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Neuf Israéliens sur dix ont refusé la quatrième injection en vente depuis le 2 janvier 2022

Nombreuses sont les personnes déstabilisées par les affrontements entre spécialistes assénant leurs paroles d’experts sur la COVID.

Nombreuses sont les personnes dans divers métiers habituées à lire des graphiques.

Nombreuses sont les personnes comprenant qu’une action va entraîner une réaction.

La chronologie construit la rigueur, l’expérience, la sagesse, c’est une banalité qu’il est utile de rappeler. Elle est indissociable des sciences humaines établies sur l’observation des évènements, leur(s) analyse(s), leurs enseignements, leurs finalités. 

Quelle est l’information que toute personne injectée est en droit d’attendre et de connaître : l’effet d’un vaccin en vie réelle.

Il n’est pas nécessaire de comprendre le fonctionnement d’un moteur de voiture pour se déplacer. Pour un simple consommateur, cela s’entend, il n’est pas nécessaire de connaitre la médecine et d’autres matières scientifiques pour apprécier l’efficacité d’un vaccin.

Un vaccin efficace contre les formes graves entrainera forcément une réaction, un effet visible sur des catégories comme les malades, et plus encore sur les admissions à l’hôpital ; les passages en soins critiques ; les décès.

À partir de la chronologie des évènements, établie à l’aide de graphiques regroupant des informations essentielles sur les actions des injections et leurs réactions, sur un intervalle d’au moins six cent jours pour les injections et plus pour l’épidémie, il est possible d’évaluer à postériori certaines « vérités » et mensonges assénés, de part et d’autre… 

Les graphiques sont redondants afin d’en faciliter l’accessibilité, la lecture. Vous êtes invité à observer par vous-même, libre à vous de contredire, d’abonder, de nuancer les commentaires ajoutés à la fin ! Très nombreuses sont les personnes de bonne foi, habitées par de belles intentions, quel que soit leur point de vue.

Injections vaccinales depuis le 20 décembre 2020. Au 17 octobre 2022, le total des quatrièmes doses injectées depuis le 1er janvier 2022 ne représente que 9% des Israéliens, dont une portion congrue de 1% sur les sept derniers mois. Les doses N°1 et N°2 peuvent être considérées comme incluses dans la première campagne vaccinale : elles sont peu éloignées et indispensables pour obtenir l’immunité initiale.
Voici l’épidémie depuis son début au mois de mars 2020. Les graphiques qui suivent sont limités à l’intervalle allant du 20 décembre 2020 jusqu’au 17 octobre 2022, cette période regroupe les différentes campagnes de vaccination. Sur l’ensemble des graphiques, l’axe des ordonnées à gauche précise les quantités injectées de vaccins. Celui ci-dessus retrace les décès attribués à la COVID-19, l’échelle à droite précise les valeurs. Les courbes sont établies à partir de moyennes sur sept jours. 
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19 et hospitalisés en conséquence. 
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19, puis hospitalisés, puis admis en soins critiques…
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux décès attribués à la COVID…
Ce graphique peut sembler plus facile à lire pour certains. Le total journalier des doses est retiré.
Ce graphique affiche la surmortalité toutes causes confondues. Sur les graphiques qui suivent, l’intervalle est réduit allant du 15 mars 2022 jusqu’au 17 octobre…
La première période d’injection des doses N°4, commencée le 2 janvier 2022, s’achève pratiquement le 15 mars. Cette étape correspond à un premier point bas visible sur la courbe correspondante. Trois cycles suivants sont perceptibles, bornés également par des points bas d’injections : environ du 16 mars au 7 mai ; du 8 mai au 7 juin ; du 8 juin au 21 septembre.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19. N’oubliez pas de comparer les quantités entre les injections et les malades.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades infectés par la COVID puis admis en hospitalisation.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades hospitalisés, infectés par la COVID, puis admis en soins critiques.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux décès attribués à la COVID.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent à la surmortalité toutes causes confondues. Le graphique suivant est fourni par l’état Israélien.
En ordonnée, les valeurs représentent uniquement les quantités des doses, elles sont faibles. Les variations de la courbe donnant le total des doses covarient avec les quatrièmes doses majoritairement administrées. 

En résumé :

Ce graphique est établi d’après le rapport entre les décès attribués à la COVID et le nombre de doses, au fil des campagnes de vaccination. Les enseignements tirés, de la première campagne (doses N°1+N°2) puis de la deuxième (doses N°3), sont pris en compte afin d’isoler le mieux possible les effets de la troisième campagne (doses N°4).

À l’introduction de la première campagne de vaccination (doses N°1 + doses N°2), la mortalité attribuée à la COVID et la surmortalité apparaissent. Pour les campagnes suivantes, une observation identique est constatée, les « coïncidences » s’enchainent. C’est un effet « simple peine ». Il faut attendre la première dose de rappel pour en apprécier d’autres. 

Une coïncidence supplémentaire, dès la deuxième campagne (dose N°3), semble apparaître : un effet « double peine », caractérisé par le fait que de moins en moins de doses sont accompagnées par de plus en plus de morts, confirmée par la troisième campagne.

À l’introduction de la dose N°4, une autre observation est plus aisée : un décalage dans le temps. Il est caractérisé par la prolongation de la mortalité attribuée à la COVID et de la surmortalité qui va s’étaler de plus en plus après la baisse des injections, c’est un « effet triple peine ».

« L’effet triple peine » est-il encore démultiplié à partir du 6 juin 2022 ?  La quantité des doses journalières est-elle de plus en plus faible avec de plus en plus d’efficacité dans la mortalité étirée dans le temps ?

La proportion entre mortalité et surmortalité reste synchrone dans ses débuts avec les débuts des campagnes des injections, mais dans des proportions variables.

 Est-ce un problème de choix, d’attribution des décès ?

 Est-ce une létalité versatile suivant les excipients, les variants ciblés de la COVID, les associations avec d’autres vaccins contre la grippe, la variole du singe, ou autres ?

 Ou bien, est-ce l’administration de certains traitements conjointement aux injections ? 

Certaines doses ont-elles des effets délétères plus que d’autres (chocs anaphylactiques, embolies vasculaires, ruptures d’anévrismes, arrêts cardiaques autres, etc.) ? 

 Est-ce une catégorie de population ciblée suivant les comorbidités, l’âge, le sexe, les caractéristiques génétiques ?

 Les effets délétères sont-ils anticipés, tant bien que mal, par la suspension quasi-totale des injections au fil des campagnes ?

Moins vous injectez de doses, moins l’avenir s’assombrit ? Plus vous injectez de doses, plus l’épidémie explose ? 

L’impression ressentie est qu’à chaque nouvelle phase d’injection des doses N°4 au cours de l’année 2022, certains attendent de laisser retomber la mortalité avant de recommencer, pour être sûr de bien dénombrer les « effets », les « bénéfices » attendus.

Existe-t-il une méthodologie ?

Les injections sont efficaces dans quel domaine ? 

Comment va évoluer la situation, vers un placebo, discrètement ? 

Sommes-nous à la fin de l’épidémie ? Est-ce la fin du scénario ? 

Quelle version du vaccin préfériez-vous recevoir, si l’on vous laissait le choix ? 

Ou bien, sont-ce simplement des élucubrations fantaisistes, complotistes, sans lien de causalité établi ?

 Faut-il attendre la N° 5, suave, envoutante, capitonnée ?

Les covariations s’accumulent, jonchées de vies interrompues.

Nous tenons à rappeler que tout ceci n’est que fiction, sans aucun lien avec des souffrances, des victimes ayant réellement existé.

Et supplément :

SOURCE

ETUDE COMPLÈTE SUR ISRAËL ET VACCINS

Antido

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38 commentaires

  1. Bonjour,
    Comme exposé en introduction de cet article, nul besoin d’être un garagiste pour faire avancer une voiture! Ou de voir s’il est en panne ou pas… Or, il est une chose que tout un chacun a pu remarquer , même sans y faire attention, c’est que le vaccin n’est pas efficace du tout… En effet, remplacez le mot vaccin par médicament et dites : prenez ce médicament et vous ne serez pas malade… Ça dure une fois, car jamais ce médicament ne vous empêche d’être malade… Puis: il évite les formes graves , en fait c’est fini il ne vous empêche pas (on vous a eue!) d’être malade … La vous avez malgres tout, un bon nombre de consciences qui s’éveillent (pas toutes)! Et qui se demandent comment diable un médicament vaccin , vendu pour vous empêcher d’attraper une maladie , et est inefficace au possible , peut il vous éviter les formes graves mais pas la maladie elle même…. En gros , certains se disent , bon vous m’avez eue une fois, mais pas deux! Certains autres ce disent , je me suis fait avoir une fois , mais peut être encore je vais essayer une autre fois, et là, ils se disent bon ok maintenant c’est fini , je le suis fait berner! Donc tous ces graphiques montrent de manière rigoureuse que ce vaccin est une supercherie quand à son efficacité ! Supercherie dévoilée naturellement grâce aux constatations et au bon sens! Mais le plus intéressant , qui est réellement difficile à constater tant il est caché, c’est le lien entre mortalité, surmortalité toutes causes et vaccination COVID! Là, ces graphiques parlent aussi et montrent l horreur! Il ne peut y avoir coïncidence 3 ou 4 fois d’affilées… Comme je dis souvent , une fois c’est un accident , deux fois c’est pas de chances ,trois fois c’est fait exprès !

  2. Très bel article…a quand les réponses officielles à toutes ces questions!!!
    Et dire qu ils autorisent la vaccination covid aux enfants à partir de 6 mois…
    E suis pas totalement “objective”, mais franchement, ils n ont honte de rien…ils = l’Europe…

  3. Question avenir ILS ont décidé… jusqu’au bout.
    Et c’est là, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, que j’aimerais être sénégalais avec l’accent généreux et le simple bon sens : QUI VEUT AVALER UNE NOIX DE COCO DOIT FAIRE CONFIANCE À SON ANUS !
    https://twitter.com/LLP_Le_Vrai/status/1582126479172718592?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1582126479172718592%7Ctwgr%5E2e9ad456342f4dace1a97d2c219bc8457ddbeec3%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fjbl1960blog.wordpress.com%2F2022%2F10%2F18%2Fla-politique-du-post-anarchisme-par-saul-newman-2010-traduction-r71-version-pdf-jbl1960-octobre-2022%2Fcomment-page-1%2Fcomments
    Voilà voilà Tedros…Tedros-lement dans la M* plus personne en veut de cette injection.

  4. Merci Antido et aussi aux chercheurs israeliens qui publient ces constatations a posteriori afin d’essayer de mieux comprendre pour l’avenir…

  5. Les deux études côte à côte Israël/global sont vraiment parlantes, au possible bémol de la recolte des données dans chaque pays. Quels qu’ils soient, elle est entachée de mauvaise foi, et éventuellement d’incapacité.
    Toutefois, les écarts étant énormes, quitte à les restreindre donc, on arrive tout de même, surtout avec l’exemple israélien, à la nocivité des injections dites vaccinales.
    C’est vraiment un très beau travail, à primer , étudier et garder.
    Merci

    Une question.
    Pays le plus vacc : est ce le plus de doses par million d’habitants, ou le plus de personnes ” à jour” de leurs vaccination
    *idem pour le moins cela va sans dire)

  6. Je vis en Israël. Pratiquement plus de cas , sinon sporadiques( ce qui est étonnant vu la grande contagiosité des nouveaux virus )et bénins ( syndrome grippal,trachéite,pharyngite).
    Pr Cyrille Cohen ,chef de service en immunologie et immunothérapie,a déclaré récemment sur I24 que la maladie n’était plus dangereuse,sauf pour sujets à risque à vacciner ,qu’ il fallait s’attendre à être tous infectés et même plusieurs fois.
    2 remarques :
    1/Pr Raoult avait rappelé depuis le début que l’immunité conférée par les infections à Corona étaient de courte durée,et qu’ on pouvait s’attendre à la même chose avec celui-là.
    2/Vacciner les sujets à risque,peut-être ( et heureusement ,si on peut dire ,ce sont en général eux qui développent une mauvaise réponse immunitaire),mais c’est ignorer délibérément le problème de l’ “immune imprinting” traduit joliment en français par “ péché antigénique originel . Auquel cas on ferait plus de mal que de bien ,en croyant bien faire!

    • le début du doc était un peu longuet mais la suite est incroyable par les infos diffusées sur “une chaine de grande écoute “. Je ne pensais pas que cela pourrait être diffusé !!!

      • ARTE est une chaîne Franco-Allemande, plutôt … Allemande. Peut-être qu’outre-Rhin ça bouge un peu plus que chez nous. De mémoire un grand journal a fait son mea culpa public, il y a déjà un moment, il me semble.
        Il serait d’ailleurs peut-être intéressant d’éplucher les stats. de ce pays, tout comme pour Israël; ça peut éventuellement être instructif.

    • Une émission que Véran et Braun devraient regarder….Hallucinant d’avoir été si loin dans l’absurdité des décisions prises. Tout a été fait à l’inverse des expériences et du savoir acquit depuis 100 ans!

  7. Bonjour, depuis plusieurs mois que j’observe et recoupe les rapports de ceux qui analysent les données du VAERS (corrigées du “facteur URF” = de sous-représentation, qui serait autour de 30) ou les témoignages de médecins de ville ou d’hôpitaux qui ont bien voulu parler, ou les rapports de biostatisticiens qui ont examiné les données DMED, témoignages de coroners, d’assureurs, etc,… Il semble en conclusion que les ordres de grandeur de toxicité soient autour de 1 décès pour 1000 injections et de 1 invalidité (ou EIG) pour 100 injection pour les vaccins à ARNm, PEGylés ou non.
    Je me pose la question : est ce qu’on a une idée des chiffres de toxicité pour les produits non-ARN sur le marché en Asie, Russie ou ailleurs dans le monde: sinovac-coronavac (à virus inactivé), spoutnik (à vecteur viral) ? Est ce que a priori c’est comparable aux vaccins grippe, DTP, etc?
    Merci

  8. Trop de graphiques nuit.
    😉

    Que penser du “cas” Israélien ?… Rien à part “vaccinobide”, “injectofoirage”, “dosacatastrophe”.

    Je dis “rien”, car nous le savons : toutes les données sont pourries jusqu’à la moëlle (sauf le nombre de doses).

    -c’est quoi une “hospitalisation Covid” ?
    -c’est quoi un “mort du Covid” ?
    -c’est quoi un “cas Covid” ?

    Il suffit de rappeler cette donnée, pourtant très simple en apparence : le nombre de covimorts par million.

    USA = 3 225
    Thaïlande = 468
    Chine = 4

    https://www.worldometers.info/coronavirus/

    On voit bien que cela n’a AUCUN SENS. 🙂

    Pire encore : non seulement ces données varient extraordinairement d’un pays à l’autre… mais elles varient aussi sur le temps dans chaque pays…

    Bref, retour au sujet.

    Le produit Pfizer est :
    -frauduleux
    -inutile pour une très large partie de la population
    -peu efficace
    -dangereux
    -cher

    Voilà tout ce qu’on peut dire, de manière… certaine.

    • Et encore, je suppose que, comme moi, vous avez compris que les covimorts ne l’ont été que par absence de soin.
      Tous les médecins qui ont désobéi et soigné les covidés ont TOUS fait zero mort, même pour leurs malades âgés ET comorbides !

      • Il faut le dire haut et fort!Je dis souvent aux injectés et infectés moralement:”Si on avait soigné les malades,ils ne seraient pas morts “. Simple bon sens que l’on a fourré sous le tapis.Quand j’ai demandé au gentil infirmier qui m’encourageait à me faire vaxx ( à mon âge etc) car lui avait été très malade ,”Est ce que vous avez été soigné?”, il est resté bouche ouverte avant de convenir que non,il n’avait pas été soigné…J’espère l’avoir fait réfléchir car il était de bonne foi.

        • pas toujours facile de le leur faire admettre, j’ai le cas de l’infirmier qui vient me refaire les pansements (ça va mieux pour moi… ) Il ne veut même plus en entendre parler. Je lui avais pourtant demandé si les morts covids dont il me parlait avaient été soignés avant de s’aggraver.. mais pas de réponse !

    • Les autres aussi d’ailleurs. Et BioN’Tech qui pérore sur des vaccins anti cancers à ARNm d’ici 2030… Comme le disait si bien Michel Colucci “je demande à voir!”

      Perso: ils se moquent des malades de manière totalement décomplexée, ça fait peur.

    • à postériori, sans aucun danger pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires, et 100% efficace pour ceux qui n’ont pas eu le covid !!!