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Covid : les réas bientôt vides grâce au ruxolitinib ?

Dès mars, faute de traitement, j’avais dit qu’il fallait rapidement vérifier toutes les informations qui sortaient concernant les essais ici et là de médicaments existants. Raoult a essayé HCQ, il a été traîné dans la boue par les autorités et des confrères au lieu d’essayer de reproduire (en ambulatoire) ses constatations. Nombre de médecins de ville, après avoir constaté qu’ils avaient depuis 2 mois traité des Covids sans le savoir avec de l’AZI, avec succès, quand ils ont voulu le faire savoir, l’Ordre les a fait taire.

L’Agence Nationale du Médicament, qui aurait dû piloter cela, a failli, son directeur vient d’être débarqué, mais ce n’est pas suffisant, ce sont les esprits, les méthodes qu’il faut débarquer.  Avec le Conseil Scientifique ils ont accusé des médicaments inoffensifs d’être plus dangereux que le Covid, ils ont applaudi Mehra sans l’avoir lu, ils ont autorisé un médicament dangereux et inefficace (Remdesivir), ils ont autorisé le Rivotril pour soulager/achever les patients sans leur donner aucune chance avant en essayant un traitement, qui pouvait peut-être marcher. Qu’est-ce que cela aurait coûté d’essayer, même si la chance était infime ?

Alors que chez nous on n’essaye même plus, de peur d’être mis au ban de la société, pendant ce temps, ailleurs, on essaye ce qui pourrait marcher. Du côté de l’Asie et de l’Amérique du Sud, Ivermectine fait sa percée, mais c’est surtout chez nos voisins italiens que je me tourne aujourd’hui. Ils semblent avoir diminué la mortalité de 70 % !

La démarche est on ne peut plus logique, donc hors de portée de nos élites. Qu’est ce qui tue dans le Covid ? Pas le virus, mais l’orage cytokinique. Le SRAS-CoV-2 est une maladie en deux temps, avec une première phase pseudo-grippale, suivie d’une maladie pulmonaire et systémique, dans laquelle une tempête de cytokines dérégulée entraîne une détresse respiratoire aiguë pouvant être mortelle. C’est une réaction de défense naturelle mais excessive. 

Alors cherchons si nous n’avons pas de maladie connue, qui produit ces cytokines, et des médicaments qui bloquent ou pourraient bloquer ces cytokines.

Il y a peut-être une maladie orpheline, la myélofibrose, qu’elle soit primitive (myélofibrose chronique idiopathique), ou secondaire à la maladie de Vaquez ou à la thrombocytémie essentielle. Cette myélofibrose est une sorte de cancer myéloprolifératif connu pour être associé à une dérégulation de certains enzymes, les Janus kinase (Janus kinases JAK1 et JAK2), impliquées dans la signalisation de différents facteurs de croissance et cytokines qui sont importants pour l’hématopoïèse et la fonction immunitaire. En plus simple, elle est associée à une hypersécrétion de cytokines, que l’on retrouve dans le Covid. 

Cette maladie n’a qu’un traitement, le ruxolitinib. Ce médicament orphelin, le Jakavi, est autorisé chez nous depuis 2013, suite à un avis favorable de la commission de transparence de janvier de la même année. Il inhibe ces Janus Kinases liées aux récepteurs de l’inflammation présents sur les cellules du système immunitaire. Il peut donc réduire la libération de cytokines pro-inflammatoires impliquées dans le développement de la maladie systémique secondaire au Covid.

Les médecins de la polyclinique San Marco de Bergame ont publié une étude qu’ils ont mené sur ruxolitinib associé aux corticoïdes, chez des patients atteints de pneumopathie sévère à Sars-Cov-2. 75 patients ont été traités et comparés à 43 autres présentant les mêmes troubles et traités avec antiviraux et cortisone. Il a été constaté dans le groupe traité une réduction importante de l’activité inflammatoire, très supérieure à celle du second groupe, et surtout il y a eu chute de 70% de la mortalité.

Survie des patients traités et non traités à Bergame,
la mortalité passe de 45% à un peu plus de 10%

D’autres études ont été faites à l’Université de Sienne, avec les mêmes constatations, ainsi qu’en Allemagne. Plusieurs études sont en cours de par le monde. Selon tous ces chercheurs, la combinaison de ruxolitinib et de cortisone peut réduire avec succès la réponse immunitaire excessive, empêchant la progression des lésions pulmonaires, réduit les intubations et les complications qui causent le plus souvent la mort du patient. Le ruxolitinib est le premier médicament à être approuvé par l’ANSM italienne dans le cadre d’un protocole d’utilisation compassionnelle pour les patients atteints de Covid-19. 

Le ruxolitinib est cher, comme tous les médicaments orphelins (très peu de prescriptions pour amortir les frais), s’il devient courant, ce n’est plus le même prix. Il est peu toxique. L’effet secondaire le plus fréquent est une thrombopénie (baisse des plaquettes, parfois aussi des globules rouges et blancs), qui régresse dès l’arrêt, n’interdisant pas la reprise du traitement une fois les taux remontés. De plus c’est dans les traitements au long cours.

Avec le protocole suivant : en phase précoce, AZI, Iver ou HCQ pour diminuer la charge virale le temps que l’organisme organise ses défenses, et pour ceux qui arrivent trop tard, le RUX = moins de morts que la grippe saisonnière, sans vaccin et sans confinement. Le premier frein ? l’ANSM qui bloque tout sauf le Remdesivir et le Rivotril ?

Gérard Maudrux

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100 commentaires

    • Discovery ? J’ai demandé à une élue. Cela devient le rôle des élus de demander les résultats de cette étude financée par le contribuable qui a le droit de savoir. J’ai même proposé une enquête parlementaire pour aller voir directement les résultats afin qu’ils ne soient pas trafiqués, car connus depuis 6 mois et non publiés cache sans doute quelque chose.

      • Oui décidément docteur ils font tout pour nous rendre complotistes. Aucune transparence chez ces gens la. Forcément qu ils nous cachent beaucoup de choses. J espère une seule chose c est que a la fin de cette sombre période la justice ait raison d eux en leurs infligeant de lourdes sanctions.

  1. Le protocole a été étudié par l’IHU de Marseille, mais je ne sais pas s’ils ont de nouveaux résultats, la vidéo date de mi-octobre.
    https: //www.youtube.com/watch?v=vU4qVV8F8mg

  2. a l’attention de C Desmaris

    ci dessous extrait de la déclaration du professeur PERRONNE que vous avez bien voulu nous transmettre et je vous en remercie.

    “Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05%” ?

    pouvez vous me préciser, (vous ou le Dr Maudrux), de quel taux il s’agit ?
    taux de mortalité de tous les testés covid ?
    taux de mortalité des hospitalisés covid ?
    taux de mortalité des hospitalisés covid avec facteur de comorbidité ?
    il eut été intéressant également de citer d’autres chiffres.
    par exemple ; taux de mortalité du à la grippe, au tabac, à l’alcool etc …
    Dans les hospitalisés, les autorités de santé font elles la distinction entre un malade de la covid et un malade d’une grippe ?
    je ne suis pas médecin, mais je me méfie des chiffres qui sont publiés “exnihilo”.
    Merci à tous les intervenants, qui apportent des informations et des reflexions pertinentes et surtout dans le respect.
    cordialement

    • A priori, avec ce taux bas, il évoque l’inutilité de vacciner toutes les personnes en dessous de ce taux, c’est à dire tous les moins de 50-60 ans, sans co-morbidité, soit une bonne proportion de la population. Cf en dessous la déclaration de l’Ex VP de Pfizzer qui le dit autrement. Donc éliminez les anciens, les hospitalisés,.. Pour ce qui est de la grippe saisonnière, elle fait 10 fois plus de décès chez les moins de 15 ans que le Covid. Alors faire prendre des risques de vaccins à ces populations ? Et si on ne les vaccine pas, le vaccin n’empêchera pas l’épidémie, ne faisant que protéger les vaccinés.

    • Taux de mortalité : Population totale/décès. Il augmente avec chaque vague de décès, mais extrêmement peu. Aujourd’hui, il est de 0,07% environ.
      Taux de létalité : Nombre de malades/décès. Dans cette maladie, il diminue de façon spectaculaire parce qu’on teste désormais massivement, et parce que le “réservoir” de victimes potentielles (grand âge, grands malades) est stable, voire en diminution (et pour cause). Aujourd’hui, ce taux est de 2,86%.
      Beaucoup de gens, surtout les journalistes et les politiques, s’emmêlent les pinceaux entre ces deux notions. Et pas mal de scientifiques, dans leur discours, oublient de marquer la différence, pourtant capitale. Appliquer le taux de létalité à la population totale (par exemple) donne un résultat monstrueusement surestimé.

  3. « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains ». Ces propos sont ceux de Michael Yeadon, ancien Vice Président de Pfizzer.

    • Bonjour,
      Juste une question sans aucune polémique, pédiatre retraité 65 ans, encore actif en PMI (vacataire), HTA et un petit AVC récent sans ( trop) de séquelles…Je pense de faire vacciner, mais je comprends qu’un jeune en pleine santé ( – de 50 ans) considère que le risque d’une forme grave chez lui soit voisin d’un risque d’un effet indésirable d’un vaccin…
      Et vous chers collègues pensez vous vous vacciner?

      • J’ai déjà répondu : non. Maintenant, avec plusieurs comorbidités, on peut en discuter cas par cas, avec une très nette préférence pour les vaccins classiques non Arn tant qu’on n’a pas plus de recul.

        • Bonjour,
          Je suis bien de votre avis, mais il y a un paradoxe: car les vaccins classiques seront disponibles dans 6 mois, date à laquelle on aura peut-être un peu de recul sur les vaccins à ARNm, alors que pour les vaccins classiques il n’y aura pas définition aucun recul……, donc en toute logique il faudra attendre 6 mois de plus et si ça se trouve, en fin 2021 la pandémie ne sera plus qu’un mauvais souvenir ?

  4. D’après ce que j’ai lu sur les essais de Moderna (sans noter le site, hélas) sur une cohorte de 191 sujets, aucun de ceux qui ont reçu le “vaccin” n’a développé de forme grave. En revanche, trente participants du bras placébo en ont eu une. Il faudrait plus de détails, et je vais m’atteler à en trouver, mais le chiffre du bras placébo m’interpelle. Où sont-ils allés chercher leurs participants ? Le ratio nombre de cas/forme grave est bien plus bas que ça. Quelqu’un aurait des lumières ?

    • Finalement, Raoult a raison c’est vraiment dangereux de faire une injection intraveineuse avec un placebo…
      Compte tenu des intérêt financiers en jeux on peut se poser des questions sur la qualité des études de Phase 3 complètement menées par les laboratoires pharmaceutiques. La randomisation est de la poudre aux yeux lancée à la figure des naïfs qui pensent qu’ils n’existe pas d’autres façons de tricher.

  5. PEUT-ON AUSSI TRAITER LES PNEUMONIES DU COVID-19 PAR LES ANTICOAGULANTS ?
    Gérard B. médecin homéopathe retraité (Texte envoyés en mars 2020 au Quotidien des Médecins)
    Dans les années 1960-1964, Mr le Pr René SARIC, à l’Hôpital Saint-André de BORDEAUX, avait eu une intuition lumineuse: donner de l’héparine et/ou du thromexane , à trois malades âgés qui étaient en train de mourir des complications d’une grippe, malgré les antibiotiques, les tonicardiaques et les déplétifs circulatoires. En quelques jours ou quelques semaines, ils émergèrent tous les trois d’une mort certaine. Mon maître, le Pr SARIC, chez qui je fus Externe des Hôpitaux durant 2 ans, me confia la rédaction d’une thèse de doctorat en médecine pour relater ces trois observations .
    La physio-pathologie des thromboses (triade de Virchow) enseigne que l’inflammation est un des principaux facteurs de l’hypercoagulabilité sanguine. On peut donc supposer que la violente inflammation due à l’infection virale, qui assaille les tissus pulmonaires, des bronches jusqu’aux alvéoles, – ne soit génératrice de phénomènes thrombotiques in situ -, précoces, disséminés et extensifs. Dès le tout début de l’atteinte virale(scanner),les lésions cellulaires, notamment des endothéliums vasculaires, pourraient être le point d’insertion des thrombus, qui renforceraient les facteurs d’aggravation clinique déjà reconnus comme l’orage ou tempête cytokinique. On l’interprète comme une hyper réaction du système immunitaire, un emballement qui, épuise l’organisme ; ils font penser aux blessés de la guerre d’Indochine du Pr Henri LABORIT.
    ( Autre texte envoyés en avril 2020 au Quotidien des Médecins)
    Un malade atteint du Covid-19 pourquoi rentre-t-il en détresse respiratoire, sous l’influence de l’inflammation due à ce virus hyper agressif ? Ce virus à progressé des zones respiratoires hautes : nez et oropharynx, passant par les bronches souches, lobaires, segmentaires et arrivant aux extrêmes bronchioles, il pénètre au niveau ultime de sa progression dans les alvéoles pulmonaires. Ces alvéoles pulmonaires sont tapissées d’un réseau serré de capillaires, terminus de l’artère pulmonaire venant du cœur droit. C’est là qu’ont lieu les échanges gazeux : absorption de l’oxygène par les globules rouges et rejet du CO2 par l’air expiré, quand tout va bien.
    Mais le virus est arrivé dans les alvéoles pulmonaires, là il attaque les endothéliums vasculaires fragiles des artérioles, capillaires et veinules du poumon, – au tout début de la phase clinique -, bien avant tous les autres organes. Au niveau d’une blessure de cet endothélium viennent aussitôt marginer les plaquettes qui s’agglutinent ; une protéine : la fibrine se dépose en réseau agglutinant tous cet ensemble pour former un caillot plus ou moins imperméable adhérent à la paroi vasculaire et obstruant en partie ou complètement la circulation.
    Si le poumon est le premier organe « servi par le virus », c’est aussi un organe dans lequel la circulation du sang venant du cœur droit, – est par unité de temps , égale volume pour volume -, à la circulation systémique assurée par le cœur gauche. Donc, la moindre obstruction, même partielle de ce flux circulatoire pulmonaire sera la cause de perturbations majeures de la circulation systémique dont dépend le métabolisme de tous les organes du corps.
    Quelques exemples des troubles occasionnés par cette pathologie : Hypotension : fonction rénale perturbée, anurie, etc. ; hypoxie (baisse de la pression partielle de l’oxygène) : pénurie métabolique viscérale généralisée ; hypercapnie : elle engendre une polypnée ; elle est enregistrée par les centres de régulation respiratoire du tronc cérébral, ce qui est perçu par le patient comme un étouffement , dont témoigne le regard angoissé et tragique des malades tant qu’ils sont conscients . A ceci s’ajoute une fatigue du cœur droit qui lutte contre les obstructions du champ circulatoire pulmonaire: d’où tachycardie précoce (pouls > 130/ min. sans rapport avec la température), troubles électro cardiographiques… , etc.. Je ne parle pas du foie notre laboratoire chimique. Il a pu être « dopé » par quelques pastilles de Doliprane, qui en supprimant l’hyperthermie désactive les réactions bénéfiques du système immunitaire. Le foie de ce patient très gravement atteint va bientôt métaboliser quelques molécules d’un protocole à l’essai, qui comme toute substance médicamenteuse possède un potentiel toxique. C’est ce que disait à la télévision un représentant de la HAS : les remèdes chimiques provoquent tous des effets secondaires indésirables, (souvent dangereux).
    Conclusion : comment ne voulez-vous pas aboutir à une défaillance poly viscérale terminale?
    Ce tableau pathologique n’est pas imaginaire. Des autopsies pratiquées d’abord en Allemagne et en Italie dès le début de la crise, ainsi qu’en France aux CHU de Besançon, Strasbourg, Lille, et d’autres, ont authentifié la réalité de ces caillots sanguins qui envahissent le poumon, et qui ne sont pas des embolies des branches de l’artère pulmonaire provenant d’une phlébothrombose des membres inférieurs. En outre, certains CHU décrivent des atteintes polymorphes comportant la formation de thromboses in situ dans plusieurs autres organes atteints en dernier. Au niveau du poumon, certains auteurs ont décrit une genèse de néo-vaisseaux selon un processus complexe. Cette angiogenèse procède par bourgeonnement (sprouting, en anglais), autrement dit des cellules endothéliales prolifèrent à partir des extrémités et des parois latérales des vaisseaux préexistants, migrent et s’organisent en structures tubulaires qui se connectent aux vaisseaux voisins. Les chercheurs ont certes observé ce phénomène dans le poumon de patients Covid-19. Mais ils ont surtout remarqué qu’une angiogenèse d’un deuxième type se produisait : dite : « angiogenèse par intussusception ».
    Or selon une réanimatrice universitaire pour la surveillance de la coagulation des patients, on mesure le taux des D dimères : Cut/off 3000 ui ; au dessous c’est préventif, au dessus c’est curatif. Sachant que les D dimères sont des protéines qui proviennent de la décomposition de la fibrine, la question se pose de savoir si cette fibrine qui se décompose c’est celle d’une éventuelle thrombose postphlébitique, ou bien celle des caillots du poumon . Dans le premier cas, on peut déclencher un traitement protecteur du poumon en augmentant les doses d’anticoagulants, dans l’autre hypothèse, le patient a la malchance d’illustrer le tableau pathologique décrit plus haut, le caillot ayant eu le temps d’accomplir tous ses méfaits pathologiques.
    Conclusion : le dogme de l’embolie des artères pulmonaires qui était prévalent au printemps dernier, à pu être la cause de retards d’un traitement anticoagulant précoce et efficace, tant que l’inflammation n’était pas jugulée par des médicaments. Certains, dont on a beaucoup parlé, dont l’effet anti- inflammatoire prédominant en début de maladie freinait probablement l’hyper coagulation du sang. Enfin le dernier qu’on vient de redécouvrir la dexaméthasone. N’étaient-ils pas tous dans les armoires des pharmaciens dès le début de l’épidémie ?

    • Très intéressant. Si ceci est exact, quid d’une recommandation d’administration (raisonnable évidemment) d’aspirine au lieu du paracétamol dès les premiers symptômes? Ce culte du Doliprane en France, qui aura -quand même, il faut le dire!- surenrichi Sanofi en 2020 de plusieurs milliards € n’a-t-il pas, aussi, empiré la situation? Tout le monde a souri et ironisé sur l’innocuité du doliprane, son inefficacité etc. Sauf que personne n’a dit qu’il a pris la place d’une aspirine qui aurait pu avoir un (léger) rôle sur la maladie.
      Ou bien les propriétés anticoagulantes de l’aspirine n’auraient-elles eu aucun intérêt?

      • L’aspirine n’a pas de propriétés anticoagulantes, mais anti aggregantes plaquettaires. Exemple typique d’approximation scientifique …

        • Vous confondez approximation scientifique et vulgarisation. Quand j’écris aussi, je ne m’adresse pas qu’aux médecins, j’évite le terme leucocytes pour parler de globules blancs, j’évite hématies pour globules rouges, et quand on dit anticoagulants pour les plaquettes, les non médecins comprennent que cela agit sur la coagulation, l’empêchant, et les médecins savent par quel mécanisme, l’agrégation plaquettaire. Et puis l’aspirine (vous préférez acide acétylsalicylique ?) n’est-elle pas un anticoagulant par mécanisme anti agrégation plaquettaire ?

  6. avec tout ce qui est écrit, je suis surpris qu’il n’y pas plus de plaintes de déposées pour mise en danger de la vie d’autrui …..Les médecins qui s’expriment sur ce sujet devraient aller jusqu”au bout de leur démarche…

  7. ruxolitinid s’ adresse aux patients négligés qui finissent en réa. Ivermectine s’adresse aux patients covid+ , à traiter le plus tôt possible, symptomatiques ou asymptomatiques (4cp capables de détruire le covid en 48H si prise précoce durée d’ excrétion virale réduite à 7j en moyenne 15j et jusqu’à 40j), ils ne finiront pas en réa.
    voir protocole australie ; NW Dr ZELENKO, bengladesh (eh oui), perou, etc…
    le protocole : à peu près le même: doxy 10j ou azithro 6j + imervectine 4cp J1 + zinc (effizinc ou rubozinc) 30mg/j 10j
    études randomisées :50% de passage en réa en moins, 1 mort groupe traité, 13morts groupe non traité (Zelenko NW)
    personnellement, j ‘ ai utilisé ce protocole en mars, j’ ai retrouvé l’odorat au bout de 4 j.
    alors: je préconise dépister traiter et le plus tôt possible.
    les études cliniques à l’ étranger ont prouvé l ‘ efficacité de l’imervectine à un stade précoce.
    alors pourquoi attendre?
    pour placer un vaccin refusé par 50% des français?

    • J’ai déjà fait 2 billets sur Ivermectine, j’en referai un. Vous signalez 4 cpr (c’est une boîte), mais c’est 1 cpr / 15 kg, ( j’en ai pris 5)

  8. Cher Mr Maudrux.Ce médicament ,comme les autres dits efficaces,est potentiellement thrombopéniant…peut être thrombopatiant.Je pense depuis le début que ceci n’est pas anodin.je l’ai signalé en février ou mars à Sanofi,au quotidien et sur votre blog.Un atteinte “toxique” médullaire précoce sur la lignée plaquettaire est elle la raison de l’efficacité thérapeutique?
    Azythromycine ,hydroxychloroquine ,cyclines,ivermectine,…même ‘Artémisia .
    Un de nos confrères (ou groupe) peut il répondre à cette interrogation.
    Selon certains professeurs,au cours de l’évolution humaine il y a eu une période oú la coagulation et l’immunité étaient gérées par un unique système .
    La plaquette est pro inflammatoire.
    Merci pour votre travail régulier de recherche.
    Cordialement et confraternellement ‘

    • Thrombopéniant, mais pendant combien de semaines?
      Quel risque pour une prise sur une journée?
      Le paracétamol et l’aspirine ne sont-elles pas bine plus dangereuses?
      D’où l’importance de tests précis et rapides, pour éviter la contagion et traiter seulement les porteurs du virus, et pas le cirque Macron spécialiste en foutoir généralisé.

  9. Salut .Cher Confrère . Merci beaucoup , pour tes infos très pertinentes .
    ( pour anecdote ,On a eu le Covid avec mon épouse , j’ai pris AZT + HCH , ben mon épouse a été beaucoup plus longtemps atteinte que moi … et je suis en plus un homme et plus vieux ! Elle n’a pas pris le TT …)
    Pourtant , j’ ai de très lourds ATCD , Hodgkin puis Lymphome etc
    Mais ancien sportif de bon niveau ( est ce un biais ) et puis pas randomise et effectif trop faible , en plus retraite , non fumeur , on peut rire un peu .
    J’estime que tu es , par très propos mesure et rationnel , un excellent médecin , humaniste etc … ( pas trop de pommade ) Et je m’y connaît un peu , l’exercice est si difficile …. mais la foire d’empoignade actuelle est inimaginable et consternante
    Bien Amicalemnet et confraternellement

  10. Le COVID est un outil pour imposé le Nouvel Ordre Mondial en ruinant les pays pour forcer les populations à accepter le grand reset et la nouvelle monnaie numérique Mondial qui sera imposer comme solution au surendettement et à la gigantesque crise économique. Le vaccin, le traçage des gens, la 5G qui est nécessaire à la reconnaissance faciale, la censure sont un avant goût du nouveau monde qu’on nous impose aujourd’hui dans la stupeur. Bref, le COVID doit se maintenir pour que le plan fonctionne. S’il y a un remède (HCQ , AZI) la peur tombe et le plan ne marche pas. Il ne faut donc surtout pas de traitement efficace quelque soit son nom! Une fois qu’on a compris ça, tout devient très logique (horriblement logique). Seul une réaction de masse des médecins et soignants, une vraie grève en contradiction totale avec le serment d’hypocrate pourrait éveiller les citoyens.

    • Il n y a pas de surendettement. Plus un état est riche plus il est crédité. C est dans ce sens qu il faut le voir. Un reset est totalement inutile surtout que ceux qui détiennent les droits d accorder, ils détiennent les grands centres financiers mondiaux.ce n est pas dans leurs intérêts et même si par la méthode auquel vous pensez et que je comprends, ils essayaient ils se prendraient le mur. Par contre oui il y a un problème et c est en l occurrences de partage des futures richesses car la technologie remplace de plus en plus l humain. De fait l humain est confronté a l égoïsme des financeurs qui ne veulent rien partager ni accorder gracieusement. C est pour cela que ces gens la pourraient en effet chercher a nous contrôler complètement afin de surtout se protéger. Ils peuvent pour cela corrompre les états. A nous peuple Français de leurs démontrer que nous meritons la liberté l égalité et la fraternité !! La raison humaine est plus forte que sa deraison.

  11. Ce que je vois c’est une méthodologie identique en France et Italie qui sont parmi les nations les plus ravagées par la covid. Pas de traitement précoce, éloignement des médecins généralistes. En Allemagne où le plaquénil est prescrit en traitement précoce il y a le quart de nos morts (et donc probablement pas de surmortalité par rapport aux années précédentes) et très peu de confinement.
    “La haut” c’est bien au-dessus de la France.
    En faisant des recherches sur l’invermectine ce matin, j’ai j’ai reçu deux fois en tête de liste une annonce de l’OMS disant qu’il n’existe pas de traitement pour la covid 19. C’est un référencement, qui n’était pas basé sur mes critères de recherche puisqu’aucun mot de ma recherche ne correspondait à l’annonce. Donc l’OMS paye pour qu’on ignore le plus possible l’existence de traitements. Et si vous visitez le site, vous verrez que même les antibiotiques sont inutiles car ils combattent les bactéries et non les virus (sic)
    Inutiles aussi vitamine D, zinc etc. Rien, il n’y a rien à faire ni à essayer.
    Étrange pour une organisation mondiale de la santé.
    https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/11/17/pourquoi-le-great-reset-est-important-pour-lavenir/
    “la pandémie de coronavirus produit un tel choc sur le monde sur l’ensemble du monde (et pas seulement sur son économie) qu’elle donne l’occasion la plus inespérée d’accélérer des réformes ou des changements sous-jacents depuis de nombreuses années”
    Occasion si inespérée qu’on lui aurait pas donné un petit coup de pouce?
    Je crains que ce soit hors de notre portée combattre une tendance élaborée si haut! Nous pouvons nous arracher les cheveux à trouver des traitements, lancer des pétitions, rien ne peut l’emporter sur la puissance des media qui ont sidéré le grand public.

    • l’OMS devrait être dissoute, cette institution a largement démontré ses défaillances, et pas que sur le Covid.
      La question est : avons nous besoin de l’OMS ? pour ma part non.
      En revanche, il faut mettre en place des liens forts et permanents entre les systèmes de santé (les toubibs) des différents pays.
      En osant un rapprochement, c’est comme pour les services de police et de renseignement, si vous souhaitez resserrer le maillage autour d’un voyou, il faut faire en sorte que partout la police connaisse le pédigré de l’individu. Transposez le tout au médical et vous aurez des résultats même si rien n’est jamais parfait.
      Par “système de santé”, il faut bannir tout idée de centralisme, les liens que j’évoque sont horizontaux et non verticaux. Pour la santé cela commence à la base, par ceux qui ont un lien direct et continu avec leurs patients et qui sont (normalement…) pluralistes par nature , à savoir les médecins généralistes.
      Pour votre dernier chapitre, et de manière indirecte, il est facile d’évoquer la fameuse théorie du complot, notamment au sujet du film (critiquable) “Hold-up”, mais d’un autre coté, la question de l’influence des réunions de Davos et de bien d’autres instances du même calibre ne peut être nié. Le forum de Davos ce n’est pas non plus une réunion Tupperware.
      Je vous rejoins, les pétitions, les marches blanches, les cahiers de doléances, les manifestations, etc, tout ça ne marche pas et arrange les affaires des dirigeants. Ce qui fonctionne aujourd’hui ce sont les réseaux, il faut influencer les décisions et cela se fait par une pression constante sur les cibles.
      Observez l’indéniable impact de Sleeping Giants !

  12. Juste pour bien comprendre, quel est l’intérêt de l’ANSM de ne pas autoriser ces traitements ? Faut-il réellement penser qu’il s’agit d’un lobby pharmaceutique pour garder le monopole d’un remède contre le covid-19 ?
    Quel est votre point de vue à ce sujet ?
    Sur les traitements et les vaccins

    • Désolé, je ne peux vous répondre en ce qui concerne ces intérêts, car je ne comprends pas du tout ce qui est fait là haut. Il faut savoir une chose sur ces prises de décisions : pendant longtemps, les réunions concernant les décisions prises sur les médicaments étaient filmées et retransmises, ce qui fait que tout le monde, pouvait savoir pourquoi certaines choses étaient acceptées, d’autres pas. Toutes les discussions, les propos de chaque membre de la commission étaient connus, la transparence était totale. Depuis quelques années cela a été supprimé, huis clos total, on ne peut savoir qui dit quoi, qui défend quoi, on ne peut plus savoir pour quelles raisons telles et telles décisions sont prises. Qui dit omerta dit combines, il ne faut donc pas s’étonner de certaines décisions surprenantes.

  13. Bonsoir docteur, ce que je n’arrive pas à admettre c’est pourquoi les autres médecins de France ou d’ailleurs n’exigent pas de pouvoir soigner et accompagner correctement les malades en leurs âmes et conscience. Les médecins à mon sens devraient se regrouper afin de pouvoir prescrire les médicaments qui ont fait leur preuve pour un patient atteint di covid. Cela me semble être la question essentielle. Soigner au plus tôt avant l’installation des problèmes respiratoires. Mon médecin m’a conseillé si par malheur j’étais positive de faire une analyse de ma capacité respiratoire et si inférieure à 95% d’aller à l’hôpital pour prise en charge. Qu’en pensez-vous ? Ne serait il pas possible de vous regrouper? D’unir vos forces, vos connaissances. Perso je n’ai pas confiance dans un vaccin aussi rapide hypothétique.

    • effectivement , je ne sais pas pourquoi il n’y a pas plus de collectifs de medecins pour s’insurger publiquement sur la non possibilité de traiter en tout debut , par les medecins traitants de tout un chacun .Chaque docteur doit pouvoir fraire en fonction de ses connaissances , le tout en concertation avec son patient.la façon de gerer par les autorités en est revoltante depuis le début .
      je partage completement ( comme nombre de nos concitoyens ) votre defiance à l égard des vaccins proposés ( malgrè le matraquage en règle sur les chaines infos pour la vaccination ! ) .

    • Moi non plus je ne comprend pas l’attitude de nombre de mes confrères. J’en ai discuté avec le pharmacien du coin, il constate qu’il y a un clivage : les anciens traitent (ou essaient de traiter), les jeunes obéissent aux consignes. Est-ce un formatage aux protocoles ? On ne leur demande pas de réussir, mais d’essayer, et ne pas essayer, c’est renoncer à sa fonction. Je leur dirais : regarde toi dans une glace et pose toi la question : est-ce que tu penses avoir fait ce qu’il fallait pour ce patient ?

      • Comparons Didier Raoult à Martin Blachier. Est-ce que ça n’explique pas tout ?
        Il y a aussi la pression énorme exercée par les mandarins hospitaliers, qui ne tolèrent aucune remise en question du dogme, y compris venant d’un patient, et même quand leur spécialité n’a rien à voir avec la Covid-19. Plus l’erreur deviendra évidente, et plus ils s’enfermeront dans leur tour d’ivoire. Les excès de certains – c’est pour ça que je me méfie tant des complotistes – confortent leur propre rigidité mentale. Un taux de mortalité de 0,07% (oui, il a légèrement augmenté), ce n’est pas une théorie, mais un chiffre que tout le monde peut calculer. Hélas, ces gens-là ne veulent même pas entendre ça.

        • je suis bien sûr dans la ligne du Dr Maudrux et la vôtre , mais il ne faut quand même pas tout ramener à la mortalité. La question de la survie, mais avec séquelles , est aussi importante. D’ailleurs Raoult l’a soulevée très tôt : des asymptomatiques auraient eu des lésions pulmonaires. Je n’ai pas suivi l’évolution, s’il y en a une , de cette question

          • Les séquelles, pour le moment, on en parle beaucoup mais on les voit peu. Sur les lésions pulmonaires, le Pr Raoult semble avoir abandonné la piste. La vrai question est la suivante : si on faisait passer un scanner à 100 000 personnes dont le seul point commun serait de ne PAS avoir eu la Covid-19, combien trouverait-on de lésions pulmonaires dues à d’autres maladies ou causes ? On n’en sait rien, et moi pas plus que les autres. Cela dit, bien sûr qu’il faut être prudents. Dois-je répéter que je n’ai jamais conseillé à personne de chercher à attraper le virus ? Là où ça se complique, c’est qu’il y a deux sortes de mesures, en sus de celles qui tombent sous le sens comme le lavage des mains et le port du masque par les personnes malades :
            1) De probables passoires (gestes barrières, masques à tout bout de champ) parfois grotesques mais au bout du compte inoffensives, même s’il s’avérait qu’elles ne servent à rien.
            2) Des fléaux pour la vie économique, culturelle et sociale, avec des risques majeurs pour la santé mentale et physique de la population et pour son avenir. Je parle là du confinement, du couvre-feu et des probables campagnes de vaccination trop précipitées. (Sinon, je n’ai rien contre les vaccins.) Abolir la démocratie et les libertés publiques, comme on le fait partout en Europe de l’Ouest (et ailleurs, mais là, nous n’y pouvons rien), ce n’est pas anodin, et nous devons exiger qu’il y ait un cadre précis à l’état d’urgence sanitaire. (Sinon, ce sera confinement tous les hivers à cause de la grippe.) L’engorgement des hôpitaux (une histoire qui dure depuis vingt ans) ne peut pas être une raison suffisante, d’autant plus qu’il y a des moyens d’y remédier (en redimensionnant ce service public) qui peuvent être mis en place très vite. Pour définir le cadre légal dont je parle, et éviter les dérives actuelles, le taux de mortalité est un indicateur fiable. On peut y ajouter le taux de létalité, à condition de le manier avec des pincettes, puisque, comme on l’a vu, il dépend entièrement de la politique de dépistage. L’incidence ne veut pas dire grand-chose (pourquoi ne pas confiner pour une épidémie de rhume ou de gastro ?) et la dangerosité est une donnée multifactorielle étroitement lié au rapport entre l’incidence (justement) et la létalité. (Ebola, par exemple, c’est une létalité de 50%.)
            Voilà pourquoi, non complotiste convaincu, mais citoyen lucide, je milite pour que soit dépistée et traitée la “bouffée délirante” dont souffrent nos dirigeants et une certaine faction de “l’élite” médicale et scientifique. Sinon, il n’y a pas plus grand défenseur que moi de la (vraie) médecine et du (vrai) principe de précaution.

      • Cela me fait penser à certains crash d’avions de ligne :
        Certains ont eu une issue fatale parce-que les pilotes “non-vieux”, étaient scotchés sur les consignes et les protocoles informatiques.
        D’autres ont été évité , parce-que le Commandant était un vieux qui avait commencé sa carrière en “pilotant aux fesses”. Pas exemple , ce pilote US de près de 60 ans qui a posé son Airbus sur la rivière Hudson : il avait commencé comme pilote de planeur , puis pilote militaire .
        On a le droit de faire le parallèle avec un PR très junior (versus Merkel par exemple) et ses députés “amateurs” (dixit EM lui-même) où il puise ses ministres de la santé.

      • Quand j’étais étudiante(décennie 70), mon maître préféré m’enseignait de soigner en mon âme et conscience, en recourant à un examen clinique rigoureux ,à l’analyse des thérapeutiques possibles, et aussi à mon intuition médicale, en respectant le “Primum non nocere” .Maintenant il existe des “recos” dont j’ai noté, lors de mes dernières années à l’hôpital, qu’elles étaient récitées par certains jeunes internes au lit du malade, mais parfois il manquait un bout(!), ou un peu de sensibilité pour juger de la situation, et , de ce fait, l’analyse clinique “à la carte ” du patient, et la proposition thérapeutique n’avait plus aucun sens ou devenait dangereuse . Je crois que la HAS n’a pas fait que du bien, et les conflits d’intérêt, de mon point de vue , n’en sont pas exclus.

  14. Que pensez-vous de l’article de Philippe Lacoude sur contrepoint.org?
    Il enfonce gaiement l’HCQ et se moque dès à présent des anti-vaccins.
    Pourtant les accidents existent avec les vaccins anti-viraux. Certains vaccins peuvent être plus dangereux même si plus efficaces.
    Nous avons le droit de nous en méfier et de préférer le RUX et les macrolides.
    Et c’est bien s’en prendre à notre liberté que d’affirmer qu’il n’y aura aucun problème.
    Liberté d’être nous-même et d’assumer les conséquences de nos choix.
    il est ahurissant de voir le principe de précaution appliqué aux OGM, et non à ces vaccins.

      • J’ai l’impression qu’il veut faire plaisir à certains lecteurs, mis en minorité, voire la volée de -1 qu’ils se prennent.
        Amusement, oui, politique fort probable.

    • Contrepoint est un zoo étrange dans lequel le mot libéralisme est répété tel un mantra, Lacoude est un des pensionnaires du zoo, l’article que vous évoquez est digne d’un discours de Macron ou d’un dictateur : long, prétentieux, impératif, truffé d’incohérences.
      Le titre résume la pensée de Lacoude “Tests, masques, chloroquine, vaccins et vérité”, le mot vérité au singulier devenant de fait la sienne.
      Le gugusse est un économiste dont chacun peut constater la pertinence de ces oracles qui inondent la planète de leur pensée magique, le monde va mieux depuis que l’économie est l’Alpha et l’Oméga de nos sociétés, non ?
      Vivement une société pensée par des plombiers, nous aurons alors des robinets et des chiottes à tous les coins de rues.
      C’est tout le drame de nos sociétés technicistes, le pluralisme est devenu une denrée rare.

  15. Le filigrane est l’implication de toute une caste : toubibs hospitaliers notamment, personnel politique, membres d’organisations supra nationales.
    Le véritable scandale de ce virus est l’absence remarquable de soins, peu importe le médicament utilisé, c’est la prise en charge qui fait la différence et, avec un Coronavirus, qui mieux que la médecine de ville pour répondre rapidement ?
    Las, à l’instar des restaurateurs, le médecin généraliste ne réagit pas, il est résilient selon le terme consacré, mais comme le restaurateur, le généraliste ne perçoit pas qu’il construit sa tombe en adoptant ce comportement par ailleurs attendu et “conforme”.
    L’absence de réaction est une nécrose, celle des généralistes est en état avancé, si ces professionnels ne révoltent pas, ils seront alors légitimement associés à la responsabilité des morts du Covid et ils auront irrémédiablement perdu la confiance de leurs patients, réduisant leur profession à des faiseurs d’ordonnances.
    Stéphanne Hessel, auteur du soporifique “Indignez vous” n’a pas moins vendu plus de 3 millions de son bouquin, ce qui en dit long sur la capacité des français à réagir…

    • j’ai perdu toute confiance en ma généraliste qui au printemps affirmait qu’il n’y avait aucun traitement, qui m’a dit espérer la fin de l’épidémie grâce au vaccin, qui ne savait pas que le vaccin contre la dingue avait été une catastrophe, qui m’a dit ne jamais prescrire hors AMM. Si un autre médecin voulait bien accepter ma patientèle (ce qui n’est pas possible dans ce désert médical lamentable ) je changerais de praticien. Comment avoir confiance ?

      • réponse à MISSTATA:
        Ecrivez à votre député ou à votre ministre et expliquez lui que vous voulez trouver un médecin qui prescrive en son âme et conscience selon les connaissances actuelles , non pas seulement nationales et selon son expérience, que vous voulez que les médecins puissent revenir aux principes du serment d’Hippocrate qu’ils ont récité lors de leur thèse devant leur professeurs et leur famille, sans qu’il soient poursuivis par le conseil de l’ Ordre . Expliquez que vous n’avez plus confiance aux médecins qui prescrivent sans réfléchir, conformément et uniquement aux protocole HAS du gouvernement, que vous n’êtes pas un numéro mais une personne et que d’après votre intuition profonde, on ne peut pas soigner tout le monde de la même façon mais au contraire de façon personnalisée. Et peut-être pouvez vous ajouter que 25€ pour une consultation est une honte (le temps c’est de l’argent) et ne permet pas au médecin de réfléchir longtemps, que vous êtes prête à payer un peu plus de façon à être soignée avec attention et compétence.
        Ecrivez, écrivez, si non ils ne le sauront jamais ou ils penseront que vous êtes satisfaite de la situation actuelle.
        Et bonne chance pour trouver un autre médecin, ce n’est pas impossible de trouver. Il y a beaucoup de médecins consciencieux.

  16. On suppute incompétences crasses, incapacités des égos de se dédire, “gestion du risque pénal” (sic!), voire religion écologiste concernant le démantèlement des centrales nucléaires, etc., quand il y a tout simplement projet:
    https://www.youtube.com/watch?v=NwM1uES2dKk&feature=youtu.be
    Les gens qui nous gouvernent ne sont pas des imbéciles, ce sont des psychopathes. Leur place est à l’asile ou en prison. La vérité est effrayante mais, en haute-montagne, ne pas vouloir regarder la pierre qui tombe n’a jamais empêché de se la prendre sur la figure…

    • Par delà globalement la richesse didactique du propos pour les non-initiés est-il didactiquement pertinent de parler encore du SRAS-CoV- 2 et de Covid 19 en cette fin d’année 2020 ?

      Nous avons affaire à des variants ? Tous les petits-enfants ne portent pas le patronyme de leur grand-père.

      Ne faudrait-il pas pédagogiquement nommer différemment ces variants et parler de LA (et pas du) Covid 20 ?

      On n’a jamais assez le souci du juste mot pour la juste chose; le souci des mots pesés pour éviter d’accroître , sinon, pour contribuer à réduire les maux pesants
      Toujours dans un but didactique où trouver quelques photos prise au microscope de quelques variants du Sras-CoV2 comparées au(x ?) virus de la grippe, cette maladie annuelle qui a mystérieusement “sauté” la dernière saison ? Nous infestera-t-elle cette année en concurrence avec les variants

    • Oui, il faut publier, créer un comité de médecins honnêtes, car la population en a marre, tout le monde parle de covid et vaccin.. je n’ai jamais vécu cela de ma vie… la vie est triste avec ce confinement, tout le monde se pose des questions.. merci de m’avoir lu..

  17. Tout à fait d’accord avec notre confrère, Gerard Maudrux, qui mériterait plus d’attention de nos instances médicales. Hélas la sclérose administrative est passé par là ! et surtout la crainte du syndrome du “sang contaminé” les habite tous; d’où ces mesures de confinement mal-à-propos et trop décalées. Ils ont trop d’orgueil pour en venir à utiliser les méthodes qui marchent chez nos amis asiatiques. Quel manque d’humilité !!!

  18. J’ose un parallèle entre cette crise sanitaire et la crise énergétique qui se profile en France en cas de vague de froid, et dont la ministre en charge et les medias commencent à nous avertir: on commence à interdire les médicaments qui pourraient être utiles (fermeture de Fessenheim enFrance juin) alors que les réanimation sin t saturées (réacteurs à l’arret pour maintenance), on autorise ou prescrit des médicaments dangereux comme le remdesivir (réouverture des centrales à charbon pour compenser) , on mise tout sur un vaccin (éolien), et on commence à prévenirque la population qu’il pourrait y avoir des coupures de courant et qu’il va falloir se serrer la ceinture en diminuant notre consommation ( fermeture des magasins, bars restau rants, confinement…) . Question : le ministère de la santé dirigerait il aussi l’approvisionnement électrique?

    • Ce pays n’a plus de vision de l’avenir et ne travaille plus pour cela. C’est au jour le jour et à flux tendu. Pour l’énergie, on pousse aux voitures électriques, on supprime le chauffage au gaz pour l’électrique, et dans le même temps on diminue la capacité de production. On n’a pas compris que pour encaisser les accidents on a besoin de quelques lits en permanence vides, on n’a pas compris que quand le vent chute et qu’il fait nuit pour les panneaux, qu’il faut une puissance crête disponible qui va manquer, et qu’il va falloir des coupures particulières et industrielles, sorte de confinement énergétique. On joue sur le vaccin, comme on joue sur l’hydrogène, sans se rendre compte qu’actuellement il faut plus d’énergie pour le produire et le stocker qu’il n’en produit par combustion, et qu’actuellement il est produit à base d’hydrocarbures, et quand vous enlevez le H, il reste le CO2, en grande quantité. Là aussi, on trompe le monde.

      • Merci encore pour ce post positif, mais il est malheureux de constater que vous êtes le seul à positiver. J’aime bien votre parallèle avec les problèmes écologiques et je pense que le prochain cataclysme sera plus la conséquence des écologistes que du climat. Voir les “Salomon” de Lille, Lyon et de Bordeaux… Par contre, pour l’hydrogène, l’électrolyse donne H2 d’un côté et O2 de l’autre. Je ne vois pas de “C”. D’où l’intérêt de garder notre nucléaire! En ce qui concerne l’inaction coupable des généralistes il faut en faire le navrant constat. La génération installé en 1975 ce serait battue et aurait ” bricolé” au maximum pour trouver une solution. Mais la jeune génération, formatée pour contrôler leur consommation afin de maximaliser leur ROST, est tétanisée devant les dictats de l’ars et de la cpam. Ils rêvent presque tous de devenir salarié ou hospitaliers, alors il ne faut pas attendre d’étincelle de leur part. C’est d’ailleurs un sujet à éviter, en famille, entre deux génération de généralistes….

        • On ne fabrique pas H2 par électrolyse, sauf au lycée. Beaucoup trop coûteux en énergie électrique, le bilan énergétique étant catastrophique. l’H2 utilisé est comme je l’ai dit produit à base d’hydrocarbures ou même de charbon. La source principale est le méthane. Méthane = CH4. Réaction utilisée : CH4 + H2O = CO + 3 H2. Et que fait-on de CO (oxyde de carbone, toxique) ? Nouvelle manipulation : CO + H20 = CO2 + H2. Bilan final : CH4 + 2 H2O = 4 H2. On ne sait que faire du CO2 produit (stocké sous terre) ? L’avenir est dans une centrale nucléaire à très très haute température qui fait une sorte de cracking de l’eau, avec le même résultat que l’électrolyse : H2O = O2 + H. En attendant, l’hydrogène utilisé est produit à base d’énergie fossile avec grosse production de CO2. Le dernier train et les bus à H2 sont une hérésie. Le CO2 ne sort pas du pot, mais d’ailleurs.
          N’oublions pas non plus que pour le stocker, le transporter et l’utiliser, c’est un gas, il faut le comprimer à très haute pression, ce qui consomme aussi beaucoup d’énergie.A 700 bars, on stocke 5 Kg d’hydrogène dans un réservoir de 125 litres (c’est le gas le plus léger de l’univers). Pour stocker sous forme liquide, il faut descendre à – 253 degrés.

          • non seulement c’est un bon médecin mais il connait aussi sa chimie de 3ème, vous avez parfaitement raison Dr. Maudrux, H2 par électrolyse c’était au bahut, pas dans l’industrie et bonjour le CO2.

          • si vraiment on était sérieux, on pourrait créer des champs de “serpents de mer” qui grâce à la houle pourraient générer et stocker H2 jusqu’au prochain passage d’un robot collecteur, c’est parfaitement possible et même viable économiquement mais…. il faut penser à long terme (50 ans) ce qui dans notre monde de l’instantané est une chimère.
            Des solutions existent mais, de même que les assassins de masse profiteurs refusent HQ et AZ, etc… ils veulent garder leurs profits du pétrole jusqu’à la dernière goutte.

          • Chapeau, je suis KO au 2°round ! Serait-il possible de commencer un inventaire des chers confrères qui se sont le plus illustrés sur les plateaux TV, en dénigrant les traitements précoces, rejetant les antibiotiques et surtout en étant injurieux contre le directeur de l’IUH de Marseille sans oublier les auteurs de faux articles médicaux dans le Lancet ou de pseudo méta-analyses anti-HCQ. Il faudrait un inventaire complet avec date, lieux et copie des propos afin de prépare un dossier pour le “grand soir”….

  19. Bonjour Docteur, merci pour ce nouvel article très intéressant. Sans vouloir vous manquer de respect, je trouve que le titre de votre article est un peu accrocheur, et pas tout à fait en ligne avec son contenu qui est plutôt consacré aux vertus du repositionnement. Il y a me semble-t-il une contradiction entre la promesse du titre ( même sous forme interrogative) et la philosophie pragmatique du repositionnement. Même si on a une diminution de 70% de la mortalité, on aura toujours des patients en réanimation, et des décès. Pour le reste je suis d’accord avec vous. Il n’y a rien à perdre à essayer. D’ailleurs, si on essayait de manière générale, visible et suivie, au bout de deux semaines de traitement on aurait les réponses, sans avoir aggravé le cas de qui que ce soit.

  20. Si nous ne vivions pas dans un monde de fous, c’est ainsi qu’on aurait procédé. D’abord une première ligne de défense – la prise en charge et le protocole de Didier Raoult, avec des variantes ou non – puis, en deuxième, troisième et quatrième lignes, des médicaments spécifiques et des thérapies de plus en plus affinées. Aujourd’hui, on en aurait probablement terminé avec une épidémie pas si méchante que ça, on ne le rappellera jamais assez. Hélas, le premier blocage a été l’OMS, laquelle a influencé les chefs d’Etat (ou des instances “informelles” comme l’Euro Groupe) lesquels ont influencé leur ministre de la santé, lequel (chez nous) a influencé l ‘ANSM. Le mouvement s’inversant, c’est aujourd’hui un lampiste pas très futé ni sympathique qui saute comme un bouchon de champagne. Mécanisme bien connu et vieux comme le monde. Espérons, mais je n’y crois guère, qu’on n’en restera pas là.
    Sinon, docteur Maudrux, avec votre talent de “vulgarisateur” (sous ma plume, ça n’a rien de péjoratif) vous auriez fait (ou avez fait ?) un enseignant hors du commun.

  21. Cher Docteur
    Coup de chapeau pour vos analyses de premier ordre ou de cordée pour reprendre la terminologie à la mode: rassurons nous ils sont les derniers comme dans l adage : résultat plus personne ne croit à la science politique et à la science en général demain: dissertation 2H Il ne nous reste que la dérision merci pour votre sens de la recherche et bravo R GAUTHIER COLLESSON Dr droit Ing éco Chercheur en retraite

  22. Merci docteur Maudrux. Vous meritez sincèrement le meilleur en tout et je vous le souhaite.
    J ai hate de voir la tête que feront Véran macron les pdg de pfizer moderna etc…Si le Protocole passe. La fortune semble s échapper…..

    • Je pense qu’ils le savent déjà depuis le premier semestre , mais pour de multiples raisons ils sont incapables de se rétracter . L’une de ces raisons serait l’amour-propre , qui nous coûte donc des dizaines de milliers de morts directs + suicides et autres+ effondrement économique

      • moi, j’ai toujours pensé qu’il y avait anguille sous roche, et depuis avril.. et que le but, c’était le vaccin (déjà en préparation), une stratégie qui écrase les autres..que de dégats, on la saura un jour..la vérité..

  23. Sauf que les consignes françaises n’ont jamais été de soigner … Depuis le début, nous savons que la solution s’imposera à nous de l’étranger sans remise en cause des structures françaises, ne rêvez pas.