159

Ivermectine et cancer : réservé aux chevaux ?

L’ivermectine est une molécule extraordinaire vu sa palette d’actions et sa totale innocuité. Elle a sauvé des millions de vies depuis sa découverte, mais a été reléguée au rang de traitement réservé aux chevaux par les autorités sanitaires, car les traitements tombés dans le domaine public font de l’ombre à l’industrie pharmaceutique.

Témoignage reçu d’un lecteur du blog il y a 8 jours :

« Mon épouse sort d’une chimio pour un cancer de l’ovaire de haut grade niveau 3 (l’origine du cancer de mon épouse est une mutation du gène BRCA2, après examens aux Ètats-Unis), traitée par Taxol et Carboplatine.

Ayant pris connaissance d’études sur le site PNAS (NB : revue de l’Académie des Sciences Américaine), que I’IVM associée au Taxol donnait des résultats amplifiés. 1+1=3 j’ai décidé de compléter la chimio par 12mg d’IVM tous les deux jours. 

Le premier scanner en juillet montrait une tumeur importante et des atteintes au péritoine. La cœlioscopie confirme le diagnostic. Dosage du marqueur Ca125 = 288.

Dès le début, j’ai indiqué à mon épouse que la COVID traînait encore et qu’il serait utile de reprendre de l’Ivermectine qui nous avait protégé de l’épidémie, mais dont nous avions arrêté la prise en janvier.

Après 3 séances de chimio (9 semaines), un nouveau scanner montre que la tumeur est en forte régression avec quasiment plus de trace sur péritoine. Commentaire du chirurgien : c’est remarquable, je ne m’attendais pas à ça. Ca125 tombé à 22 ! Décision d’opération dans les 15 jours. 

Ablation utérus ovaires. Déclaration du chirurgien : c’est extraordinaire. Absence de tumeur quelque cellules mortes sur le péritoine que j’ai enlevées. La biopsie confirme que tout a disparu, Ca125 à 3.

L’oncologue qualifie le résultat d’exceptionnel mais objecte qu’il peut rester des cellules microscopiques, et continue la chimio avec Avastin à partir de la 5eme séance. Si j’ai bien compris, ce traitement est pour empêcher la tumeur de générer des vaisseaux pour alimenter des cellules cancéreuses. !!!! Quelle tumeur ? Bref.

Je les ai informés de mon “traitement” complémentaire en leur indiquant mes sources. D’après les études, l’ivermectine rétablit l’apoptose. Intérêt très modéré selon eux. “Je vais regarder”. À ce jour je ne suis pas sûr qu’ils aient fait une recherche. »

Attention, cela ne veut pas dire que l’ivermectine y est pour quelque chose dans ce cas. Cela peut être une coïncidence, mais ce cas devrait toutefois interpeller, car ce cancer est très méchant, et les métastases péritonéales signent un cancer très virulent et en phase terminale, donnant peu d’espoir avec plus de 87% de décès à ce stade. 

Malheureusement, avec la médecine telle qu’elle est pratiquée au XXIe siècle, cette observation n’a aucune valeur, ce n’est pas une étude randomisée au coût de quelques millions. De plus personne n’investira, la molécule, tombée dans le domaine public, ne pouvant rapporter. La médecine observationnelle, cherchant à reproduire une éventuelle découverte, n’appartient plus à ce monde où les industriels et les biostatisticiens ont remplacé les médecins.

C’est dommage, car l’ivermectine, en plus de ses nombreuses indications, a peut-être encore un potentiel d’actions non encore explorées. Au-delà de son action sur quasiment tous les parasites, de son action antivirale prouvée par les vétérinaires et occultée chez l’homme, de ses actions anti-inflammatoires, immuno-régulatrices, anti choc cytokinique, mais aussi son action anti hemagglutination pouvant protéger de certains effets secondaires vasculaires de la vaccination, l’ivermectine mérite deux fois son prix Nobel, car c’est en plus sans doute un adjuvant venant renforcer certains traitements anticancéreux comme je le pensais encore il y a peu, mais aussi comme anticancéreux à part entière.

Les vétérinaires sont plus avancés que les médecins en ce qui concerne le potentiel anticancéreux de l’ivermectine. Cet article de 2019, constate que l’ivermectine est plus qu’un adjuvant, c’est un anti-cancéreux inhibant la croissance des tumeurs mammaires chez le chien, tumeurs les plus fréquentes chez les chiennes et de mauvais pronostic. Ceci tant in vitro qu’in vivo, en stoppant la croissance des cellules tumorales.

Ce mari a peut-être sauvé sa femme grâce à sa curiosité. Dommage que les médecins ne le soient pas plus, car la découverte de ce potentiel de l’ivermectine ne date pas d’hier. Il est vrai que les autorités ont tout fait pour rabaisser cette molécule extraordinaire car « à but non lucratif ». En 2017 Santé log et Top Santé citaient un article de PNAS évoquant une étude de l’Université d’Osaka, signalant l’effet anti-tumoral de l’ivermectine sur les cellules cancéreuses du cancer épithélial de l’ovaire, interagissant avec le gène KPNB1 responsable de la maladie, avec un effet direct sur l’apoptose tumorale. En effet, le gène KPNB1 se comporte comme un oncogène et les chercheurs confirment que sa surexpression accélère de manière significative la prolifération et la survie des cellules tumorales, alors que son inhibition induit leur apoptose. L’ivermectine inhibe l’activité de KPNB1 et a un effet synergique combinée avec le paclitaxel (Taxol), médicament standard pour le traitement du cancer épithélial de l’ovaire. Les auteurs concluent :« nous avons constaté que la combinaison d’ivermectine et de paclitaxel produit un effet anti-tumoral plus fort sur l’EOC à la fois in vitro et in vivo que l’un ou l’autre médicament seul ». Le Taxol est également utilisé dans certains cancers broncho-pulmonaires, du sein et dans les sarcomes de Kaposi associés au Sida. La synergie avec l’ivermectine constatée dans le cancer de l’ovaire peut être tout aussi bénéfique ailleurs. 

Cet article de « recherche en pharmacologie » (Pharmacologic Research) étudie les différents mécanismes d’action de l’ivermectine dans différents cancers, à partir de 114 études. On peut y lire que « l’ivermectine a de puissants effets anti-tumoraux, y compris sur les métastases, dans une variété de cellules cancéreuses,… l’ivermectine favorise la mort programmée des cellules cancéreuses ou apoptose (mort cellulaire programmée qui est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal), l’autophagie et la pyroptose,…l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la multi-résistance aux médicaments et exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres agents chimiothérapeutiques. »

Ils constatent cette apoptose avec les cellules du cancer de l’ovaire, du colon et rectum, du rein, du glioblastome et de la leucémie. L’autophagie concerne le gliome, le cancer du poumon et le mélanome, et la pyroptose les cellules du cancer pulmonaire.

D’autres articles étudient l’action de l’ivermectine dans le cancer colorectal et de la prostate. Des études sont en cours avec une forme injectable d’ivermectine, sur les cancers du sein, du poumon, de la vessie et du mélanome.

Autre ouvrage : un livre de 2021 sur le repositionnement des vieilles molécules. Le chapitre sur l’ivermectine relate nombre d’expériences faites sur tous ces cancers. Cadeau :  la traduction de ce chapitre.

En marge de ces potentiels effets sur les cancers, n’oublions pas cette autre découverte (qui a 5 ans quand même !) : la remyélinisation ouvrant des voies dans le traitement de la sclérose en plaques (ici et ). L’ivermectine n’a pas fini de nous étonner.

Malheureusement dans toutes ces indications, nous ne verrons pas d’études qui aboutiront à une autorisation de mise sur le marché. En effet que vaut l’ivermectine à un dollar le comprimé face à des traitements à quelques milliers d’euros avancés par les grands groupes pharmaceutiques ?

Quant aux médecins qui voudraient prescrire ce médicament, sans conséquences si cela ne marche pas, ils seront poursuivis, la police des labos veille, même si la situation est désespérée, la règle est la règle, peu importe le patient. 

La médecine n’évolue pas dans un bon sens. Médecin, on n’aime pas trop voir les patients venir demander tel ou tel examen, tel ou tel traitement, car « vu sur internet ». Mais aujourd’hui, les rôles ne sont-ils pas inversés, devant la démission de la médecine ? Ce n’était pas à ce monsieur de lire les articles médicaux qu’auraient dû lire les médecins, et il a eu bien raison de le faire. Je ne peux m’empêcher de le rapprocher des déclarations d’évènements indésirables liés aux vaccins. Dans les relevés de pharmacovigilance, il y a quasiment autant de déclarations retenues faites par les patients que par les professionnels de santé. 

Ce n’est pas le rôle des patients et des familles de faire ce travail de recherche de traitement ou de déclaration, mais celui des professionnels de santé, pour beaucoup aux abonnés absents. Si on continue ainsi, demain, ce seront les patients qui soigneront les soignants ! En attendant, les chevaux seront bien soignés.

Gérard Maudrux

159 commentaires

  1. @ALAIN et FALKO. Commande en Indes de fin mars 2023. Bloquée par la douane à RCDG. Motif: faut produire une ordonnance en provenance du pays d’origine. Mon ordonnance française fut refusée, et le colis en retour à l’envoyeur. Y a-t-il des expériences malheureuses semblables dans ce blog ?

    • Non, reçu, l’an dernier puis en fevrier cette année , mais par 2 labos differents

  2. Bonjour
    L’ivermectine a t-elle une action sur les herpès virus & CMV ?
    MErci

  3. Bonjour
    Quelle dose d’ivermectine faudrait-il utiliser et pendant combien de temps ?
    Bien cordialement
    Gérard

    • l’IVM au long ne présente pas de danger particulier si l’on en juge une étude de medincell (labo Montpellier).
      J’ai l’expérience suivante: 3mg/15kg tous les deux jours sans arrêt urant tout le traitement. L’effet apoptose a agit semble t’il dès le début. Comme l’IVM est sans contre indication…..

  4. Bonjour M. Maudrux, Je me permets de vous contacter pour une information pour mon épouse, médecin, qui voudrait connaître la posologie de l’ivermectine pour un nodule cancéreux débutant ( 5mm) sur un sein. Je suis tombé sur le lien “Ivermectine et Cancer” un peu par hasard alors qu’elle a su le diagnostic lundi 20 février 2023. Merci d’avance. Et merci aussi pour votre ténacité depuis 2020 à vouloir soigner vraiment avec l’Ivermectine les effets du Covid19. Sans être soignant, j’ai été révolté par la gestion de la crise sanitaire que nous avons vécu car je voyais bien que nous allions dans le mur. Du coup je me suis abonné à votre blog puis votre lettre d’information. Bien sincèrement.

    • 15mg/15 kg. Tous les deux jours. Sans aucune raisons évidentes, mais avec du résultat sans un quelconque effet secondaire, et ce, depuis le début de la chimio. Resultat :réponse complète de la maladie.

  5. Les taux de cancer ont augmenté depuis la mise en place des vaccins contre le COVID et sont désormais l’une des trois principales causes de décès prématuré chez les jeunes adultes, une tendance qui fait baisser l’espérance de vie aux États-Unis.
    Les principales causes de décès en 2021 étaient les maladies cardiaques et le cancer, qui sont tous deux des effets secondaires potentiels des injections contre le COVID.
    Le Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St. George’s de Londres, prévient que les rappels contre le COVID pourraient provoquer des cancers métastatiques agressifs.
    La recherche montre que la protéine Spike du SRAS-CoV-2 supprime 90 % du mécanisme de réparation de l’ADN dans les lymphocytes, un type de globule blanc qui aide votre corps à combattre les infections et les maladies chroniques, y compris le cancer.
    Par le Dr. Mercola

    En 2019, la durée de vie moyenne des Américains de toutes ethnies confondues était de près de 78,8 ans. À la fin de 2021, l’espérance de vie était tombée à 76,4 ans, soit une perte de près de trois ans, un recul stupéfiant. Les principales causes de décès en 2021 étaient les maladies cardiaques, le cancer et le COVID-19, tous trois plus élevés en 2021 qu’en 2020, et les maladies cardiaques et le cancer sont des effets secondaires potentiels des injections contre le COVID.

    Les rappels contre le COVID déclenchent un cancer métastatique
    Le 26 novembre 2022, The Daily Skeptic a publié une lettre à l’éditeur du BMJ, rédigée par le Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St. George de Londres, avertissant que les rappels contre le COVID pourraient causer des cancers métastatiques agressifs :

    « Le COVID ne nécessite plus de recourir à un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès du COVID au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes confondues est de 81 ans et chute », écrit le Dr Angus Dalgleish. « Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est désormais bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie…
    Cependant, il existe dorénavant une autre raison de mettre un terme à tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de recevoir une injection de rappel, généralement afin de pouvoir voyager. Même parmi mes propres contacts personnels, je peux observer une maladie des lymphocytes B après les rappels.
    Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel : une leucémie en développement, deux collègues de travail atteints de lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a l’impression d’avoir eu un long COVID depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir contracté une maladie osseuse douloureuse sévère, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’un trouble rare des lymphocytes B.
    Je suis assez expérimenté pour savoir que ce ne sont pas des anecdotes fortuites… Les rapports de suppression immunitaire innée après l’ARNm pendant plusieurs semaines peuvent être une explication, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de lymphocytes B, très sensibles au contrôle immunitaire, et cela avant les rapports de suppression du gène suppresseur par l’ARNm au cours des expériences de laboratoire. Cela doit être communiqué et débattu sans délai. »
    La nouvelle norme : les rechutes explosives du cancer
    Dans un article du 19 décembre 2022 paru dans Conservative Woman, le Dr Angus Dalgleish continue de discuter du phénomène de propagation rapide des cancers chez les patients qui étaient en rémission stable pendant des années avant de recevoir leurs injections de rappel contre le COVID. Il note qu’après la publication de sa lettre au BMJ, plusieurs oncologues l’ont contacté pour dire qu’ils observent la même chose dans leurs pratiques.

    « L’observation de la récurrence de ces cancers après tout ce temps me fait naturellement me demander s’il existe une cause commune ? », écrit-il. « J’avais précédemment noté que la rechute d’un cancer stable est souvent associée à un stress sévère à long terme, tel qu’une faillite, un divorce, etc.
    Cependant, j’ai constaté qu’aucun de mes patients n’avait subi un tel stress supplémentaire pendant cette période. Mais ils avaient tous reçu des injections de rappel de vaccin et, en effet, quelques-uns d’entre eux ont noté qu’ils avaient fait une très mauvaise réaction au rappel qu’ils n’avaient pas faite lors des deux premières injections.
    J’ai alors constaté que certains de ces patients n’avaient pas un schéma normal de rechute mais plutôt une rechute explosive, avec des métastases survenant en même temps sur plusieurs sites… Sur le plan scientifique, je lisais des rapports selon lesquels le rappel entraînait un grand excès d’anticorps au détriment de la réponse des lymphocytes T et que cette suppression des lymphocytes T pouvait durer trois semaines, voire plus.
    Pour moi, cela pourrait être causal car on demande au système immunitaire d’avoir une réponse excessive par le biais de la partie inflammatoire humorale de la réponse immunitaire contre un virus (le variant alpha-delta) qui n’existe plus dans la communauté.
    Cet effort entraîne un épuisement immunitaire. C’est pourquoi ces patients rapportent une augmentation jusqu’à 50 % supérieure d’Omicron, ou d’autres variants, que les non-vaccinés. »
    Un changement dans le cœur et l’esprit
    Fait intéressant, à la mi-2021, le Daily Mail a publié un article dans lequel le Dr Angus Dalgleish encourageait les individus à se faire vacciner contre le COVID, en particulier les plus jeunes. Le Dr Angus Dalgleish explique qu’à l’époque, il y avait une « pression écrasante du gouvernement et de la communauté médicale… que cela serait dans l’intérêt de tous. »

    Il s’est donc soumis au discours, même s’il avait des doutes dès le départ. Aujourd’hui, cependant, l’environnement a changé et ces injections expérimentales ne sont plus vraiment nécessaires.

    Ses inquiétudes se sont encore accrues lorsque son fils a développé une myocardite « après avoir reçu une injection qu’il ne voulait pas, mais dont il avait besoin pour son travail et ses voyages ». Un ami de son fils, au début de la trentaine, a subi un accident vasculaire cérébral après son injection, et une parente d’un collègue proche est décédée d’une crise cardiaque à l’âge de 34 ans après la sienne.

    « J’ai commencé à être très alarmé que ce soient les vaccins qui causent ces symptômes », écrit le Dr Angus Dalgleish, « et que comme nous l’avions écrit… un virus génétiquement modifié avait de sérieuses implications pour la conception des vaccins.
    Cet article, qui a été supprimé et n’est donc pas paru sous presse pendant de nombreux mois, indiquait que la séquence du virus était tout à fait compatible avec le fait d’avoir été génétiquement modifiée, avec un site de clivage de la furine et six inserts à des endroits qui rendraient le virus très infectieux, et la raison pour laquelle cela avait des implications aussi énormes pour la conception des vaccins était que 80 % de ces séquences avaient une homologie avec des épitopes humains.
    En particulier, nous avions remarqué une homologie avec le facteur plaquettaire 4 et la myéline. Le premier est également associé à ce que l’on appelle le VITT (faible taux de plaquettes et de coagulation) et le second est associé à tous les problèmes neurologiques, tels que la myélite transverse, désormais tous deux reconnus comme des effets secondaires du vaccin, même par la MHRA [Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé au Royaume-Uni]. »
    La preuve scientifique que l’injection contre le COVID provoque le cancer
    En août 2022, The Exposé a mis en évidence des preuves scientifiques montrant que les injections contre le COVID peuvent provoquer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein, et « qu’une dissimulation monumentale est en cours pour en effacer les conséquences… sur la santé des femmes. »

    La recherche en question était celle de Jiang et Mei, qui ont publié un article évalué par des pairs montrant que la protéine Spike du SRAS-CoV-2 a effacé le mécanisme de réparation de l’ADN dans les lymphocytes, un type de globules blancs qui jouent un rôle important dans votre système immunitaire. Les lymphocytes aident votre corps à combattre les infections et les maladies chroniques, y compris le cancer. L’analyste de données professionnel Joel Smalley écrit :

    « La protéine Spike virale était si toxique pour cette voie qu’elle en a éliminé 90 %. Si toute la protéine Spike pénétrait dans le noyau (dans les ovaires) et qu’une quantité suffisante était produite et traînait assez longtemps avant que le corps ne puisse s’en débarrasser, cela provoquerait un cancer. Heureusement, dans le cas d’une infection naturelle, il est peu probable que cela se produise.
    Malheureusement, le toxshot expérimental d’ARNm induit la production de protéines Spike (la pointe dans toute sa longueur correspondant exactement, pour chaque acide aminé, à toute la longueur de la protéine Spike virale5) dans et autour du noyau cellulaire, et elle est produite pendant au moins 60 jours et certainement plus longtemps.
    Les « vérificateurs de faits » ont déclaré que la protéine Spike virale ne pénètre pas dans le noyau, alors que les scientifiques experts ont démontré qu’elle y entrait absolument. Les autorités de santé publique et les régulateurs ont déclaré que la protéine Spike vaccinale ne pénètre pas dans le noyau, bien que les producteurs d’ARNm leur aient soumis des photos le démontrant dans le cadre de leur demande pour une utilisation en urgence…

    Jiang et Mei, assez logiquement et raisonnablement, ont averti que la protéine Spike de l’ARNm aurait probablement le même effet que la protéine Spike virale sur p53, et donc provoquerait le cancer… [Le] document de Jiang et Mei a été retiré en raison de fausses « expressions de préoccupation » (EDP) concernant les méthodes de l’étude alors qu’elles étaient une pratique courante…
    Eh bien, malgré le retrait, la protéine Spike circulant en grande quantité, à proximité directe du noyau cellulaire, pendant de longues périodes de temps, a toujours le potentiel d’induire le cancer dans ces cellules (ovaire, pancréas, sein, prostate, ganglions lymphatiques ). Ces cancers peuvent mettre des années à se développer et il est donc possible que nous ne voyions pas beaucoup de signaux d’alarme avant 5 ou 10 ans. »
    Comme l’a noté Smalley, l’un des auteurs de l’EDP qui a conduit au retrait de l’article était Eric Freed, Ph.D., qui dirige le Centre de recherche sur le cancer des National Institutes of Health des États-Unis.

    Il est chercheur permanent à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et au NIH depuis 2002, les mêmes agences qui ont financé le vaccin ARNm de Moderna. Toutefois, ce conflit d’intérêts n’a pas été divulgué dans l’EDP.

    Un cas de cancer pas si rare
    Fin septembre 2022, The Atlantic a présenté l’histoire de l’immunologiste belge Michel Goldman, 67 ans, qui, au printemps 2021, a reçu son premier et son deuxième vaccin contre le COVID. À l’automne de cette année-là, on lui a diagnostiqué un lymphome, un cancer du système immunitaire.

    Quelques semaines seulement après son scanner corporel et son diagnostic, il a reçu son premier rappel, pensant qu’il en avait besoin car il était rapidement devenu immunodéprimé par la chimiothérapie. Mais le rappel a provoqué une détérioration rapide de sa santé.

    Un autre scanner fin septembre 2021, trois semaines seulement après son premier scanner, a révélé « un tout nouveau déluge de lésions cancéreuses, tellement de taches qu’il semblait que quelqu’un avait déclenché des feux d’artifice dans le corps de Michel », écrit Roxanne Khamsi :

    « Plus que cela, les lésions étaient désormais proéminentes des deux côtés du corps, avec de nouvelles grappes fleurissant au niveau de l’aisselle droite de Michel et le long du côté droit de son cou.

    Lorsque l’hématologue de Michel a vu le scanner, elle lui a dit de se présenter directement à la pharmacie de l’hôpital le plus proche. Il devait commencer tout de suite à prendre des stéroïdes, lui a-t-elle dit. Une progression aussi rapide du lymphome en seulement trois semaines était très inhabituelle, et il ne pouvait pas risquer d’attendre un seul jour de plus.
    Alors qu’il suivait ces instructions, Michel a ressenti une inquiétude tenace que son injection de rappel contre le COVID l’ait en quelque sorte rendu plus malade. Son frère [Serge, chef du service de médecine nucléaire à l’hôpital de l’Université libre de Bruxelles] nourrissait une inquiétude similaire.
    Le groupe asymétrique de ganglions cancéreux autour de l’aisselle gauche de Michel lors de l’examen initial avait déjà semblé « un peu dérangeant », comme l’a dit son frère, d’autant plus que les deux premières doses de vaccin de Michel avaient été injectées de ce côté. Ensuite, il avait reçu une injection de rappel dans l’autre bras et l’asymétrie du cancer s’était inversée.
    Les frères savaient que ce n’était peut-être qu’une étrange coïncidence. Mais ils ne pouvaient pas se débarrasser du sentiment que Michel avait éprouvé de ce qui serait un effet secondaire très rare mais potentiellement mortel de la vaccination contre le COVID. »
    Les cellules T sont devenues folles
    Michel Goldman, qui fut l’un des premiers champions des injections de vaccin ARNm contre le COVID, « soupçonnait maintenant qu’il était leur victime malchanceuse », écrit Roxanne Khamsi. Il a décidé de rendre public son cancer malgré les craintes que les « anti-vax » l’utilisent pour argumenter contre le vaccin contre le COVID. Son inquiétude pour les personnes atteintes du même type de cancer que lui l’avait remporté.

    Il existe environ 30 sous-types différents de lymphome. Le type de lymphome de Goldman (le lymphome à cellules T angioimmunoblastiques) attaque les cellules T auxiliaires folliculaires qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire de votre corps aux agents pathogènes envahisseurs.

    Les lymphocytes T auxiliaires servent de messagers entre les cellules dendritiques, qui identifient l’agent pathogène, et les lymphocytes B qui fabriquent les anticorps appropriés. Les injections de vaccin ARNm contre le COVID « sont particulièrement efficaces pour générer ce message et stimuler son passage via les cellules T auxiliaires », écrit Roxanne Khamsi.

    Cette activation des lymphocytes T auxiliaires fait partie de ce qui fait fonctionner les injections contre le COVID. Mais Michel Goldman a commencé à soupçonner que l’accélération de ces cellules T auxiliaires pourrait dans certains cas les rendre folles, entraînant des tumeurs ou l’aggravation de celles déjà existantes.

    D’autres rapports de cas
    Michel Goldman a eu de la chance. Il était encore vivant pour en parler. Beaucoup d’autres n’ont pas eu cette chance. Et bien qu’il pense toujours qu’il s’agit d’un cas « ultra-rare », il a depuis reçu des rapports d’autres patients qui ont soudainement développé un lymphome à cellules T angioimmunoblastiques après leurs injections. Comme l’a indiqué Roxanne Khamsi :

    « Au moment de son suivi en février, Michel a reçu un message d’un médecin qui avait lu son rapport de cas autoréférentiel. La mère du médecin avait reçu un diagnostic du même sous-type de lymphome que Michel à la suite d’une injection de rappel contre le COVID. Plus récemment, il a reçu un e-mail d’une femme dont la sœur avait été vaccinée et a reçu ce diagnostic le mois suivant. »
    En août 2022, Frontiers in Medicine a publié un rapport de cas décrivant « la progression rapide du lymphome à cellules lymphocytaires de la zone marginale » à la suite du vaccin contre le COVID. La femme japonaise de 80 ans présentée dans le rapport a développé une tumeur visible dès le lendemain de sa première injection. Selon les auteurs :

    « Au départ, nous suspections une adénopathie bénigne de la tête et du cou comme effet secondaire de la vaccination. Neuf semaines plus tard, le nombre de glandes sous-mandibulaires et parotides enflées a augmenté, et les ganglions lymphatiques ont encore grossi.
    Enfin, la masse temporale droite fut diagnostiquée comme un lymphome à cellules lymphocytaires de la zone marginale sur la base des résultats de l’immunohistochimie et de la cytométrie de flux des échantillons de biopsie.
    Nos résultats suggèrent que bien que 4 à 6 semaines d’observation de l’inflammation des ganglions lymphatiques après la deuxième vaccination soient recommandées, la malignité doit également être prise en compte dans le diagnostic différentiel de la lymphadénopathie après la vaccination. »
    Les cancers turbocompressés deviennent plus fréquents
    Les données de la Base de données d’épidémiologie médicale de la défense (DMED), historiquement l’une des bases de données médicales les mieux gérées et les plus utilisées au monde, ont montré que, par rapport aux moyennes des cinq années précédentes, le cancer du sein parmi le personnel du ministère de la Défense (DOD) en 2021 a monté en flèche.

    Dans l’ensemble, les cancers ont triplé parmi les militaires et les membres de leur famille après le déploiement des vaccins contre le COVID. Le cancer du sein a augmenté de 487 %. Des taux de cancer qui explosent sont également observés ailleurs. L’un des premiers à avertir que les injections pourraient causer le cancer fut le Dr Ryan Cole, un pathologiste qui dirige son propre laboratoire de pathologie.

    Il soupçonne que les injections accélèrent des cancers déjà existants par dérégulation immunitaire. Il a remarqué que les cancers qui étaient auparavant bien contrôlés devenaient soudainement incontrôlables et conduisaient rapidement à la mort après injection du vaccin contre le COVID.

    La pathologiste suédoise, chercheur et médecin principal à l’Université de Lund, le Dr Ute Kruger, a également observé une explosion des cancers à évolution rapide à la suite des injections contre le COVID. Par exemple, elle remarque que :

    Les patients atteints de cancer rajeunissent. La plus forte augmentation concerne les 30 à 50 ans.
    La taille des tumeurs est considérablement plus importante. Historiquement, les tumeurs de 3 centimètres étaient couramment trouvées au moment du diagnostic du cancer. Maintenant, les tumeurs qu’ils découvrent mesurent régulièrement de 4 à 12 centimètres, ce qui suggère qu’elles se développent à un rythme beaucoup plus rapide que la normale.
    Les tumeurs multiples dans plusieurs organes sont de plus en plus courantes.
    La récidive et les métastases augmentent. Kruger souligne que de nombreux patients atteints de cancer qu’elle voit sont en rémission depuis des années, pour être soudainement assaillis par une croissance incontrôlable du cancer et des métastases peu de temps après leur injection contre le COVID.
    Ces « turbo-cancers », comme les appelle Kruger, ne peuvent pas être expliqués par des dépistages de cancer retardés en raison des confinements et d’autres restrictions contre le COVID, car ces jours sont révolus depuis longtemps. Les patients, bien qu’ils aient accès à des dépistages médicaux comme par le passé, se présentent avec des croissances tumorales grandement exacerbées, et elle pense que c’est parce que les cancers sont « turbocompressés » par les injections de vaccin à ARNm.

    Sources et Références

    Inscrivez-vous pour recevoir le bulletin d’information sur la santé naturelle de Dr Mercola
    Veuillez saisir votre adresse email

  6. Merci de m’inscrire pour l’envoi de votre lettre d’information.
    Cordialement.

    • Bonjour Dr Maudrux, merci pour votre article et les informations qu’il donne.
      Je cherche un médecin qui puisse me suivre pour un cancer du sein hormonodépendant, tel que décrit dans le témoignage reproduit dans votre article. Merci par avance pour votre réponse.

      • Il faut voir votre médecin généraliste, avec qqs articles qui vont dans le bon sens, pour qu’il prescrive de l’ivermectine, en expliquant que c’est votre souhait, et que c’est sans risque. Cela peut être fait aussi avec le cancérologue. Personnellement, je n’ai jamais empêché les cancers que je traitais de prendre autre chose à 2 conditions : que cela soit sans risques et qu’ils continuent de prendre le traitement prescrit.
        J’ai eu il y a 15 jours des nouvelles du cas clinique plus que désespéré avec métastases abdominales, toujours aucune trace d’une quelconque cellule maligne, guérison actuellement totale.
        Si vos médecins refusent ce choix, changez-en.

  7. Les labos vont donc devoir racheter toutes les usines indiennes qui fabriquent l’Hiver et la Vit D. Détruire l’artémisia Annua comme plantes nocives …pour les labos. Bref tout les traitements préventifs des cancers sont à abattre. McK en connaît un rayon. Buz aussi. Voir l’affaire du Dr André Gernez.

  8. Merci beaucoup Dr Maudrux pour ce billet et pour tous ceux dont nous nous dispensez régulièrement

    J’ai toujours été persuadée que l’Ivermectine avait un champ d’application bien plus large que celui qu’on lui connaissait avec l’apparition du Covid

  9. Moi aussi je suis persuadé que l’IVM a des effets bénéfiques sur de nombreuses maladies mais il ne faut pas oublier la vitamine D qui elle aussi semble protéger contre le covid et bien d’autres pathologies et semble d’après ce que j’ai lu être bénéfique dans le dévellopement de certains cancers. Qu’en pensez vous Cher Confrère?

  10. Bonjour,
    Je pense qu’en Afrique où un certain nombre de pays utilisent largement l’ivermectine, il y a aussi un certain nombre de cancers qui ont eu cette association, même sans l’avoir cherchée, comme en France nous avons eu HCQ sur polyarthrite + Covid19. Car la médecine de nos ex-colonies est maintenant meilleure que la notre, semble-t-il.
    Y a-t-il eu des résultats observés ?
    En sachant qu’aucune observation n’est recevable et est proscrite en Occident par BP, et qu’il est préférable d’avoir un malade longtemps mal soigné qu’un patient guéri.
    PS : annulation en appel de la condamnation de Novartis et Roche pour le traitement de la DMLA. Merci la Justice Indépendante… Le foutage de gueule peut continuer allègrement.

    • Bonjour . Dans l’exemple cité (femme K ovaire), avez-vous une idée approximative de la durée du traitement par IVM 12mg tous les deux jours ? Je compte 9 semaines pendant la chimio, puis 2 semaines jusqu’à l’intervention … ensuite ??
      Éventuellement, pourrions-nous communiquer en message privé ?
      Merci !

  11. Incroyable !

    Lorsque j’essaye de parler avec “mon” toubib fraichement sorti de la FAC, je me heurte systématiquement à une réaction du genre “complotisme / charlatans…” etc…
    Cela avait commencé avant le covid, je voulais avoir plus de renseignements sur les statines… peine perdue.
    Alors évidemment, pour l’Ivermectine, ça a été vite classé…

  12. bonjour, je suis en admiration….est- ce qu’Hélène Banoun (chercheuse en pharmacie me semble t-il) est au courant , certainement ! il serait judicieux qu’elle développe et fasse connaitre cette découverte … comme vous le savez elle intervient sur le CSI… amicalement . Armelle de Maynadier

  13. Je suis catastrophée mais j exerce au sein d un cabinet de radiologie en secteur rural il y a une explosion de cancers du sein chez des femmes de tout âge en une semaine 9 !! C est incroyable et j ai vu aussi deux patientes du même âge avec cancer cardia!! Du même village
    Cela serait intéressant de savoir à quoi sont dus ces cancers !! Si on avait un registre des cancers en fonction des expositions autres que les classiques tabac alcool !!
    Super intéressant mais les médecins sont tellement assis sur leur conviction si peu de sens critique sur eux mêmes !! Avouer que on ne sait pas tout et rester humble !!

    • Les doses de rayons chaque année qui se cumulent avec les mammographies, votre matériel de radiologie est il en cause ?
      Un chercheur a osé remettre en cause les mammographies qui déclencheraient des cancers, il a été viré de son post…
      Il n’était pas le seul à avoir fait des recherches là dessus, mais il y a trop de fric en jeux pour beaucoup de gens…

    • L’ivermectine est inoffensive dans un traitement au long cours. Elle est disponible dans les labos indiens au prix de 50 euros pour 200 cahets de 12mg, port compris.

      • J’ai vu plusieurs communications avec un traitement prolongé, même avec des doses supérieures, sans aucun effet secondaire constaté. Il y a même eu une étude à 10 fois la dose qui n’a pas entraîné d’effet secondaire. Le mode d’action de l’ivermectine fait qu’il ne peut y avoir de problème, sauf très rarement et avec surdosage, et les effets secondaires décrits sont pratiquement dus à la maladie traitée elle même, et dans les parasitoses dus à la trop grande efficacité avec largage massif de débris parasitaires qui entraînent ces effets, liés au traitement, mais pas directement à l’ivermectine. C’est même avoué dans le communiqué Merck contre l’ivermectine.

        • Bonjour docteur, sans interruption depuis le début jusqu’à maintenant et nous continuons. L’étude japonaise mentionné un effet anti rechute sur 491 patientes.
          Mer

          Bonjour Docteur,
          J’ai lu quelque part qu’une dose 483mg//kg commençait à poser pour problème. Merci pour l’exactitude de votre récit. Cordialement

      • Merci Alain pour cette info sans doute récente

        Notre dernière “livraison” en provenance d’Inde coûtait 50€ +20€ (port) pour 100 comprimés de 12mg, et on trouvait cela pas cher pour prévenir ou soigner toute la famille

        Accepteriez vous de donner les coordonnées de votre labo indien à 50€ tout compris pour 200 comprimés ?

        Par avance, je vous en remercie.

  14. Je me souviens d’une étude (2021) de chercheurs de l’institut Pasteur qui montrait que l’ivermectine n’avait pas d’action directement “antivirus” sur le covid (elle ne réduit pas la charge virale) mais elle agissait comme imunomodulateur, renforçant les mécanismes qui réduisent ou suppriment les symptômes de la maladie.
    https://www.embopress.org/doi/full/10.15252/emmm.202114122

    J’avais lu une autre étude (je n’ai plus les références) qui montrait que l’ivermectine protégeait le récepteur nicotinique des attaques de la protéine Spike : l’un peut expliquer l’autre.

    Au final, il y a toujours une explication biologique à l’action d’un médicament, encore faut il avoir les moyens de la chercher.

  15. Je me suis souvent demandé : sait on quelque chose de l’effet de l’IVM sur le microbiote intestinal ? est il anodin, ou important comme c;est le cas pour les antibiotiques ? Y a t il eu des etudes dans ce sens ?

    • Bien que l’Azithromycine, qui agit sur le microbiote, et l’ivermectine soient sur le même arbre généalogique, toutes deux issues d’une lactone macrocyclique, si la première est devenue antibiotique, la seconde, malgré sa très large palette, il y a bien une action qui n’a jamais été mise en évidence : une quelconque propriété antibiotique. Ce n’est sans doute pas pour rien qu’on associe les deux.

      • “qui n’a jamais été mise en évidence” : voulez vous dire qu’on a cherché à mettre en évidence une action de l’IVM sur le microbiote intestinal, et qu’on en a conclu qu’il n’y en avait aucune ?

  16. Avec une AMM pour la rosacée, cela devient tout autre chose.
    Soolantra° crème.
    Prix aux U.S.A. :
    Entre $534.02 et $705.35 pour 1 tube de 45g.
    “Heureusement il y a les génériques” : entre $97.31 et $339.12 le tube de 45g.
    https://www.singlecare.com/prescription/soolantra
    En France, c’est environ 30 à 35€ le tube de 30g non remboursé.
    Mais cela dit mis à part, c’est aussi de loin le meilleur topique dans le traitement de la Rosacée.

  17. Merci de cet article 🌞 Docteur Maudrux
    Merci de répondre favorablement à cette demande
    https://www.covid-factuel.fr/2023/02/14/ivermectine-et-cancer-reserve-aux-chevaux/#comment-174339
    Avez-vous connaissance d’autres interactions entre l’IVM et d’autres médicaments ?
    Que ce soit en bien …ou non.. des témoignages comme celui de votre article, je suppose qu’il n’existe pas d’essais thérapeutiques ?… Concernant le VIH? TTT ou préventif? L’ivermectine n’est pas dangereuse à long terme ou à forte dose mais quand il y a d’autres traitements ?
    Un vétérinaire (un pharmacien?) est le bienvenu sur ce blog décidément de Santé Publique !
    🎩 Merci ❤️

  18. Dr Maudrux,
    L’ivermectine étant immuno régulatrice, y aurait-il des infos, une publication ou une observation concernant la thrombopénie auto immune? y aurait-il par exemple un patient thrombopénique qui aurait pris par hasard de l’ivermectine et s’en serait trouvé bien mieux ? (on peut rêver !)
    Et merci ++ pour vos articles encore et toujours !!

  19. Une petite question me vient à la relecture
    “Commentaire du chirurgien : c’est remarquable, je ne m’attendais pas à ça. Ca125 tombé à 22 ! Décision d’opération dans les 15 jours. Ablation utérus ovaires. Déclaration du chirurgien : c’est extraordinaire. Absence de tumeur quelque cellules mortes sur le péritoine que j’ai enlevées. La biopsie confirme que tout a disparu, Ca125 à 3.”
    Finalement, l’opération n’aurait-elle pas pu être évitée ?

    • Non. Il faut enlever la tumeur mère, aucune preuve qu’elle soit totalement morte, il peut rester une cellule. Cela a permis aussi de constater que toutes les métastases sont également stérilisées. Sinon, on n’en avait pas la preuve formelle de cette efficacité à 100%. On ne sait pas non plus s’il ne reste pas une cellule ailleurs, une seule suffit à faire redémarrer, c’est pour cela que le médecin a poursuivi la chimiothérapie, par prudence. On ne fait pas toujours comme cela, sauf devant des tumeurs très malignes.

      • Pour compléter la réponse de G Maudrux la mutation BRCA2 expose à la récidive sur les ovaires : leur ablation par chirurgie est ici en même temps préventive. La surveillance mammaire et/ou l’ablation préventive des seins est à envisager car cette mutation concerne aussi les glandes mammaires.

        • Le traitement suivant est olapatib quotidiennement 170 euros pa jour. 60 000 euros par à la louche. Il est dcogiè dans le Vidal que ce traitement est destiné au mutations génétiques héritées du BRCA2. il se trouve que nous ne savons pas aujourd’hui, dans le cas de mon épouse, nous ne connaissons pas l’origine de la mutation. Il faut entre 6 mois et un an pour avoir la réponse de l’analyse génétique. Nous en sommes à mi parcours. Par contre l’addition sera plein pot.
          Des mars. L’étude PNBC1 démontré un effet anti rechute. Donc nous continuons.

      • “aucune preuve qu’elle soit totalement morte, il peut rester une cellule. ”
        Je comprends bien ce que vous voulez dire, mais ce raisonnement peut conduire à en enlever beaucoup plus que nécessaire et comment peut-on chirurgicalement affirmer qu’il ne reste pas une cellule maligne suffisamment maligne pour s’être planquée dans un coin imprévu ? Tailler dans le gros des troupes réduit forcément l’invasion, mais on ne peut pas tailler tout partout (alors que le système immunitaire doit le pouvoir si on réussit à le réactiver). Les spécialistes d’une discipline tendent à tout voir par le petit trou de leur lorgnette disciplinaire, et pour les chirurgiens la solution “naturelle” c’est d’opérer. Si je comprends bien le cas de cette malade (mais j’ai sûrement l’esprit tordu), elle l’était trop pour être opérée, mais dès lors qu’elle a commencée à aller mieux, elle est redevenue opérable… de quoi être un peu perplexe, non ?

        • Pour un kyste, en règle générale on va chercher les cellules mère pour éviter que le kyste ne redémarre. Alors pour un cancer, rien d’étonnant à ce que la même chose soit faite.

  20. Ce qui est certain, c’est que je n ai jamais vu un essai utilisant l. Ivermectine dans la.sclerose en plaques, en revanche, j ai vu une multitude d études sur les ac monoclonaux dans cette maladie. Molécules extrêmement onereuses. Ceci dit ces molecules ont bien amélioré le pronostic de cette maladie au prix toutefois d effets secondaires sérieux à se faire des cheveux blancs. Par ailleurs ces molécules sont surtout mises au point en agissant sur les lymphocytes. La remyelinisation de la substance blanche n intéresse pas trop les labos, je ne sais pas trop pourquoi.

  21. Merci. Lors de mes années d’activité, je lisais régulièrement les lettres au Lancet. Ces lettres publiées sans relecture pouvaient contenir les éléments intéressants que leurs auteurs avaient recueillis et mettaient à la disposition de tous. La curiosité. Un des piliers de la science.

  22. SOOLANTRA crème dermique : traitement topique de la rosacée chez l’adulte. C’est de l’Ivermectine. L’origine auto-immune des rosacées a Incité quelques médecins curieux à essayer l’ivermectine classique en comprimés dans cette indication, avec succès. Ce ne sera jamais dans l’AMM car ajouter une indication à un médicament est long et coûteux. Par contre une forme topique a été brevetée. Et même si elle reste hors AMM, les « sociétés savantes » de dermatologie en mentionnent l’efficacité. Au vu de notre ignorance devant les nombreuses maladies auto-immunes, l’ivermectine a encore de beaux jours devant elle, même si les politiques disent que c’est un remède de cheval ( pourtant remarquablement bien toléré…)

    • Je me relis et c’est pas clair :
      -SOOLANTRA crème dermique. AMM pour rosacée chez l’adulte, mais pas remboursée
      -IVERMECTINE comprimés: utilisée hors AMM dans la même indication.

    • J’ai eu oui-dire que l’homéopathie et l’ostéopathie (qui de l’acupuncture ?) étaient des remèdes de cheval aussi !

      • Généraliste suspendue puis retraitée j’ai suivi 2 de mes patientes traitées pour un K de l’ovaire métastasé par chirurgie trés lourde et chimiothérapie à qui je faisais régulièrement de l’acupuncture en accompagnement l’une une fois par mois environ au moment du renouvellement de l’arrêt de travail et l’autre moins souvent mais avec une certaine régularité pour des problèmes de sommeil et d’anxiété Elles sont en rémission totale la première depuis 14 ans et la seconde depuis 9 ans Je ne sais pas la part représentée par l’acupuncture dans cette bonne évolution personne ne peut le dire d’ailleurs mais je pense qu’elle a eu un effet bénéfique c’est d’ailleurs ce qu’elles pensent En tout cas tout j’ai toujours pensé que c’est l’ensemble des soins prodigués avec empathie par touts les soignants de bonne volonté autour du patient qui donne des résultats

  23. Ces petites phrases méprisantes qui reviennent en boucle dans la bouche des médecins: “naturellement, vous avez vu ça sur internet”, ou bien, pour vous convaincre : “si c’était ma mère je n’hésiterais pas”; Ces éléments de langage débiles ruinent leur crédibilité.

    • Ne pas oublier qu’on se connait toujours mieux que le médecin puisque nous, on vit avec nous-mêmes tous les jours depuis le tout début !
      Le médecin n’est censé combler que la fraction de nous-mêmes dont on n’a pas connaissance ou conscience !

  24. Merci docteur Maudrux pour tous vos articles que je partage systématiquement sur mon groupe Telegram.

    Je ne suis pas surprise de lire celui là ; j’ai écouté l’été 2022 le témoignage audio d’un Américain complètement handicapé à cause de la maladie de Lyme, alité, impossible de travailler et en souffrances extrêmes permanentes. Il raconte son histoire dans ce vocal ici https://t.me/DirtRoadDiscussion/1342

    Un ami lui a parlé de l’ivermectine pour chevaux, et comme il voulait en finir avec sa vie, il n’avait plus rien à perdre.

    Il a inversé ses traitements allopathiques à l’insu des infirmières qui venaient le soigner à son domicile pour se traiter à l’ivermectine pour chevaux, entre autres. Il a été 100% rétabli en quelques semaines et il leur a expliqué comment. Depuis, il informe très activement sur son canal Telegram ici https://t.me/DirtRoadDiscussion 135 fichiers audio y sont à votre disposition à ce jour, des vidéos, des témoignages, des protocoles.

    Nous sommes de plus en plus nombreux à nous soigner avec de puissants anti parasitaires accessibles facilement, complètement occultés par BP. Contactez moi par mail pour en savoir plus vers une version Francophone.

    Que votre santé soit RESPLENDISSANTE ! Bien à vous toutes et tous, Valérie.

    • Bonjour
      Je suis très intéressée par tout ce qui concerne l’Ivermectine et je ne suis pas bonne en anglais si vous pouviez m’orienter vers une version francophone je vous en serai très reconnaissante, avec mes remerciements,bien cordialement

  25. “Si on continue ainsi, demain, ce seront les patients qui soigneront les soignants ! ”
    Je crois qu’on y est déjà : ça fait des lustres la première fois que j’ai entendu dire que les médecins étaient les patients les plus difficiles à soigner !

  26. Merci beaucoup pour toutes ces références.
    Je n’ai pas cessé de vous lire depuis le début de cette crise.
    Pour les anglophones, FLCCC vient de diffuser un excellent webinar intitulé cancer and spike protein au cours duquel les medecins parlent de l’Ivermectine et autres molécules repositionnées et d’un livre recommandé par Dr Paul Marik,intitulé “How to Starve Cancer: Without Starving Yourself
    McLelland, Jane ”
    https://odysee.com/@FrontlineCovid19CriticalCareAlliance:c/Weekly_Webinar_Feb01:5

  27. Bonjour , Votre article est intéressant et j’en discute avec mon époux qui n’en pense pas grand chose pour le moment . Je suis tentée par un traitement avec cette molécule repositionnable dans le cadre de ma pathologie neurologique. D’autant plus tentée que notre petite Garance née en novembre ( de parents injectés et covidés) présentait une fracture de la clavicule inexplicable selon l’obstétricienne et qui actuellement porte une culotte de Becker suite à une découverte récente d’un décalage à la limite de la luxation. Hasard? Garance évolue bien par ailleurs. Cette molécule pourrait -elle également être utile pour des troubles inexplicables du squelette si la courbe des troubles s’avérait ascendante? Je n’ai pas trouvé d’article sur le sujet . Merci pour tout.

    • “une fracture de la clavicule inexplicable selon l’obstétricienne ”
      Voilà ce que c’est quand les parents veulent pousser leur enfant à faire du judo trop tôt ! 😉

    • Malgré tout le bien que je pense de l’ivermectine, le traitement miraculeux qui marche sur tout n’existe pas. Il y a des biologistes comme Fantini en France et d’autres qui étudient les interactions possibles, ensuite on essaye sur quelques cas, animaux ou humains. C’est ce qui a été fait dans la plupart des articles cités. Les essais sont d’autant plus faciles quand la molécule est sans dangers.
      Il y a aussi la sérendipité, comme la première expérience en France de Bernigaud. Si l’ivermectine avait été utilisée comme il se doit au cours de l’épidémie, on aurait peut-être découvert des effets inattendus. C’est en utilisant la Viagra contre l’angine de poitrine qu’on a découvert sa meilleure utilisation, mais pas en l’utilisant sur tout, “pour voir”.

        • Vu la molécule et son mode d’action, je suppose que oui, mais arrêt en cours d’étude pour passer à une autre indication. Par contre son effet vasodilatateur peut être toxique chez certains et en cas de surdosage. J’ai le souvenir dans les débuts du produit de ce roi africain mort dans son lit avec 3 femmes, il en avait un peu forcé la dose.

      • Eh bien oui merci. C’est pour cela que je cherche des articles sur l’utilisation de l’ivermectine dans les troubles du squelette et les troubles neuro😉 le Primum non nocere a toujours cours ici et ailleurs . 😇

  28. Merci pour cet article.

    Sans doute faut-il anticiper et (re)constituer un stock conséquent de cet elixir avant qu’il ne devienne impossible de s’en procurer. Déjà qu’aujourd’hui faut passer par l’étranger.

    Je croyais avoir un bon stock, mais je me suis aperçu qu’en cas de traitement ‘de cheval’ pour soigner un Covid à 0,6 mg/kg/j pendant 10 jours, pour une personne de 100 kg, ce sont 50 cachets de 12 mg qui partent !

    • Juste un sérieux problème : compte tenu de son efficacité sur les invertébrés, l’Ivermectine est très préjudiciable aux milieux aquatiques (déjà fortement impactés par les hormones contraceptives). Son emploi ne devrait donc être préconisé qu’en cas de nécessité absolue (pas simplement pour réduire d’un jour ou deux l’absentéisme au travail), et les urines et selles du “traité” ne devraient pas être rejetées dans les toilettes sans un traitement destructif au préalable de cette molécule (comme elle est organique, je pense qu’un simple traitement à la javel devrait suffire).

      • Chaque fois que je parle de l’ivermectine, ce sujet est avancé. Oui c’est toxique pour les batraciens, les bousiers et beaucoup d’espèces utiles à la nature. J’avais une fois fait le calcul avec le nombre de bovins et ovins, leur volume de déjections journaliers (impressionnant pour les bovins !), pour constater que l’utilisation humaine serait dérisoire à côté.
        Par ailleurs, j’ai fait remarquer que les rejets humains ne vont pas directement dans la nature et sont probablement dénaturés bien avant. Personnellement il m’est arrivé d’en utiliser, il y a toujours autant de bousiers et autres animaux à 6 ou 8 pattes dans mon jardin, mais dans les centaines d’hectares de vignes et de fruitiers autour de chez moi, il y a bien longtemps qu’il n’y en a plus avec tout ce qu’ils utilisent !
        Par ailleurs bovins et ovins font sur terre, pas dans l’eau. À quelques centimètres, tout va bien. Et s’il pleut, qu’est-ce qui va en terre, et dans l’eau, quelle dilution dans un ruisseau à 200 litres seconde ?
        Restent quand même des questions qui méritent réponses : sur les 6 ou 8 métabolites de l’ivermectine dégradée dans le corps, quelle toxicité ? Dans le temps, quelle survie dans une bouse ? Chez l’homme quelle action de ces métabolites dans les organismes de stations d’épuration ?

        • “il y a toujours autant de bousiers “: on peut “scientifiquement” en déduire que “l’expérimentateur” ne fait pas dans son jardin, ou alors qu’il ne prend pas de l’Ivermectine suffisamment souvent pour que cela ait un impact évident ! 😉
          Pour le reste, c’est à voir selon le contexte local (apprendre aux vaches à ne pas pisser dans le ruisseau où elles s’abreuvent ?), et le fait est que les bouses de l’été précédent sont souvent encore intactes au printemps suivant ce qui n’était pas le cas avant.

        • Si mes connaissances sont à jour, tout pousse à un usage restrictif de l’ivermectine (comme de toute chose d’ailleurs: le juste milieu, tellement oublié en Occident contemporain!):
          1) le produit n’est pas métabolisé dans notre organisme, et est éliminé tel-quel;
          2) sa rémanence dans les sols et eaux est très importante, d’où la dangerosité des usages cumulatifs évoqués dans cette rubrique pour l’humain, et déjà bien réels en élevage équin… où l”art vétérinaire” consiste en des traitements antiparasitaires tous azimuts et périodiquement renouvelés de façon SYSTEMATIQUE!
          Toute tentation d’excès devrait nous rendre méfiant au moins vis-à-vis de nous-même, et plus que tout en médecine! Souvenons-nous de Paracelse: “Tout est poison, rien n’est poison, tout est affaire de dose”.

  29. Merci Monsieur,
    J’ai élevé pendant 25 ans des chevaux avec l’aide d’un vétérinaire formidable qui parfois m’indiquait des soins à thérapie humaine issue d’usage et connaissances vétérinaires. Oui en élevage équin nous utilisons l’Ivermectine comme antiparasitaires .
    Ceci dit l’industrie pharmaceutique verrouille aussi et de plus en plus les vétérinaires et diminue les possibilités des éleveurs de soigner eux-mêmes leurs animaux. Si vous avez un bon véto, vous avez un bon médecin et de surcroît plus à l’écoute…

    • “Oui en élevage équin nous utilisons l’Ivermectine comme antiparasitaires .”
      Pas trop souvent, j’espère ! (voir plus haut).
      Il y a de gros problèmes sur les ruisseaux de montagnes avec l’élevage bovin !

  30. Moralité : il vaut mieux avoir un bon vétérinaire et être traité comme un chien quoiqu’on en pense.
    Merci de nous tenir éveillés.

    • Merci docteur pour votre article très intéressant et révélateur.Je vous cite “La médecine n’évolue pas dans le bon sens ” .Mais c’est toute la société en fait et ça ne date pas d’hier ! Ce serait à désespérer s’il n’y avait pas des hommes comme vous ,le mari dont vous parlez ici et bien d’autres .Bon courage aux hommes de bonne volonté et tenez bon !

    • @LISBONNE. OUI. Effectivement. Etre traité comme un chien par un bon vétérinaire, c’est mieux que d’être maltraité par un sot ministre de la santé atteint de cécité intellectuelle.

  31. Dr Maudrux, pouvez vous faire un rappel précis, relatant toutes les qualités de l’ivermectine, et les différents dosages, cela a fait peut être l’objet d’un blog passé, mais le faire sous forme de “dossier phare” que nous pourrions garder précieusement, svp Merci

  32. Article intéressant évidemment, j’ai déjà lu que ce traitement complètementaire était recommandé dans un article japonais .Pendant combien de temps ce collègue a t t’il donné de IVM à cette dose ?

      • Ce serait bien quand même de ne pas prendre ça plus que le temps nécessaire… à déterminer donc ! (peut-être qu’une semaine eût donné le même résultat ?)

        • Plus facile à dire qu’à faire. Dans toute ma carrière, quand j’avais un choix difficile, je me disais : “que ferais-tu si c’était toi ou ta famille”, et je savais alors ce que je devais faire.
          Ici, c’est pareil : que feriez vous, si c’était votre propre cas ? Vous avez la réponse à votre commentaire. Se donner le maximum de chance, sans prendre de risque inconsidéré, et cela passe par le consentement libre et éclairé.

          • Ma remarque était juste pour militer en faveur de tests et non d’un usage prolongé en aveugle par ignorance !
            Si son usage prolongé semble sans risque pour le patient, est-ce vraiment souhaitable, et notamment à titre “préventif” ou juste pour rassurer les hypocondriaques ?

          • Euuuh @ Mars : croyez vous vraiment qu’un femme atteinte d’un cancer de l’utérus, des ovaires, de l’endomètre, des seins soit hypocondriaque ?

          • @ Inox : vous m’avez mal compris !
            Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas traiter les malades, juste qu’il vaut mieux éviter de traiter inutilement les bien-portants car cela a quand même des effets secondaires sur l’environnement !

          • oui C est tout le problème d une amie qui a eu une grosse chimio puis chirurgie (ovaires trompes, utérus, une partie du péritoine en stade 3 Après la chimio calme pendant 3 ans puis rechute re chimio … les C125 montent doucement.. Je lui ai parlé de l’ivermectine qui pouvait se prendre en complément du taxol sans en référer au service oncologique (manifestement ce médoc leur est inconnu )… Mais blocage absolu et confiance totale au ”classique”. J ai quand même mis 100 pils 12 mg de coté au cas ou ça deviendrait désespéré et qu’elle voudrait sauter le pas… J’ai 81 ans non vax et sous ivermectine pendant la pandémie (jamais covidé) Mes 2 ascendants sont morts d un cancer Je sais quelle conduite je tiendrai si ça me tombe dessus ! Merci pour votre engagement Vous êtes un pilier de la confiance qu’on peut maintenant accordé à un bien faible % de la profession V Guerin et son association ”laissons les médecins prescrire ” aurait du avoir 240 000 adhérents…. )

        • effets secondaires sur l’environnement dus à l’ivermectine? Ne devrait-on pas plutôt considérer le effets de la vaxx covid, avec tout ce qui va avec, plus le port des masques fabriqués à des milliards d’exemplaires, et maintenant la guerre en Ukraine (j’ai même entendu un journaliste dire qu’il faudra bien un jour faire le bilan de cette pollution), et sans oublier les chemtrails, mais là, motus !

        • C’est une question que je me suis posée, mais n’ayant de réponse, j’ai décidé de rester dans les clous des études publiées sur l’administration au long cours de l’ivm en gardant 3mg/15kg. Sans effets secondaires rapportés.
          Pour info: dernier scanner: réponse complète de la maladie.

      • Bonjour docteur, sans interruption depuis le début jusqu’à maintenant et nous continuons. L’étude japonaise mentionné un effet anti rechute sur 491 patientes.
        Mer

        Bonjour Docteur,
        Bonjour Docteur.
        12mg tous les deux jours sans interruption jusqu’à ce jour. Nous continuons pour empêcher la rechute.

  33. … Et vous n’avez pas vu les gazillons de témoignages (et d’études) relatifs… au fenbendazole contre les cancers… autre antiparasite… autre molécule donnée aux animaux. beurk. 😉

    C’est un festival.

    Votre mot est juste : “démission”.

    Les médecins ont démontré, avec le cirque Covid, qu’ils étaient des clowns.

    Aujourd’hui, “soigner” son cancer avec uniquement des “chimios” c’est l’assurance de… crever. Rien de plus.

    Ne pas essayer toutes ces molécules “repositionnées”, quand on a un bon cancer aux fesses, c’est continuer à être une VICTIME, comme des centaines de millions d’individus ont été victimes du “Covid” et des “vaccins ARNm”.

    • Arrivé bien après le THIABENDAZOLE ,sans doute toujours utilisé pour traiter les agrumes ou encore badigeonner les capsules spatiales en raison de ses qualités antifongiques .Au départ c’est un antiparasitaire pour animaux dits ” de rapport ” .
      Forts de leur expérience thiabendazole ,les vétos ont tenté et fait beaucoup de choses avec l’ivermectine , certains l’ont même utilisé sur eux après séjour en Afrique et sortie de “vers “sur les chevilles et jusqu’aux genoux . Eh oui ,remarquable molécule apparue et vendue en France en mai 81 ,à destination des animaux , aucune comparaison avec un autre évènement quasi aux mêmes dates !

  34. Alors là. C’est vraiment merveilleux. D’autant que les vacc..semblent favoriser des récidives de nombreux cancers.
    Cette femme a de la chance…et nous, lecteurs du blog, aussi.
    Merci

  35. Bonjour,
    Nos gouvernants, bien suivis par leur bon peuple qui en redemande, au nom de l’argent fétiche, s’aplatissent devant la doxa évangéliste germano-étasunienne. Le seul parti d’opposition (UPR) qui défende la France et les français n’est visible que sur les médias alternatifs dits complotistes.
    Nous sommes dirigés par les pires d’entre les hommes : les pervers. Mandeville, traduit et explicité par D R Dufour dans “baise ton prochain”.
    “Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira” A de Tocqueville.
    Que faire ? Une révolution ? Nous avons coupé la tête d’un Roi quelque peu débonnaire pour le remplacer par un Empeureur qui l’était moins 9 ans plus tard.
    Cordialement

    • Désolé
      Roi décapité 21 01 1793, Empereur 18 05 1804 suite à un plébiscite. Ces 11 ans ont permis d’expliquer aux électeurs comment voter (Tocqueville).

      • En la epoca de Tocqueville aun no existia el sufragio universal.

        Probablemente los electores admitidos si que sabian a quien votar.

        Quizas a Tocqueville, en tanto que aristocrata, le preocupaba el voto de los burgueses. Solo aristocratas y burgueses se preocupan por la politica y participan activamente en ella, pero el pueblo llano, incluso el escolarizado, tan siquiera hoy en dia se interesa ni participa mucho en la politica, pero se le hace participar y se le condiciona con plena eficacia por parte de los medios de comunicacion y entretenimiento.

  36. A propos du dernier paragraphe: quand, dans un établissement, un chef pervers dirige, le résultat est que la secrétaire fait du balayage, le balayeur réceptionne les clients ou les patients, le réceptionniste traitent les factures, le comptable suggère les traitements, etc. Bref, tous les rôles sont sortis de ce qu’ils sont supposés faire. Résultat chaotique certain. Nous sommes dans un monde totalement perverti, absolument chaotique. Nous devons résister, remettre les choses au bon endroit, envers et contre tout, et surtout prendre nos responsabilités sans attendre un sauveur qui n’existe pas, ce que ce monsieur a fait. Il a pris ses responsabilités de mari attentionné. Bien lui a pris. Qu’il nous serve d’exemple.
    Je ne peux résister à l’envie de raconter l’anecdote suivante: dans un grand magasin réputé de Sydney où je séjourne actuellement, on est accueilli « majestueusement » par un tapis arc-en-ciel qui monte vers des miroirs et clame l’accueil du monde entier dans un esprit de Pride (fierté) qui est une allusion à la Pride, un défilé LGBTetc. qui aura lieu le jour de « Mardi Gras » comme on dit ici). Des mannequins en robes scintillantes, portant un petit sac à main tout aussi scintillant, à la tête d’homme, le sexe bien affiché sous les tissus, dans des positions pour le moins équivoques nous accueillent dans les vitrines. Je monte au rayon maillot de bain, veux en essayer quelques uns et recevoir l’avis de mon mari qui m’accompagne. A notre grande surprise, il est éjecté. Pas possible qu’il reste avec moi, le couloir des cabines, toutes bien équipées de rideaux permettant de soustraire de tout regard ce qui se passe dedans, est absolument interdit d’accès à tout homme… On a bien ri, demandé ce qu’ils font quand on est avec une personne du type « Pride ». Pas de réponse, on ne sait pas. On est reparti sans achat.

  37. La médecine est devenue industrie médicale, dire de santé serait abusif, dont l’objectif n’est ni de prévenir, ni de guérir. Dans les pays soumis à la financiarisation au moins. Le salut viendra peut-être des pays émergents, qui sont plus proches du monde réel, si nous les laissons se développer sur des voies plus raisonnables. Le professeur Raoult, qui continue de prêcher pour le repositionnement des molécules miraculeuses comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, est convaincu du potentiel de recherche médicale en Afrique. Le multilatéralisme, c’est aussi des pays qui ne suivent pas tous les mêmes politiques délétères. Le monde sera peut-être sauvé grâce à eux. Vive l’ivermectine !

Les commentaires sont fermés.