sur l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur, car il apparaît dans le calcul du rapport de transmission au carré. Un rendement plus faible entraînera un rapport de transmission plus grand, ce qui augmentera l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur.
-MOI
Tu te trompe encore !!! Un mauvais rendement ne modifie pas le rapport de transmission, mais modifie les efforts transmis entre l’entrée et la sortie du mécanisme.
-IA
Je vous présente mes excuses pour cette erreur dans ma réponse précédente. Vous avez raison, le rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation affecte les efforts transmis entre l’entrée et la sortie du mécanisme, mais il ne modifie pas le rapport de transmission.
Le rapport de transmission est défini comme le rapport de la vitesse de sortie à la vitesse d’entrée du mécanisme de réduction de vitesse. Ce rapport est fixe et dépend uniquement de la géométrie du mécanisme. Par conséquent, un mauvais rendement n’affectera pas le rapport de transmission.
Cependant, un mauvais rendement peut entraîner une augmentation des pertes mécaniques et thermiques dans le mécanisme, ce qui réduit la quantité d’énergie transmise de l’entrée à la sortie du mécanisme. Cette perte d’énergie peut entraîner une augmentation de l’effort nécessaire pour faire tourner la sortie du mécanisme à une vitesse donnée, ce qui peut affecter les efforts transmis entre l’entrée et la sortie du mécanisme.
En fin de compte, il est important de noter que le rendement du mécanisme de réduction de vitesse de rotation n’affecte pas directement le rapport de transmission, mais peut affecter les efforts transmis entre l’entrée et la sortie du mécanisme en raison des pertes mécaniques et thermiques.
-MOI
Tu n’a toujours pas répondu à ma question, beau parleur. Comment intervient le rendement sur l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur dans un mécanisme réducteur de vitesse de rotation.
-IA
Je suis désolé de ne pas avoir répondu directement à votre question précédente. Pour répondre à votre question, le rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation a un effet sur l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur, car il modifie la quantité d’énergie nécessaire pour faire tourner la sortie du mécanisme à une vitesse donnée.
L’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur est déterminée en multipliant l’inertie de chaque élément en rotation par le carré du rapport de transmission. Le rapport de transmission est le rapport de la vitesse de sortie à la vitesse d’entrée du mécanisme de réduction de vitesse. Si le rendement du mécanisme de réduction de vitesse est faible, cela signifie que l’efficacité du transfert d’énergie est faible et qu’une quantité importante d’énergie est perdue sous forme de chaleur ou de bruit.
Ainsi, pour obtenir la même sortie de puissance avec un mécanisme de réduction de vitesse de rotation moins efficace, plus d’énergie est nécessaire à l’entrée du mécanisme, ce qui signifie que plus d’énergie est stockée sous forme d’inertie dans chaque élément en rotation. Par conséquent, l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur sera plus importante avec un mécanisme de réduction de vitesse de rotation moins efficace.
En conclusion, le rendement d’un mécanisme de réduction de vitesse de rotation affecte la quantité d’énergie nécessaire pour faire tourner la sortie du mécanisme à une vitesse donnée, ce qui se traduit par une augmentation de l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur avec un rendement plus faible.
-MOI
Je suis d’accord. As-tu une relation avec les paramètres suivants, le rendement f, le rapport de transmission r, l’inertie en entrée Ie, l’inertie en sortie Is .
-IA
Oui, il existe une relation entre le rendement f, le rapport de transmission r, l’inertie en entrée Ie, l’inertie en sortie Is et l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur Je.
L’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur Je est donnée par la formule suivante :
Je = Ie + (Is / r^2)
où Ie est l’inertie en entrée, Is est l’inertie en sortie et r est le rapport de transmission.
Le rendement f est défini comme le rapport de la puissance de sortie Ps à la puissance d’entrée Pe, et est donné par la formule suivante :
f = Ps / Pe
En général, la puissance de sortie Ps est inférieure à la puissance d’entrée Pe en raison des pertes mécaniques et thermiques dans le mécanisme. Ces pertes sont principalement causées par les frottements et les déformations élastiques dans les éléments du mécanisme.
La puissance de sortie Ps peut être calculée en utilisant la formule suivante :
Ps = Pe x f
En utilisant ces formules, nous pouvons écrire l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur Je en fonction du rendement f, du rapport de transmission r, de l’inertie en entrée Ie et de l’inertie en sortie Is :
Je = Ie + (Is / r^2) = Ie + (Ps / (Pe x r^2)) x Is
En conclusion, le rendement f, le rapport de transmission r, l’inertie en entrée Ie et l’inertie en sortie Is sont tous des paramètres qui ont une influence sur l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur Je.
-MOI
Tu me donne la formule suivante Je = Ie + (Is / r^2), mais elle est fausse car elle ne fait pas intervenir le rendement f du mécanisme. Je te propose donc la formule suivante Je = Ie + (Is /( f . r^2))
-IA
Vous avez tout à fait raison. Je m’excuse pour l’erreur dans ma réponse précédente. La formule correcte pour l’inertie équivalente ramenée à l’arbre moteur Je en prenant en compte le rendement f, le rapport de transmission r, l’inertie en entrée Ie et l’inertie en sortie Is est :
Je = Ie + (Is / (f x r^2))
Cette formule prend en compte l’effet du rendement f du mécanisme de réduction de vitesse de rotation sur l’inertie équivalente Je. Un rendement plus faible signifie qu’une plus grande quantité d’énergie est dissipée sous forme de chaleur et de bruit, ce qui nécessite une plus grande puissance d’entrée Pe pour obtenir la même puissance de sortie Ps. Cela se traduit par une augmentation de l’inertie équivalente Je de l’ensemble du système.
Je vous remercie de m’avoir corrigé et j’espère que ma réponse est plus claire maintenant.
-MOI
Absolument. Tu m’as montré à quel point l’intelligence artificielle a ses limites !
-IA
Je suis heureux d’avoir pu vous aider et de vous montrer comment les intelligences artificielles peuvent aussi commettre des erreurs. C’est pourquoi il est important de vérifier les résultats obtenus par une IA avec des connaissances et une expertise humaines, afin d’éviter de prendre des décisions erronées ou de propager des informations inexactes.
Autres questions !!!
-MOI
Quel est le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale ?
-IA
Une liaison hélicoïdale est une liaison mécanique qui transmet des efforts de rotation et de translation axiale entre deux axes non parallèles. Le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale dépend de la configuration spécifique de la liaison, mais en général, il comprend des efforts de torsion (couple) et des efforts de poussée axiale (force).
Le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale peut être exprimé sous forme matricielle, en utilisant la notation standard de la mécanique des solides. Par exemple, pour une liaison hélicoïdale droite, le torseur peut être écrit comme :
[T] = [R, P
0, 0, T
0, -T, 0]
Où R représente le moment de rotation autour de l’axe de la liaison, P représente l’effort axial, et T représente le moment de torsion (couple). Les valeurs en gras représentent les composantes du torseur.
Il est important de noter que le torseur des efforts transmissibles dépend également de la position relative des axes de la liaison hélicoïdale, ainsi que des caractéristiques géométriques de la liaison, telles que le pas hélicoïdal et le diamètre des axes.
-MOI
Tu te trompes ! Le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale, exprimé sous forme matricielle fait apparaitre des inconnues d’efforts dans toutes les directions.
-IA
Je m’excuse pour l’erreur dans ma réponse précédente. En effet, le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale comprend des inconnues d’efforts dans toutes les directions, et pas seulement des efforts de torsion et de poussée axiale.
Le torseur des efforts transmissibles dans une liaison hélicoïdale peut être exprimé sous forme matricielle, en utilisant la notation standard de la mécanique des solides. Pour une liaison hélicoïdale droite, le torseur peut être écrit comme :
[T] = [R1, R2, P
F1, F2, T
M1, M2, 0]
Où R1 et R2 représentent les moments de rotation autour de l’axe de la liaison dans deux directions perpendiculaires, F1 et F2 représentent les forces dans deux directions perpendiculaires au plan normal à l’axe de la liaison, P représente l’effort axial, T représente le moment de torsion (couple), et M1 et M2 représentent des moments fléchissants dans deux directions perpendiculaires au plan normal à l’axe de la liaison.
Il est important de noter que les composantes du torseur des efforts transmissibles dépendent de la position relative des axes de la liaison hélicoïdale, ainsi que des caractéristiques géométriques de la liaison, telles que le pas hélicoïdal et le diamètre des axes.
-MOI
Tu te trompes ! Le diamètre des axes intervient dans le calcul de leur dimensionnement en fonction du matériau utilisé mais pas dans la détermination des efforts transmissibles.
-IA
Vous avez raison, je m’excuse pour la confusion dans ma réponse précédente. Le diamètre des axes dans une liaison hélicoïdale est utilisé pour déterminer leur dimensionnement en fonction du matériau utilisé, mais il n’intervient pas directement dans le calcul du torseur des efforts transmissibles.
Toujours aussi intéressant et un grand merci pour tout ce que vous avez su transmettre dans l’intérêt du bien commun
Vous avez la complétude que n’a pas l’IA, c’est évident
Très bon article, comme d’habitude…
Par contre, concernant les humains qui programment les ordinateurs, on ne dit pas « programmateurs » mais « programmeurs »…(Certes, cela ne change rien au Rapport entre l’Homme et de la Machine : on est d’accord que celle-ci ne supplantera jamais celui-ci…Car l’Imagination au Pouvoir appartient à l’Homme !)
Vous avez parfaitement raison, je corrige.
Intelligence « artificielle », intelligence « naturelle » quelle différence? La première est au service de son concepteur qui défini son champ de sensibilité (du texte et des images pour ChatGPT) suivi d’un traitement algorithmique. La seconde est au service du maintien de la vie de l’organisme vivant dans laquelle elle est incarnée, avec un éventail de capteurs sensoriels tournés vers l’extérieur vue, ouï, toucher, olfaction, gustation, mais aussi vers l’intérieur via des capteurs de contrainte de nos appareils locomoteurs, et une batterie de capteurs chimiques et physique pour la régulation de l’homéostasie et des pressions hydrauliques à l’origine des besoins ressentis comme faim, soif, élimination urinaire, fécale reproduction etc.. Cette intelligence existe sous forme simple et implicite au niveau de la vie bactérienne, pour aboutir à intelligence explicite et l’émergence de la conscience du moi incarné, ici et maintenant pour les organismes complexes dont l’homme. L’objectif de cette intelligence devenue auto consciente est de développer des stratégies de plus en plus complexes pour rester en vie. Et pour les urologues dont je suis un passage sur la crise d’homéostasie lorsque l’organisme s’aperçoit qu’il ne peut plus uriner !
Antonio Damasio chercheur en neuroscience a publié mai 2021 Sentir et savoir nouvelle théorie de la conscience avec un chapitre sur machines sensibles et les machines conscientes chez Odile Jacob
Pour ceux qui seraient intéressés, une conférence de Luc Julia intitulée « L’intelligence artificielle n’existe pas ».
https://www.youtube.com/watch?v=yuDBSbng_8o
Pour résumer, le type met une heure pour faire le tour de qqch qui n’existe pas.
Il est ‘ach’ment doué ! ?
qui sont ces apprentis sorciers oeuvrant sur l’intelligence artificielle? Je milite inlassablement pour l’Humain..pour rester dans les limites de l’Humain..Pour qui se prennent-ils ces psychopathes ? Nous avons encore tout à apprendre pour le « vivre ensemble », oui, tout…partager, tout partager…qui sont-ils ces gens qui deviennent des espions, des membres des services de renseignements, ces névropathes tendant à penser encore qu’il existe des êtres meileurs, plus intelligents.. Eh bien que ceux qui pensent cela apprennent d’abord à se mettre au service des autres, humblement, sagement, plutôt qu’à chercher à dominer..
L’IA, la mal nommée, a été crée par l’homme comme un ensemble de toutes les connaissances humaines à un moment donné. Elle n’a rien d’intelligent. Elle est dépourvue d’intuition, d’imagination, de pensée divergente, qualités qui définissent l’intelligence. Elle n’a aucun affect, donc aucune empathie ni sensibilité. Elle ne connaît que ce que les humains lui ont appris, et les humains sont loin d’être omniscients. C’est avant tout une création humaine, un outil très performant qu’il est intéressant d’interroger certes , comme autrefois on ouvrait une encyclopédie. En aucun cas elle ne pourra surpasser ou même remplacer son créateur.
Cher confrère
émission cette après midi sur France Culture écoutée par hasard. Exemple de l’IA appliquée au jeu de GO. Machine développée par apprentissage de parties et exploitation des capacités de mémoire, capable de battre les meilleurs joueurs de go. Ca c’est ce que vous décrivez. Ensuite autre système développé programmée pour jouer au GO (les règles du jeu) et ensuite auto-apprentissage non pas en regardant des parties mais en jouant contre le même système. Au fur et à mesure elle « découvre » les combinaisons qui marchent et permettent de gagner. Au point que ce système est capable de battre le premier basé sur la mémorisation et la puissance de calcul. Votre vision de l’IA va peut être devenir, en partie obsolète, c’est à dire qu’elle est juste actuellement mais il ne faut pas être trop sur que l’avenir est écrit.
S’il vous plaît : Laurent Alexandre, malgré son insondable bêtise, s’est faufilé dans les médias et les conversations. Ne plus le citer, ne plus l’inviter, le faire disparaître de l’espace public et le faire retourner à son néant seraient une bonne chose. Il doit bien exister un meilleur sire pour parler d’IA. Afin d’éclairer le personnage, lire l’article suivant sur les accablants écrits porno-racistes du personnage et rappeler ses écrits nauséabonds chaque fois que l’ombre du personnage se profile sur un plateau médiatique. il finira bien par disparaître, c’est pas possible ! Après lecture de l’article et des écrits de ce QI/HP ++++++, les « renflements bruns » d’autres sinistres « experts » vous paraîtront bien anodins par comparaison.
https://www.cairn.info/publications-de-Ga%C3%AFa-Lassaube–696088.htm
Perso, en tant que président de la Carmf, j’ai eu l’impression de m’être fait rouler. La Carmf avait participé à son premier FCPR avec la Banque Lazard. Le but était d’investir dans plusieurs petites entreprises, pour les aider à se développer ou se renflouer, pour revendre notre participation avec bénéfice une fois la société sur de bon rails. Parmi ces sociétés, nous avions aidé Medcost, création de L Alexandre. Après quelques années il a pu racheter Doctissimo, 20 M€, qu’il a revendu ensuite pour 138 M€. J’ai demandé à nos services financiers quels bénéfices nous avions fait, pour apprendre qu’il avait repris ses parts avant de revendre. Ceux qui l’on aidé, ses confrères, n’ont donc pas été remerciés par ces opérations.
Nous avons une valeur infinie. Céder La Défense de notre auto- gouvernance et donc de notre liberté à un autre est une invitation absolue à l’acceptation de notre destruction . La culture, la loi et la violence sont les trois outils utilisés par les parasites spoliateurs de nos vies. Le but de tout gouvernement est l’asservissement . Le but de tous les peuples est la liberté. Lorsque nous disons ce que nous pensons et que nous refusons de nous offenser lorsque les autres font la même chose, la culture asservissante ne peut survivre. Prenons l’exemple » de l’anarchie : qu’en dit la culture?: chaos, désordre, violences des peuples non- gouvernés. La vraie définition : l’anarchie n’existe pas ; il n’existe que la tyrannie . Arrogance: la croyance insensée que vous êtes d’une grande valeur . La vraie définition : le début de la compréhension de votre valeur infinie. Corruption : un abus vis-à-vis de la loi. La vraie définition: la loi . Crime: destruction violente . La vraie définition : désobéissance à la loi. Culture: Flux naturel du comportement humain La vraie définition: L’agent d’exécution de l’autorité Foi : confiance en un concept . La vraie définition: Courage de tester les principes. Folie: incapacité de percevoir la réalité. La vraie définition: obéissance aveugle. Loi: autorité légitime . La vraie définition: une arme du mal , une légitimité artificielle. Gouvernement : institution nécessaire pour maintenir la paix entre les gens . La vraie définition : extorsion institutionnalisée. ….. « Les lois sont toujours à l’avantage de ceux qui les édictent au détriment de ceux qui les acceptent sans conditions ce qui de facto place les hommes sous conditions . Liberté : selon la culture : un ensemble de droits délimités. « La vraie définition : La valeur infinie de l’être humain » « La liberté parfaite, c’est la vie, et en elle il n’y a pas d’esclaves ni de maîtres d’esclaves . La liberté parfaite est la vie. »extraits de La Fin du Mal de Jeremy Locke.
L’intelligence artificielle ne connait que la santé artificielle.
Or, la santé n’est pas quelque chose de rationnel, elle englobe toutes les composantes de l’humain et même au delà.
Cela signifie à mon avis que la prolifération de l’IA dans le domaine de la santé va dégrader la santé des gens, insidieusement, lentement et sans que personne ne s’en aperçoive à temps, encore moins l’IA.
Pour donner une première idée de ce que je viens de dire ci-dessus mais qu’il faudrait développer plus en profondeur.
Dans la covid, la stupidité malfaisante des zélites n’a pas seulement causé des dégâts à cause de mauvaises décisions pour la santé (entre autres) des gens, elle a aussi causé des dégâts par le fait de la stupidité malfaisante en tant que telle.
Les gens souffrent et tombent malades de la malveillance et même de la bêtise qui entraine une perte de sens.
On peut ricaner des processions religieuses de l’ancien temps pour les épidémies mais cela donnait du sens et donc de la santé.
Maintenant imaginez ce que donne une IA froide et inhumaine (par définition) sur la santé. Le même effet qu’un technocrate mais puissance 1000.
L’intelligence artificielle est un double mensonge, ni intelligence, ni artifice. On met des données, trafiquées plus ou moins, du moins sélectionnées, des règles, pouvant utiliser des éléments divers et évoluer, apprendre si on veut. Mais ça n’a rien à voir avec l’intelligence humaine. Ça peut simuler, comme certains dirigeants simulent des êtres humains.
Le Robert consulté sur le net à l’instant donne 2 définitions de l’artifice qui s’appliquent toutes les deux à l’IA :
1. Moyen habile, ingénieux (art,). Un artifice de calcul.
2. Moyen habile pour déguiser la vérité.
Je vois au moins deux dangers avec l’IA :
– Le pouvoir qu’on lui donne.
– La simulation par l’IA de l’intelligence humaine qui induit dans un deuxième temps une conformation de l’intelligence humaine à l’IA, ce qui lui fait perdre encore un peu plus ses capacités d’intuition ou même de connexion à la transcendance qui serait la forme la plus achevée de l’intuition.
Bien d’accord avec vous.
Vous mettez l’IA à la place d’Ulysse, et les Grecs se demandent toujours comment entrer dans Troie.
L’intelligence artificielle ne connait que la santé artificielle
.BRAVO !!
Excellente analyse
Laurent ALEXANDRE Le trans-humaniste fondateur de doctissimo, le chantre darwinien, du déterminisme et de la sélection génétique, convaincu que la nature élimine les plus faibles, que l’homme qui vivra mille ans est déjà né, puisque « sa » science donnerait et donnera à l’homme le pouvoir d’un dieu qui va remodeler l’univers. Waooouuu ! Rien que ça ! Faut dire aussi que pour lui, nous ne sommes nous, les petits, les sans dents, ceux qui ne sont rien, que des inutiles !
Rien sur Google Scholar ! Sans doute qu’il ne souhaite pas rendre visible à tous son palmarès.
En passant par Clarivate (qui permet de suivre des chercheurs, même si ceux-ci ne le présentent pas aux internautes).
C = 1429 citations pour P = 65 publications sur la période 1988-2020 (n=32)
Indice de Hirsch h = 25. Taux de citation moyen par publication C/P = 22
Indice de Mock hm = 32
Indice d’excellence m = 25/32 = 0.78
Pour ceux qui ignorent comment ça marche…
Un chercheur qui a eu une activité scientifique normale aura m ≈ 1.
Les chercheurs ayant 1.0 ≤ m < 2.0 ont une activité au-dessus de la moyenne.
Un chercheur est dans l’excellence dès que 2.0 ≤ m < 3.0.
Au-delà de m = 3.0, il s’agit à coup sûr de personnalités tout à fait exceptionnelles.
O,78 si c'était un tout jeune chercheur, mais vu son âge c'est sans appel ! Il n'a rien à dire, mais il tient à le dire le plus longtemps possible !
Qu'il continue ses émissions ! Oui ça s'entend aussi comme ça : flatulences !
En ce temps-là dans les Cinque Terre, Lucio habitait Monterosso. Il se rendait toutes les semaines à Riomaggiore en prenant le petit train. Il était simplet depuis son enfance, on lui pardonnait tout, il faisait souvent rire. Il ne payait jamais son billet. Il s’asseyait parmi d’autres sur le dernier wagon qui était une plate-forme de planches de bois de transport de marchandises, qui grinçait à chaque virage, les pieds en dehors. Le sourire béat il contemplait le paysage qui défilait, quand soudain sa chaussure gauche tombe le long de la voie, au bord des rails.
Ses acolytes l’entendirent lancer des insultes au vent avant de partir la bouche édentée dans un fou rire, se défaire la chaussure droite et la jeter sur la voie.
Un des compagnons, les yeux comme des œufs durs, le doit vrillé sur la tempe, lui dit :
– Oh, Lucio, tu te sens bien ? Pourquoi as-tu fait ça ?
– à part boiter, que peut-on faire avec une seule chaussure ? Autant que celui qui trouve la chaussure gauche, ait aussi la droite, non ?
Parce que ceux qui pensent marcher droit, boitent bien souvent des deux pieds ! Enfin, c’est souvent ce que disent des savants illettrés qui ne sont nullement effrayés de tomber dans le simplisme, avec leur logique de la bonté. Chez eux, mieux vaut être de ceux qui laissent une trace, que de laisser une cicatrice.
Puisque tout le monde en parlait, j’avais trouvé amusant, en février dernier, d’engager une petite conversation avec ChatGPT sur son site officiel. Plutôt intéressant… L’IA a mélangé fuseaux horaires et « fusibles horribles ». Ah, ces Américains!
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Voici le lien si cela vous intéresse :
https://www.transfernow.net/dl/20230711bMTMn1Hl
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Qu’est-ce qui caractérise l’urologue Gérard Maudrux au détriment de l’urologue Laurent Alexandre qui est entré en marécage comme on entre en religion, mais dont la future progression méritera notre attention . a) l’intelligence équilibrée entre cerveau droit et gauche. b) la conscience c) l’éthique d) le courage e) la recherche de la vérité. Merci Épée d’or . Pour rappeler notre culture chrétienne : pour saluer l’Etre nouveau Balthazar apporta l’or , Melchior l’encens, Kaspar ( Caspar, Gaspard selon certains ? ) la myrrhe qui correspondent dans l’ordre : à la meilleure pensée, la meilleure parole , la meilleure volonté.
Avant de remplacer les chirurgiens par des robots guidés par l’IA, je propose de procéder à une petite expérience préalable :
Remplacer Macron par une IA qui, chaque matin, donnerait sa feuille de route à chacun des ministres.
En attendant, bien-sûr, de remplacer les ministres eux-mêmes…
Ce n’est qu’en cas de succès incontestable, qui se traduirait par :
arrêt du « en même temps »
arrêt de l’immigration
frexit
sortie de l’Otan
arrêt des fournitures de guerre à l’Ukraine
…
qu’on pourrait appliquer l’IA à la chirurgie, et à la médecine en général.
Trop intelligent!!
Bravo pour cet article, tout est bien vu et bien expliqué.
L’IA peut éventuellement suppléer la raison, encore que le choix des données pour alimenter la machine soit primordial, et puisse être biaisé par l’opérateur humain.
En supposant que cet opérateur soit absolument neutre, et que toutes les données disponibles dans toutes les langues sur un sujet donné soient utilisées pour alimenter la machine, encore faudrait-il les pondérer les unes par rapport aux autres, en rapport avec le degré de confiance à accorder aux sources.
Ce qui est évidemment impossible.
Chez l’homme, s’il y a – du moins on l’espère – la raison, il y a aussi l’émotion, qui joue un rôle aussi important, et peut-être plus important, que la raison.
De l’émotion découle en particulier l’idéologie.
Et voyez ce que l’idéologie peut faire ! Elle guide le monde, on en voit la démonstration partout, ne serait-ce que dans nos rues récemment…
La raison est basée sur l’expérience, sur des données objectives.
Un bébé n’a pas de raison.
Par contre il a déjà des émotions.
L’émotion, sur quoi s’appuie-t-elle ?
Sans doute sur des ressentis dans la petite enfance, peut-être même dans le ventre de sa mère ?
Tout cela est évidemment inaccessible à l’IA par manque de données.
Mais l’émotion est-elle utile, n’est-elle pas plutôt nuisible ?
Un homme doué de raison, et totalement dépourvu d’émotions, serait-il viable?
En particulier, pourrait-il être heureux (de vivre) ?
Grande question à laquelle la philosophie n’a pas vraiment donné de réponse, du moins à ma connaissance.
Par ailleurs, dans un commentaire, quelqu’un dit justement qu’Intelligence, en anglais, devrait être traduit par Renseignement.
Intelligence se traduit en anglais par cleverness ou smartness, quoique le mot Intelligence soit quelques fois utilisé dans le même sens qu’en français.
Ainsi, l’ « Intelligence Service » british n’a rien à voir avec notre intelligence, mais seulement avec le renseignement.
Quelle traduction pour AI ? Il me semble que Machine expert serait la meilleure.
Encore une fois vous tapez juste Docteur Maudrux.
Je me demande ce que ChatGPT aurait analysé et conclu au sujet de la disparition de ce pauvre bambin à Vernet dans les alpes de haute Provence ces jours ci, le personnels chargés de la recherche ont mis plus de 3 jours pour conclure que l’enfant avait peut-être et renversé par un véhicule et que l’auteur ait dissimulé cet accident en emportant le corps : Des recherches tous Azimuth pour en arriver là alors que dès le départ, les chiens pisteurs ( des Saint Hubert les meilleurs) ont perdu sa trace au milieu de la chaussée, dès le débute des recherches; Les Chiens n’ont pas d’IA à leur disposition mais un flair qui ne trompe pas, la conclusion aurait dû être immédiate et les recherches se concentrer sur les véhicules circulant sur le secteur. Ayant mois-même participé à des recherches pour un jeune enfant disparu il y a longtemps; le chien de recherche avait réussi plusieurs heures après, sous la pluie ( les molécules d’odeur flottent dans l’air) à mener à un lac artificiel au bords boueux et le maître chien avait conclu que l’enfant était dans cet eau boueuse que les plongeurs ont
fouillé pendant des heures sans succès et qu’il remonterait à la surface dans 48 heures … ce qui s’est produit.
Le bon sens de l’homme a fait défaut, l’IA aurait-elle fait mieux plus rapidement ?
Complètement d’accord @inox,, ce manque de décision de la part des « autorités » est lamentable, entre autre…bouleversant !
Encore un très bon article qui valide le constat de Jean Baudrillard :
« La tristesse de l’intelligence artificielle est qu’elle est sans artifice, donc sans intelligence ».
Merci pour ce billet intelligent et critique.
Bruno Ravet Grenoble
Les voitures Tesla sont-elles intelligentes ?
À en croire cet article, rien n’est moins sûr !
https://www.capital.fr/auto/la-video-choc-dune-tesla-en-autopilote-qui-sencastre-dans-un-camion-1371610
Cela date de juin 2020. Souhaitons que depuis lors, les algorithmes auront été améliorés.
Mais quand seront-ils réellement performants ?
Quant à votre refus, Docteur, de vous faire opérer par un robot non dirigé par l’homme, pensez-vous qu’il soit prévu de nous demander notre avis ? « Ooouuups, c’est ballot, il est déjà endormi ! On ne va pas le réveiller pour un détail » ?
Très très bonne analyse qui devrait décevoir les tenants de cette IA qui n’est en fait que de la robotisation sophistiquée. Le plus grave est que nombre de jeunes médecins se mettent au diapason de ces machines et considèrent leurs patients comme des objets manipulables qui n’ont pas droit à la réflexion. Ils n’écoutent plus les personnes qui les consultent, ne les examinent plus, imbus de l’enseignement reçu qui leur inculque la supériorité des algorythmes sur leur propre réflexion et de facto sur celle de leurs patients devenus des nombres. Impossible de réfléchir par eux-mêmes ils deviennent les sous-robots des robots. Les larmes ne couleront que du côté des patients.
L’IA a t’elle reconnu que certains urologues se nourrissent de chapeaux en nylon ?
Remarquable analyse du phénomène IA, et de ses conséquences. Bien que ce ne soit en rien de mon domaine de compétence; j’ai pu constaté les effets de ces imageries robotisées, et mal interprétées ou non interprétables, je vous en avais parlé, et vous aviez raison !
Par ailleurs la prothèse ne remplacera à mon sens jamais l’organe , l’auto adaptabilité sera toujours limitée par rapport à celle de l;homme.
Il se trouve que les models intelligents mis en place dans de nombreux domaines, aviation, aéronautique, pilotage automatique, gps, sont susceptibles d’erreurs qq fois aux conséquences dramatiques si le pilote , si l’humain ne sait pas réagir, et faire preuve d’intelligence, d’adaptabilité… en imagerie médicale dito, en conception assistée pareil, leurs conséquences sont désastreuses dans le domaines de la création, incapable de proposer, de gérer l,ensemble des paramètres de variables formelles incapables de sensibilité, de conceptualisation originale, mais ca par contre ca calcule vite et dessine froidement en 3D des images, sans plus… les opérateurs ne servent plus à rien , voire plus à grand chose.
l,IA,un outil performant , trés utile, une aide à la décision importante, mais sans doute pas davantage ???
Pas plus que pour la mécanisation qui s’est substituée aux ouvriers et à leur force de travail, les décideurs renonceront à l’IA qui cette fois ci va se substituer aux métiers de la matière grise.
L’équation est/sera de ramasser les dividendes inhérents à ces automatisations et d’en faire payer les inconvénients à d’autres.
Dans tous les domaines où l’IA sera déployée, il sera opportun ,que par la loi, soient exposées ses « tables de la loi », c’est à dire les principes qui guident les décisions automatisées.
bien sur @elektra c’est l’objectif, et à marche forcée et quoi qu’ il en coûte !
Très bonne mise au point, merci. De plus, actuellement est médiatisée toutes IA qui représentent au mieux les capacités cognitives de l’humain, mais il est surement déjà étudié, voire conçu des IA menteuses, ou manipulatrices, ou racistes, ou … ; ce ne sont que des programmes ( des 0 et des 1 ) organisés par un « programmateur » ( j aime bien le terme ) !
Excellent article, c’est ce que je pense depuis longtemps. En fait, « Intelligence artificielle » n’est rien d’autre qu’un nouveau nom pour « informatique ».
Ses prouesses actuelles ne sont dues qu’à l’augmentation des capacités de calcul des processeurs et à l’accès très rapide à d’immenses bases de données.
Un excellent outil à contrôler par une vraie intelligence.
Sinon ne pas oublier que le cerveau d’un ordinateur n’est que du minéral figé, souvent prévu pour une fonction (processeurs dédiés), c’est mort. Contrairement à un cerveau vivant capable de se modifier en fonction des besoins et même de se réparer, malheureusement dans une trop faible mesure.
C’est sans doute ce qui fait la différence.
C’est une branche de l’informatique, qui est en permanente évolution. Ce qui la distingue, du reste, c’est la capacité d’apprentissage et d’auto correction, et le danger qu’elle représente par son apparente fluidité de langage associée à l’opacité pour tout un chacun de sa programmation: que devra-t-elle modifier, refuser, raconter, i.e. quels choix idéologiques lui ont été installés , quels « reflexes », quelles limites? Et qui est le commanditaire…
Merci Dr Maudrux pour cet exposé. Oui, le mot intelligence prête à la crédulité, et l’idee a fait beaucoup rêver de doux Pr Tournesol qui tristement ne pensaient pas aux moins doux dictateurs.
Quand vous dites que vous ne vous ferez jamais opérer par une IA moi aussi j’aimerais pouvoir l’affirmer, mais l’assistance du chirurgien par l’ IA, comment y échapper?
La dépendace aux aides sociales, c’est pas bon car ça coûte… en oubliant que toute dépenses à un endroit est une recette ailleurs ; parcontre la dépendance à ce qui est pompeusement appelé Intellignce Artificielle, aux outils informatiques car ça rapporte et surtout ça contraint sociétalement !
Il est, en effet probable, que n’importe quelle « IA », fut-elle primitive, ferait mieux qu’un sinistre bormé et guidé par l’intérêt de sa caste !
À condition que la dite IA, fut-elle très évoluée, n’aie pas été programmée par ce sinistre borné !
C’est exactement ça le problème. La seule intelligence c’est celui qui programme ou qui donne les instructions de programmation. Il se cache derrière l’appellation « intelligence artificielle » pour mieux tirer les ficelles.
On connais tous l’accusation : c’est l’ordinateur qui s’est trompé. On remplace seulement ordinateur par intelligence artificielle.
Voilà “ mal nommer les choses , c’est ajouter au malheur du monde” disait je crois Camus . Il faut trouver un autre mot que”intelligence” car ,comme vous le dites si bien, dans l’intelligence il y a du discernement ,de la compréhension ( voir étymologie,intelligere)
Et d’ailleurs,on pourrait philosopher sur le leurre de la quantité opposée à la qualité…leurre qui fait prendre pour vérité absolue la statistique et donc les essais randomisés en double aveugle.
Comme si un autiste calculateur prodige était le summum de l’intelligence!
Le manque de bon sens et l’idolatrie des chiffres sont décidément les deux mamelles de l’époque!
Soyons clair et concis. la meilleure définition de l’IA je l’ai entendue d’A Barrau lors d’une conférence au parlement européen. en substance : et avec l’IA foutait moi la paix ce ne sont qu’algorithmes, rien d’une intelligence. Pour moi c’est, amélioré avec les puissances actuelles des ordinateurs, ce que l’on appelait dans les années 90 les systèmes experts. Alors avec la matière humaine complexe avec laquelle est censé travailler un médecin !!!
Il faut d’abord rappeler que le terme anglais signifie information ou renseignement. C’est la raison pour laquelle les administrations responsable de la sécurité intérieure et extérieure s’appellent « Intelligence Services », littéralement en français service traitement des informations recueillies par les espions ou les systèmes d’espionnage développés par la NSA par exemple aux USA.
Avec l’avènement des algorithmes de plus en plus sophistiqués et la puissance des ordinateurs pour traiter des milliards de données en quelques secondes, a été accolé le terme « artificiel » au mot anglais « intelligence » mal traduit en français. Il n’y a rien d’artificiel dans ce traitement algorithmique puisque les lignes de programme ont été écrites par des programmeurs qui dans les entreprises font partie du département IT, abbréviation de « Information Technology » ce qui est plus proche du sujet de votre article. Quant à ma position personnelle sur CHAT-GPT je ne m’abaissera jamais à faire une quelconque recherche sur ce site de peur de constater que mon cerveau vieillissant perd ses capacités …
Je voudrais ajouter enfin que le médecin que j’ai consulté ici à Papeete et m’a prescrit de l’hydroxychloroquine (maintenant 400 mg par jour probablement jusqu’à la fin de mes jours) pour mettre un terme au « covid-long » dont je souffrais depuis mars 2020 a fait appel à sa mémoire de praticien, l’HCQ étant un immuno-modulateur bien connu pour traiter les maladies auto-immunes comme par exemple la polyarthrite rhumatoïde. J’aimerais savoir quelle sera le taux de réussite du projet de ces escroc de Laurent Alexandre qui préconise de remplacer les généralistes par de l' »IA » …
Bonnes remarques, notamment pour ce qui est peut-être une explication à la mauvaise appellation, qui ne serait qu’une mauvaise traduction
L’IA méfiance au plus haut point. Ex. lors du Covid. Comme pour la première fois au monde aucun scientifique, virologue, médecin ….. n’avait le droit de s’exprimer s’il était anti-vaxxxxx, même avec preuves à l’appui de ses travaux, et comme toutes les données sont extraites des médias, du plus nombres d’articles publiés etc… il est évident que L’IA ne pouvait QUE conseiller la vaxxxxination qui a générée des milliers d’effets secondaires graves !!
Covidémence Docteursays: July 10, 2023 at 11:34 am
J’ai attaqué le documentaire “The Viral Delusion” (2022)…. 7 heures !
Pas de panique. Il est dispo en petits morceaux.
“Part 1 – Behind The Curtain of The Pandemic. The Pseudoscience of SARS-COV2”
Accessible ici :
https://phzoe.com/2022/06/22/is-virology-pseudoscience/
Je dois admettre que c’est troublant.
Des médecins, des scientifiques expliquent -calmement- que le Sars Cov2 n’a JAMAIS été “isolé”.
Hein ?
Pourtant, nous avons accès à des DIZAINES de papiers scientifiques qui affirment avoir “isolé” le virus.
Sauf que… non. C’est un abus de langage.
En réalité, ils font un prélèvement… puis vont l’injecter… dans des cellules de foies de singes verts (“Vero”). Ils injectent également des antibios.
Puis ils vont observer un “effet cytopathique” (provoqué par l’antibio utilisé)… et en conclure donc… que c’est bien le virus Sars Cov2 qui a démoli les cellules… ! Et que donc le virus est là.
Sorte de raisonnement circulaire…
Plus fort encore, des papiers publiés admettent qu’ils ne sont pas parvenus à “infecter”… des CELLULES HUMAINES !
On résume : le virus est “là” avec des cellules Vero (foie singes)… mais étrangement il n’est “pas là” quand on essaye avec des cellules humaines… alors même que le Sars Cov2 -sur l’ordinateur, sur papier- semble conçu justement pour facilement s’attaquer aux cellules humaines…
Idem pour les pseudos “photos” qui furent publiées dans les médias, ou même dans des études. Ca peut être un virus… ou autre chose (exosomes).
Idem enfin pour le “séquençage” génétique, la preuve absolue, n’est-ce pas ?
Le grand public imagine qu’on trouve ainsi la signature du virus, ce qui prouve donc sa présence.
Sauf que là aussi… aucun rapport avec le Réel. En réalité, l’ordinateur découvre des petits bouts… dans une soupe qui en contient des gazillons… puis les “assemble”…
Au final… on obtient une image parfaite sur un écran d’ordinateur… mais une image qui “montre” quoi au juste ? Le Réel ? L’affreux coronavirus qui allait tous nous tuer… ou… une construction artificielle ?
Dit autrement ? Le “séquençage”… serait-il… la Caverne de Platon ?
Martin Zizi le rappelait dans une interview récente : “C’est pas facile d’avoir un génome viral complet, car en biologie moléculaire on séquence par petits bouts, et on fait du copier-coller. A aucun moment on a un génome viral complet isolé chez un patient.”
Le même se plaignait de ne pas avoir… le séquençage des malades de Wuhan (Martin Zizi voulant comparer le virus du labo, celui dans les ordinateurs, avec le virus “clinique”… pour bien vérifier que la protéine Spike est bien présente dans les deux).
“”je voudrais avoir les séquence génétique complète des patients à Wuhan pour voir si le virus clinique était le même que le virus du labo. C’est la première question que je me pose en tant qu’ancien chercheur militaire : est-ce que j’ai affaire à la même bestiole ?”
“mais on n’a pas ces séquences. Les bases de données ont été de manière assez bizarre changées. On ne s’y retrouve plus.””
Pour revenir au doc, ensuite ils démontent à coup de cric… le test PCR (encore plus bidonné, et là c’est très facile à comprendre et à admettre).
Je rappelle cette observation qui me paraît fondamentale : il y a un énorme HIATUS, que dis-je un gouffre, entre le virus “sur l’ordinateur” qui est extrêmement contagieux et dangereux, et qui possède des propriétés stupéfiantes.
Et… ce que nous avons vécu, dans la Réalité (des millions de “cas asymptomatiques”… absolument pas malades… et des “malades” âgés… dont les symptômes pouvaient être grippe ou pneumonie… que l’on n’a pas soignés ou mal soignés (puisque “nouveau virus”)… et qu’on a tués ou achevés [rivotril, ventilation mécanique à outrance, refus de soin]s).
Peut-être que le meilleur moyen de “réconcilier” ce terrible virus et ses effets dans le monde Réel serait d’admettre… qu’il n’a jamais existé !
Il a certainement existé dans des ordinateurs. Et dans de multiples représentations symboliques (codage hospitalier, tests PCR, peur, médias etc.).
Et j’ai souvent répété qu’il fallait toujours REVENIR A L’ORIGINE… et donc coller au plus près de la chronologie… une condition pour comprendre et identifier les responsables.
Qui a fourni clé en mains… le premier “séquençage” de ce nouveau virus ? La Chine (très rapidement, dès le début janvier 2020).
Qui a fourni clé en mains… le test PCR qui devint le “standard” (en janvier 2020 et immédiatement accepté par l’OMS, sur la base d’un papier frauduleux) ?
Christian Drosten, virologiste allemand… en lien avec la Chine (via l’hôpital de la Charité lié à un hôpital… à Wuhan… et Drosten connaissait la fameuse batwoman).
https://covidemence.com/2023/02/12/fuite-labo-pcr-arnm-le-fil-rouge-teutonique/
Le même Christian Drosten qui quelques années auparavant dénonçait l’utilisation de tests PCR… face au virus Mers….
https://covidemence.com/2021/02/02/c-drosten-les-tests-pcr-sont-trop-sensibles-et-encombrent-les-statistiques/
Lorsque je travaillais dans le centre de recherche de RP-Agro on eut le privilège de voir l’émergence de la technique PCR. Le service acheta immédiatement deux modules et les réactifs dont les désoxy-nucléotides triphosphate. Un chercheur d’origine universitaire comme moi prit ma peine d’analyser les performances de cette technique utilisée pour amplifier un gène précis avec une amorce synthétisée à partir d’un bout de séquence d’amino-acides de la protéine codée par ce gène. Il conclut de ses travaux qui durèrent près d’une semaine avec toutes les électrophorèses qu’il fallait faire pour vérifier qu’au delà de 16 cycles d’amplification la technique PCR devenait inexploitable car trop d’artéfacts s’accumulaient. Tirez-en la conclusion évidente avec les tests SARS-CoV-2
Comme le dit si bien Pierre Chaillot, nous avons eu une épidémies de tests, mais pas forcement de Covid. Et avec des PCR réglés à 45 ou 50, tout le monde était positif, y compris les cailloux ou les fers à cheval, tout cela bien sur payé par …( Je vous laisse le soin de répondre)
OU la la! En PCR on ne travaille pas avec 1 mais 2 amorces (par définition) et des amorces choisies selon la séquence du gène et non de la protéine. Ensuite si vous avez un signal à 17 cycles en amplifiant un témoin négatif (eau distillée) c’est que votre système est mauvais. Ensuite il n’y a pas de faux positif si vous respectez le seuil défini et la fiabilité est bluffante. Je me souvient d’une PCR VHC trouvée positive à la limite du seuil chez un transplanté de foie 10 jours après la transplantation. Je l’ai rendue positive faible en demandant un contrôle sur un autre prélèvement mais en étant plutôt rassurant sur la possibilité d’un artéfact. 3 jours après charge virale multipliée par 10 et le suivi a confirmé l’infection lors de la transplantation (!!). Visiblement vous évoquez des souvenirs anciens des débuts héroïques de la PCR dans les années 80 à l’époque où je faisais des PCR maison avec des réactifs maison des amorces synthétisées maison, et diagnostic de l’amplification sur gel. Rien à voir avec ce dont on dispose maintenant. Que chacun reste dans son cercle de compétence ce qui est un vœux pieux dans ce genre d’endroit.